Ce surnom du registre soutenu désigne : "La puce".
Ou : "Le pou".
Qu'il s'agisse du "Pou de tête".
Du "Pou de corps".
Ou du "Pou pubien" ou "Pou du pubis".
Source : wikipedia.org
Un étonnant voyage au pays de la langue française.
Pour apprendre en s'amusant et se coucher plus cultivé qu'on ne s'est levé.
Ce mot-clé donne accès à l’ensemble de mes articles consacrés à ou évoquant les animaux.
Ce surnom du registre soutenu désigne : "La puce".
Ou : "Le pou".
Qu'il s'agisse du "Pou de tête".
Du "Pou de corps".
Ou du "Pou pubien" ou "Pou du pubis".
Source : wikipedia.org
Bien qu'homophonographe et constituant à chaque fois une gémination, le mot "Poipoi", qui se prononce comme il s'écrit ("poi-poi") ne revêt absolument pas la même signification dans ces différents cas de figure :
On dit par exemple : "Je suis tout poipoi : je file prendre une douche".
On dit par exemple : "Je viens de m'acheter un nouveau poipoi de toute beauté".
Source : wikipedia.org
... je continue d'en manger magret tout !
De façon parfaitement logique, ce substantif masculin désigne une personne qui pratique l'aquariophilie et élève des poissons d'ornement en aquarium.
Source : wiktionary.org
Ce substantif masculin désigne : un filet de viande maigre, découpé à partir de la poitrine d'une oie ou d'un canard gras, engraissé par gavage, lesquels servent également à produire le confit et le foie gras.
Le magret de canard est cependant beaucoup plus utilisé et cuisiné que le magret d'oie.
Source : wikipedia.org
Cette expression en forme d'idiotisme animalier existait déjà au XVIe siècle sous la forme "Ne pas jeter sa part aux chiens".
Et elle signifie, selon le contexte :
Sources : savour.eu et www.languefrancaise;.net
Ce substantif masculin est un héritage de la mythologie grecque, puisqu'il fait directement référence à Sisyphe, un personnage évoqué par Homère dans le chant XI de "L'Odyssée".
Et il désigne, selon le contexte :
On dit par exemple : "Ce Sisyphe me fait pitié. Il ne parviendra jamais à évacuer toutes les pierres de son terrain ; il en remonte chaque jour des miliers de nouvelles".
Il s'agit d'un genre de bousiers composé de plus de 90 espèces, dont l'aire de répartition est très vaste, puisqu'on le retrouve en Afrique, Eurasie, Asie, Amérique Centrale et Australie.
Le sisyphe mesure 8 à 13 mm de long et se caractérise par un corps trapu, terminé en pointe ainsi que par des pattes postérieures très longues.
Comme tous les bousiers, il fabrique des boules d'excréments, qu'il roule devant lui avant d'y déposer une larve.
Source : www.cnrtl.fr
Et d'ailleurs, aucune d'elle n'a bien entendu la notoriété de "La Goulue", et pour cause !
Ces trois noms désignent en effet des "tours" de chant ou phrases musicales composant le chant du canari du Harz, une région d'Allemagne.
Cet oiseau, créé vers le XIVe siècle en Allemagne, est directement issu des canaris sauvages des Iles Canaries.
D'abord élevés par les moines de ces îles, les canaris furent par la suite exportés en Europe, puis libérés par des marins lors d’un naufrage aux Iles Majorque.
Ils se répandirent alors en Italie, en Sicile, et dans le reste de l’Europe, mais surtout en Allemagne, où les mineurs de fond les descendaient dans leurs mines de charbon. À la moindre alerte de grisou, en effet, l’oiseau perdait connaissance, alertant ainsi les mineurs du danger.
Les habitants de la province du Harz organisèrent rapidement des concours de chant de canaris dans les cafés.
Petite merveille de la nature, le canari du Harz est en effet un véritable virtuose dont la profondeur d’intonation, la pureté du chant et son mode harmonieux, surpasse de beaucoup, par son répertoire, tous les autres canaris.
