On ne dit pas : "Faire cette appel d'offre particulière" !

Le journaliste sportif français Philippe Sanfourche

Comme l'a déclaré le journaliste sportif français Philippe Sanfourche, le 22 décembre 2020, dans l'émission vespérale d'Olivier Ménard "L'Équipe du soir", sur la chaîne de télévision française l'Équipe.

Mais bien évidemment : "Faire CET appel d'offre particuliER" !

Pour l'énormité de cette faute, révélatrice de son niveau de français, je lui décerne mon label de médiocrité "Fâchés avec le français".

On ne dit pas : "Rendent la visibilité à néant" !

Ainsi que j'ai pu l'entendre dire dans le commentaire du documentaire français "Titans des neiges" diffusé le 3 janvier 2021, sur la chaîne de télévision française RMC Découverte;

Mais : "RÉDUISENT la visibilité à néant" ou "Rendent la visibilité NULLE" !

"Je pense que si j'me s'rais appelé Leguluche" !

L'humoriste français Azedine Bendjilali

Comme l'a déclaré l'humoriste français Az, le 28 novembre 2020, dans l'émission vespérale de Laurent Ruquier "On est presque en direct", sur la chaîne de télévision publique française France 2.

Mais : "Je pense que si jE m'ÉTAIS appelé Leguluche" !

Pour cette énorme faute de grammaire, je lui décerne mon label de médiocrité "Fâchés avec le français".

On ne dit pas : "Faut y croire ; faut qu'les gens y croivent" ni "On aimerait bien que vous jouez ce rôle" !

L'actrice française Laetitia Casta

Comme l'a déclaré la jeune modèle française Laetitia Casta, à propos de son premier rôle au cinéma, dans le film "Astérix et la surprise de César", réalisé en 1999 par Claude Zidi, dans un entretien consacré figurant parmi les suppléments du DVD.

Mais : "IL faut y croire ; IL faut quE les gens y CROIENT" !

Et : "On aimerait bien que vous jouIez ce rôle" ! Voire, idéalement : "NOUS SOUHAITERIONS que vous INTERPRÉTIEZ ce rôle" !

Pour l'énormité de sa faute de conjugaison qui relève du solécisme, je ne peux - en dépit de son jeune âge et de son inexpérience - lui épargner l'attribution de mon label de médiocrité "Fâchés avec le français".

On ne dit pas : "8 heures du matin", "9 heures 45 du matin", "10 heures moins le quart du matin", "15 heures de l'après-midi", "16 heures 15 de l'après-midi", "4 heures et quart de l'après-midi", "21 heures du soir", "22 heures 45 du soir" et "11 heures moins le quart du soir" !

Mais :

  • "8 heures" (langage courant),
  • "9 heures 45" (langage courant) ou "10 heures moins le quart" (registre familier),
  • "15 heures" (langage courant) ou "3 heures de l'après-midi" (registre familier),
  • "16 heures 15" (langage courant),
  • "21 heures" (langage courant) ou "9 heures du soir" (registre familier),
  • et : "22 heures 45" (langage courant).

"8 heures du matin", "9 heures 45 du matin", "15 heures de l'après-midi", "16 heures 15 de l'après-midi", "21 heures du soir", "22 heures 45 du soir" ne sont que de vulgaires pléonasmes.

Et "10 heures moins le quart du matin", "4 heures et quart de l'après-midi" ainsi que "11 heures moins le quart du soir" d'affreux solécismes.

On ne dit pas : "I' sont bien contents que y a encore des petites entreprises qui" !

Comme j'ai entendu une dirigeante d'entreprise française le déclarer, le 31 octobre 2020, , dans l'émission "13H15 le samedi", sur la chaîne de télévision publique française France 2.

Mais : "ILS sont bien contents qu'IL y aIT encore des petites entreprises qui" !