Cette locution verbale relève du registre familier.
Et elle signifie, au sens figuré : recommencer.
On dit par exemple : "Je suis certain qu'à l'automne c'est reparti pour un tour : le gouvernement va nous ressortir ses mesures liberticides".
Un étonnant voyage au pays de la langue française.
Pour apprendre en s'amusant et se coucher plus cultivé qu'on ne s'est levé.
De très nombreux mots ou locutions changent radicalement de signification selon qu’ils sont employés au sens propre ou au sens figuré.
Cette locution verbale relève du registre familier.
Et elle signifie, au sens figuré : recommencer.
On dit par exemple : "Je suis certain qu'à l'automne c'est reparti pour un tour : le gouvernement va nous ressortir ses mesures liberticides".
Cette locution verbale en forme d'idiotisme corporel relève du langage courant.
Elle s'utilise à propos d'un fait ou d'une affirmation.
Et elle signifie :
On dit par exemple : "Mon patron a balayé d'un revers de la main ma proposition".
On dit par exemple : "On ne peut pas balayer 130 ans de présence d'un revers de main !
Sources : wiktionary.org, www.btb.termiumplus.gc.ca et www.linternaute.fr
J'adore ce verbe, qui relève du registre vulgaire et malheureusement de nos jours du registre désuet.
Il signifie :
On dit par exemple : "La victime dormait avec son chien, qui a conchié son lit".
On dit par exemple : "Je conchie cette pratique".
Ou : "Je conchie sur ce journaliste".
Sources : www.larousse.fr et www.cnrtl.fr
Cette locution adjectivale relève du langage courant.
Elle s'utilise notamment dans le domaine sportif, où elle signifie, au sens figuré : facilement, sereinement, tranquillement.
On dit par exemple : "Victoire dans un fauteuil pour le français, qui termine loin devant ses adversaires".
Ou : "Ce soir, comme souvent cette saison en championnat, le PSG joue dans un fauteuil".
Source : us-argy.footeo.com
Cette amusante locution nominale féminine relève du registre familier.
Elle est contruite à partir du verbe "empoigner" et elle désigne, au sens figuré : la perte de toute retenue, de tout repère moral ; le règne du chacun pour soi ; une lutte sans merci, un affrontement, une mêlée générale, une bagarre générale, en vue d'obtenir une chose ou un avantage, doit lutter contre les autres, affronter les autres.
On dit par exemple : "On peut craindre que la nouvelle Assemblée nationale ne devienne une véritable foire d'empoigne".
Sources : wiktionary.org, www.larousse.fr et
Ces quatre locutions nominales relèvent toutes du registre familier.
Et elles désignent respectivement, au sens figuré :
On dit par exemple : "Moi j'ai tout de suite senti qu'il était louche, monsieur l'agent : je disais toujours à ma femme que c'était un drôle de client : sa première femme s'est tué dans l'escalier, sa deuxième s'est noyé dans la piscine, et la troisième est morte empoisonnée en mangeant des champignons".
On dit par exemple : ""Mon frère est un drôle de numéro : il ne sort jamais sans son parapluie, même quand il n'y a aucune chance qu'il pleuve".
Sources : www.linternaute.fr, dictionnaire.reverso.net et wiktionary.org
Cette amusante locution verbale en forme d'idiotisme corporel relève du registre familier.
Et elle ne manque naturellement pas de surprendre nos amis étrangers ou nos jeunes enfants lorsqu'il l'entendent pour la première fois.
Elle signifie, au sens figuré : avoir un rapport sexuel, faire l'amour.
On dit par exemple : "J'avais dit à ma femme de partir chez sa mère quelques jours car j'allais être débordé au bureau. Mais en rentrant à la maison après seulement 48 heures, elle m'a surpris au bord de la piscine en train de faire une partie de jambes en l'air avec mon assistante".
Le substantif masculin "lascar" nous vient du persan "lashkar" ("armée") par l'intermédiaire de l’anglais ou du portugais, ou de l’arabe al-askar ("armée").