Source : wikipedia.org
Cette locution nominale du registre familier en forme d'idiotisme corporel et d'idiotisme animalier signifie : un cou massif, très épais.
Il s'agit des différents surnoms du joueur de footbal international malien Salif Keïta, né le 12 décembre 1946.
Né en 1961, j'ai neuf ans lorsque cet attaquant devient le premier vainqueur du Ballon d'or africain en 1970 et - comme pour beaucoup des petits français de l'époque, je crois - l'une de mes idoles.
Salif Keïta avait commencé sa carrière à l'AS Real Bamako avec laquelle il remporte trois fois la Coupe du Mali avant d'être transféré au Stade malien.
Déjà immense vedette au Mali, il rejoint, à 21 ans, en 1967, l'AS Saint-Étienne. Ses débuts en équipe première sont fulgurants (il marque dès son premier match officiel). Il reste cinq saisons à Saint-Étienne où il remporte trois titres de champion et une coupe de France. Lors de la saison 1970-1971, il réalise quatre quadruplés et inscrit 42 buts ce qui lui permet de terminer 2e meilleur buteur du championnat et Soulier d'Argent Européen 1972.
Considéré comme une icône à Saint-Étienne (42), c'est son surnom de "La panthère noire", qui a donné naissance au symbole de l'ASSE figurant sur ses logos de 1970 et 1988.
Salif Keïta a ensuite joué à l'Olympique de Marseille, au Valence CF puis au Sporting Clube de Portugal où il a remporté une Coupe du Portugal.
Treize fois sélectionné en équipe nationale pour onze buts inscrits, il est, avec cette équipe finaliste des Jeux africains en 1965 et de la Coupe d'Afrique des nations en 1972.
Source : wikipedia.org
Ces deux mots homophones ont naturellement des significations très différentes :
On dit par exemple : "Il est difficile d'imaginer aujourd'hui que le Liban d'avant 1975 était un pays tellement prospère et serein qu'on le surnommait La Suisse du Proche-Orient".
Ou : clair, doux, pur et calme, en parlant du ciel, de l’air ou du temps.
On dit par exemple : "La semaine prochaine nous bénéficierons d'un temps plus serein".
Sur un sujet contigu, je vous recommande la lecture de mon article "Quel est l'animal le plus paisible ?".
Source : wiktionary.org
Il s'agit du surnom du joueur international de football français Bafétimbi Gomis dit "Bafé Gomis", né le 6 août 1985.
Ce surnom lui vient de sa façon de célébrer ses buts en imitant une panthère ; laquelle fait référence à la célébration de l'ancien attaquant stéphanois Alex (le brésilien Alex Dias de Almeida), qui rendait lui-même hommage à Salif Keïta, "La panthère noire" de l'AS Saint-Étienne.
Évoluant au poste d'attaquant, il a notamment joué l'ASSE, à l'Olympique de Marseille, à l'Olympique Lyonnais et au Galatasaray SK.
Et il est le cousin des joueurs de football français Nampalys Mendy et Alexandre Mendy.
Source : wikipedia.org
"Une gueule de raie" est une locution nominale féminine polysémique en forme d'idiotisme animalier et d'idiotisme corporel qui désigne, au sens figuré :
Il s'effectue sur un cordage en boucle, dont les deux brins sont reliés à la même charge. Depuis le XVIIe siècle, les marins et les ouvriers des docks utilisent ce noeud afin de suspendre des charges à des crochets de grue.
Source : www.languefrancaise.net
Ce substantif féminin peu connu, il me semble, désigne ce que l'on appelle plus communément la "mise bas".
C'est à dire : le fait, pour une femelle de donner naissance à des petits.
Si ce sujet vous intéresse, je me permets de vous recommander la lecture de l'article que j'ai consacré aux 19 verbes français spécifiques signifiant "Mettre bas".