Cet animal sauvage, aujourd'hui disparu, était une sorte de grand renard brun foncé, à la queue droite, longue et couverte de poils courts, comme celle d'un chien ordinaire.
Et on le trouvait autrefois au Chili et sur l'île de Falkland, l'une des îles Malouines.
"Le priapisme" est une situation pénible et dangereuse dans laquelle le pénis après l'érection ne retrouve pas sa flaccidité normale au bout de quatre heures, même en l'absence de toute stimulation physique ou psychologique.
Le priapisme est une urgence médicale absolue nécessitant d'être traitée par un médecin qualifié.
La contrepartie féminine de cet état est connue sous le nom de "Clitorisme"".
"Priapique" est l'adjectif correspondant, qui signifie :
au sens propre : relatif au dieu grec Priape et à son culte.
Priape était doté d'attributs sexuels surdimensionnés. Selon la mythologie grecque, Priape aurait été puni par les dieux pour avoir essayé de violer une déesse. Et on lui aurait donné, en punition, d'énormes attributs de bois, constituant un ensemble énorme mais inutile.
Une érection "post mortem", également appelée "érection terminale", est une érection, techniquement priapique, observée sur des corps humains mâles ayant été exécutés, en particulier par pendaison.
Le phénomène est attribué à la pression faite sur le cervelet par la corde. Des lésions à la moelle épinière sont liées au priapisme. Et des lésions au cervelet ou à la moelle épinière sont également souvent associées au priapisme chez des patients vivants.
La mort par pendaison, que ce soit par exécution ou par suicide, affecte souvent les organes génitaux masculins comme féminins :
chez les femmes, les lèvres de la vulve se gonflent et il peut survenir un écoulement de sang du vagin.
et chez les hommes, on trouve un état d'érection du pénis plus ou moins complet, avec écoulements fréquents d'urine, de mucus ou de fluide prostatique.
D'autres causes de décès peuvent aussi être responsables de ces effets, comme des blessures par balle au cerveau ou touchant des vaisseaux sanguins importants, ou des empoisonnements violents.
En médecine légale, la présence d'une érection "post-mortem" ou "terminale" est un indicateur d'une mort très probablement rapide et violente.
Cette appellation désigne la capacité d'un individu à potentiellement former de faux souvenirs, par autosuggestion, en s’amenant soi-même à croire que l’on a réellement vécu les éléments faux ; ou lors de suggestions ou de questions dirigées issues de personnes faisant autorité, comme un psychothérapeute ou un policier.
La "papesse des faux souvenirs", la psychologue américaine Elizabeth Loftus, avait ainsi montré à des étudiants, ayant tous visité le parc Disneyland durant leur enfance, une photo publicitaire pour ce parc, incluant l’image du lapin Bugs Bunny.
Et lorsque, la semaine suivante, elle les avait interrogés, 35 % d'entre eux avaient dit se "souvenir" d'avoir vu Bugs Bunny à Disneyland lors de leur visite… alors même que ce personnage n'y a évidemment jamais figuré, puisqu'il est la propriété d’une compagnie concurrente, la Warner Bros !
Le mot syndrome est issu du grec ancien et signifie étymologiquement "conjonction d'éléments distincts" ou "réunion d'éléments distincts".
Il désigne :
au sens propre, en médecine, : un ensemble de signes cliniques et de symptômes qu'un patient est susceptible de présenter, et dont la conjonction permet d'orienter le diagnostic.
et au sens figuré : un ensemble de signes, de comportements révélateurs, d'une situation jugée mauvaise.
Cette appellation désigne une fausse croyance collective ou un faux souvenir partagé par un certain nombre de personnes.
Origine du nom
Elle doit son nom au fait qu'à la mort de l'homme politique sud-africain Nelson Mandela, en 2013, nombre d’anglo-saxons étaient convaincus qu’il était déjà décédé, trente ans auparavant, dans les années 1980. Et "convaincus" est un doux euphémisme, car des dizaines de milliers de personnes étaient absolument certaines d’avoir vu des reportages à la télévision sur sa mort !
Nous en sommes tous victimes
C'est en effet ce que semble démontrer l'exemple qui suit.
Tout le monde - qu’il ait vu ou non le film d'animation de Walt Disney "Blanche-Neige et les sept nains" - croit savoir comment la reine-sorcière interroge son miroir magique : elle s'adresse à lui en disant "Miroir mon beau miroir, dis-moi qui est la plus belle ?".
Nous sommes bien d’accord ? C’est bien ce qu’elle dit ?
Et bien non : cette formule, que tout le monde répète à l’envi en étant parfaitement convaincu qu’elle a bien été prononcée par cette satanée reine-sorcière, n’a jamais existé que dans notre seule imagination !
La reine Grimhilde n’a jamais prononcé cette formule. En réalité, elle en appelle à son miroir par la formule : "Miroir magique au mur, qui a beauté parfaite et pure ?".
Il s'agit du vrai nom, venu directement du latin "Cerastes", de la vipère à cornes.
Ce serpent venimeux et nocturne extrêmement dangereux, dont il existe différentes espèces, appartient à la famille des Vipéridés.
Vivant en Afrique et en Asie, il se caractérise par deux espèces de cornes, dues au développement des écailles sus-orbitaires et qui lui valent son surnom.
La "pie" est un oiseau de la famille des corvidés très répandu en Europe et dans une grande partie de l'Asie, dont il existe de nombreuses sous-espèces. Et que sa morphologie et son plumage noir et blanc caractéristique rendent aisément identifiable.
C'est pourtant simple, voyons : le copoclépéphile collectionne les porte-clés !
Comme de nombreux enfants de ma génération (je suis né en 1961), je pense, j'ai eu mon mur couvert de porte-clés !
Si le tout premier porte-clés publicitaire semble être apparu en 1902 , lors du salon du Cycle à Bruxelles (Belgique) pour la marque "Gladiateur", le véritable développement du porte-clés n'arrivera en effet que dans les années 1950.
Les plus grandes marques en ont réalisé, et ce, quel que soit les secteurs d'activité (alimentaire, automobile, produits ménagers, etc.).
Le porte-clés étant rapidement apparu comme un support publicitaire incontournable que les Français se sont très vite appropriés, les années 1960 ont vu l'âge d'or de la production de porte-clés, avec plus de 65 000 modèles différents recensés !
Cette production de masse a concerné la quasi-totalité des marques de grande consommation, désireuses d'améliorer la notoriété de leurs nouveaux produits, chaque modèle étant généralement fabriqué à plusieurs dizaines de milliers d'exemplaires.
Imaginez qu'à son apogée, le nombre de collectionneurs a atteint les 2 millions de personnes !
De nos jours, les grandes marques se sont totalement désintéressées du porte-clés en tant qu'objet publicitaire et celui-ci est redevenu l'objet purement utilitaire qu'il était à l'origine.
Mais il demeure collectionné par quelques dizaines de milliers de collectionneurs et amateurs.