Et elles désignent toutes trois, selon le contexte :
On dit par exemple : "À l'armée, mon adjudant était un sacré lascar, qui avait fait l'Indochine et l'Algérie".
On dit par exemple : "Mon voisin est un drôle de lascar, jamais à court d'idées".
Sources : wiktionary.org, www.linternaute.fr, www.larousse.fr et Le Robert
Cette locution adjectivale en forme d'idiotisme architectural et d'idiotisme numérique relève du registre familier.
Elle s'utilise à propos de la montée ou de la descente des escaliers.
Et elle signifie, par ellipse, au sens figuré : à grandes enjambées, très rapidement ; quatre marches par quatre marches, mais en pratique plutôt deux par deux.
On dit par exemple : "Je suis descendu quatre à quatre mais le facteur était déjà parti !".
Ou : "Je suis monté quatre à quatre mais j'ai raté la remise de la coupe !".
Source : www.languefrancaise.net
Cette locution nominale féminine relève du langage courant.
Et elle désigne :
On dit par exemple : "J'en ai assez de cette tarte à la crème des américains qui ne seraient que de grands enfants illettrés".
On dit par exemple : "Je ne comprends pas l'intérêt de cette émission : ce n'est qu'un ramassis de tartes à la crème".
On l'ignore souvent, mais cette utilisation nous vient tout droit du grand Molière.
En 1662, effet, Molière, dans L'École des femmes (acte I, vers 97), fait dire à Arnolphe qui se méfie des "tours rusés et les subtiles trames / Dont pour nous en planter savent user les femmes" : "j’aimerais mieux une laide bien sotte / Qu’une femme fort belle avec beaucoup d’esprit". Si "avec elle on joue au corbillon / Et qu’on vienne à lui dire à son tour : Qu’y met-on? / Je veux qu’elle réponde: Une tarte à la crème".
Le corbillon est un jeu de société consistant à inventer des rimes faciles. À la phrase "Je vous passe mon corbillon", suivie de la question "Qu'y met-on ?", les joueurs doivent répondre par des mots terminés en "on". Il convient donc de dire "Une tarte au citron" et non "Une tarte à la crême".
L'usage de l'expression triviale "tarte à la crème", provoque de violentes critiques, reprochant à Molière le prosaïsme de sa comédie. Comment" soutenir une pièce où l'on a mis tarte à la crème ? disait-on alors, en ville comme à la Cour.
Molière, très affecté, répond alors, dans La Critique de l'École des femmes, en 1663, par une avalanche de "tarte à la crème", qui met les rieurs de son côté et ridiculise ses critiques :
- Le marquis : Ah, ma foi, oui, tarte à la crème! Voilà ce que j'avois remarqué tantôt; tarte à la crème. Que je vous suis obligé, Madame, de m'avoir fait souvenir de tarte à la crème!
- Dorante : Hé bien, que veux tu dire? Tarte à la crème!
- Le marquis : Parbleu, tarte à la crème, Chevalier.
- Dorante : Mais encore?
- Le marquis : Tarte à la crème.
- Dorante : Dis-nous un peu tes raisons.
- Le marquis : Tarte à la crème.
Le duc de La Feuillade, visé, agresse physiquement à Molière ("tarte à la crème Molière, tarte à la crème" disait-il en lui écrasant le visage) dont le roi Louis XIV prend la défense.
Depuis, une tarte à la crème est devenue un cliché, une réponse toute faite : "comme les marquis de La Critique de l'École des femmes : tarte à la crème est leur réponse à tout".
Sources : wikipedia.org et wiktionary.org
Ces deux locutions nominales relèvent du registre familier lorsqu'elles sont utilisées au sens figuré et désignent, de façon désobligeante : une personne âgée et en particulier une vieille femme exagérément fardée et maquillée pour son âge, jugée décatie.
Sources : www.lalanguefrancaise.com, www.larousse.fr et et www.cnrtl.fr
Ce substantif masculin désigne :
On dit également "Une huche" ou "Une maie".
On dit par exemple : "Avec cette crise économique je me retrouve dans le pétrin".
Source : www.cnrtl.fr, www.larousse.fr et Le Robert