Cette expression du langage courant s'utilise essentiellement au sens figuré, de façon ironique ou par dérision.
Par exemple lorsqu'un adversaire semble s'acharner sur vous dans un jeu de société.
Richesse et défense de la langue française
De très nombreux mots ou locutions changent radicalement de signification selon qu’ils sont employés au sens propre ou au sens figuré.
Cette expression du langage courant s'utilise essentiellement au sens figuré, de façon ironique ou par dérision.
Par exemple lorsqu'un adversaire semble s'acharner sur vous dans un jeu de société.
Ces deux locutions verbales du langage courant s'utilisent couramment, au sens figuré, pour signifier respectivement :
On dit par exemple : "Le vent tourne : nous ne pouvons pas continuer à vendre nos produits aussi chers que par le passé".
On dit par exemple : "Dès que j'ai senti le vent tourner avec mon supérieur hiérarchique, j'ai postulé chez différents concurrents".
Sources : www.languefrancaise.net, www.linternaute.fr et wiktionary.org
Cette formule est couramment employée pour signifier que les moyens devront s'adapter, coûte que coûte, à la décision du commandement. Et cela qu'il s'agisse du domaine militaire (sens propre) ou du domaine économique (sens figuré).
Elle est fréquemment attribuée au général de Gaulle. Et serait une réplique historique à l'un de ses officiers qui s'inquiétait des contraintes pratiques de sa stratégie.
Il s'agit cependant d'une citation apocryphe, le général lui-même ayant nié avoir prononcé cette phrase, et même l'avoir pensé.
"L’intendance" (ellipse lexicale de "l'intendance militaire") était le nom d'un service de l'armée de terre métropolitaine française, actif entre 1817 et 1983, chargé de l'administration générale de cette armée. Il existait aussi, jusqu'en 1969, un "service de l'intendance coloniale", ou "intendance des troupes de marine".
Source : wikipedia.org
Cette locution verbalee du langage courant signifie
On dit par exemple : "Cette année, c'est notre concurrent qui a ouvert le bal, en sortant sa collection deux jours avant nous".
Sources : www.linternaute.fr, wiktionary.org et www.expressio.fr
Cette locution verbale du langage courant en forme d'idiotisme corporel signifie, selon le contexte, au sens figuré :
On dit par exemple : "Mon voisin n'a vendu sa propriété que parce que ses enfants lui ont forcé la main".
Sources : www.linternaute.fr et www.expressio.fr
Ces différentes locutions verbales du registre familier en forme d'idiotismes numériques, d'idiotismes corporels et d'idiotismes vestimentaires appartiennent au registre familier.
Et elles signifient respectivement, au sens figuré :
On dit par exemple : "Tu dois réagir, tu ne peux pas rester les deux pieds dans le même sabot !".
On dit par exemple : "Mon gendre n'est pas resté les deux pieds dans le même sabot : il a très vite lancé un nouveau projet".
Sources : wiktionary.org, www.expressio.fr et www.languefrancaise.net
Ces deux locutions verbales du langage courant signifient : ne rien dire, ne pas parler, rester silencieux.
Et cela y compris face aux questions qui sont posées ou face à une situation ou un événement susceptible de susciter des commentaires.
On dit par exemple :
Cette dernière formule "Rester muet" s'utilise naturellement au sens figuré.
Ces trois locutions verbales relèvent du registre argotique.
"Être malade comme un chien" est un idiotisme animalier et signifie, comme les deux autres formules, au sens figuré : être extrêmement malade.
Cette locution verbale signifie :
Cette expression est née dans la marine à voile au XVIIe siècle, le substantif masculin "Pavillon" désignant le drapeau se trouvant sur un bateau (généralement à l’arrière), dont les couleurs indiquent la nationalité du bâtiment.
Lorsqu’un bateau était engagé dans un combat et que ce dernier mettait pavillon bas, c’est-à-dire descendait le drapeau de son mât, c’était pour signaler qu’il se rendait et cessait de combattre.
La locution exacte couramment utilisée dans la Marine est cependant "Amener pavillon" et non "Baisser pavillon".
Sources : wiktionary.org, www.linternaute.fr et www.defense.gouv.fr
Cette locution verbale du langage relève du jargon maritime et du jargon ferroviaire.
Et elle signifie :
On dit par exemple : "Malgré les soldes, la société est à quai".
Ou : "Cette équipe est restée à quai depuis la reprise du championnat".
Sources : www.linternaute.fr et www.francaisfacile.com
Cette formule en forme d'intejection s'utilise couramment, au sens figuré, pour signifier poliment un refus offusqué, une dénégation.
Elle manifeste la méfiance ou le désintérêt du ou des locuteurs à l’égard de ce qui lui ou leur est proposé.
On dit par exemple : "Aller nous promener à la fête foraine ? Très peu pour moi !".
Ou : "Partir en vacances avec un couple d'amis ? Très peu pour nous !".
Sources : wiktionary.org et www.languefrancaise.net
Cette locution verbale en forme d'idiotisme architectural appartient au registre familier.
Et elle signifie, au sens figuré :
Ou réalisé ce qui est déjà accompli.
L'auteur de telles pratiques est appelé : un enfonceur de porte(s) ouverte(s).
Sources : wiktionary.org et www.expressio.fr