Comme l'a fait, le 20 juillet 2020, la journaliste française Bénédicte Le Chatelier, dans son émission "Le Club Le Chatelier", sur la chaîne de télévision française d'information en continu LCI.
Mais, à tout le moins : "On continue D'EN parler dans quelques minutes" !
Et, idéalement :"NOUS CONTINUERONS D'EN parler dans quelques minutes" !
Ce journaliste politique français de radio et de télévision originaire des Pyrénées-Atlantiques (64) est né le 8 septembre 1958 et son nom se prononce "a-pa-ti".
Il est l'un des rares journalistes à avoir fait carrière à la radio et à la télévision sans renoncer à son accent basque, ce que je trouve à la fois remarquable et admirable, moi qui doit pourtant humblement confesser avoir du mal à supporter un certains nombre d'accents français ou étrangers.
On ignore souvent le nom de cet acteur français de seconds rôles né le 6 mai 1959.
Il a débuté au théâtre et au cinéma en 1976 et on a pu le voir dans plusieurs dizaines de pièces et près de soixante films.
Ainsi que dans de très nombreux téléfilms et feuilletons télévisés.
Parmi ses rôles les plus célèbres rôles, on peut citer "Nikita" de Luc Besson (1990), "Grosse Fatigue" de Michel Blanc (1994), "Taxi" de Gérard Pirès (1998), "Monsieur Batignole" de Gérard Jugnot (2002) ou "Les Choristes" de Christophe Barratier (2003).
Philippe du janerand est le fils du peintre figuratif français Daniel du Janerand.
C'est à dire : une courte séquence sonore (musique et/ou chant), accompagnant ou ponctuant un message publicitaire en radio ou télévision.
Surtout utilisé en radio, le sonal favorise la mémorisation et contribue à l'identité sonore.
On parle également de sonal pour désigner la petite séquence sonore introduisant, fractionnant ou terminant un écran publicitaire et destinée à favoriser l'attention et la mémorisation.
Il s'agit du nom d'artiste de l'actrice française Marie-José Walsain-Laurent, née le 21 octobre 1930 et morte d'un cancer le 26 octobre 2019.
Née d’un père anglo-italien et d’une mère créole, Pascale Roberts débute sa carrière en 1952, en étant embauchée par la télévision américaine pour un contrat d'un an, alors qu'elle demeure à Londres.
Cinéma
Pascale Roberts commence ensuite à tourner pour le cinéma, comme actrice de seconds rôles, jouant dans quelques 56 films en 54 ans, de 1954 à 2008.
Elle est la partenaire de Fernandel dans "Le bon roi Dagobert" de Pierre Chevalier (1963) et interprète la victime dans "Compartiment tueurs" de Costa-Gavras (1965).
En 1975, elle joue son rôle le plus célèbre : celui de la mère de la victime Isabelle Huppert, dans "Dupont Lajoie" de Yves Boisset.
Au tout début des années 1980, elle est la partenaire d'Alain Delon dans "Trois hommes à abattre" (1980) et "Pour la peau d'un flic" (1981).
On la voit également dans "Le grand chemin" de Jean-Loup Hubert (1987).
Ainsi que dans six films de Robert Guédiguian, de "À la vie à la mort" (1995) à "Lady jane" (2008), en passant par le célèbre "Marius et Jeannette" (1997).
Télévision
À la télévision, elle joue notamment dans le feuilleton "Chambre à louer" (1965).
Ainsi que dans le feuilleton télévisé quotidien "Le temps de vivre... le temps d'aimer" (1973), dans lequel elle est en vedette avec l'acteur Jean-Claude Pascal.
Et elle décroche son dernier grand rôle en juin 2008 : celui de Wanda Legendre, la mère de Blanche Marci, un personnage récurrent du feuilleton français "Plus belle la vie", diffusé sur France 3. Elle y apparaît jusqu'au 25 novembre 2016, avant de devoir arrêter les tournages pour raisons de santé.
J'ai personnellement été assez stupéfait le jour où j'ai pris conscience de son âge, car je la pensais sensiblement plus jeune.
Ainsi, je trouve que l'on a vraiment peine à croire qu'elle a déjà 79 ans dans cet extrait de l'épisode n°1 190 de "Plus belle la vie", datant du 2 avril 2009.
Enseignant de théâtre
Pascale Roberts a dispensé des cours de théâtre à l'EICAR (Ecole Internationale de Création Audiovisuelle et de Réalisation), à Paris (75), durant plusieurs années.
Vie privée
Épouse de l'acteur Pierre Mondy (1957 -1966), elle s'est ensuite mariée avec l'acteur Michel Le Royer (l'un des héros de mon enfance, à travers le feuilleton télévisé "Corsaires et flibustiers", diffusé en 1966), puis avec l'écrivain Pierre Rey.
Cette phrase culte est apparue sur nos écrans de télévision en 1986 et a généré depuis toute une saga de publicités télévisées.
Au point de faire entrer l'expression dans le langage courant.
Il s'agit du slogan publicitaire de "Bordeau Chesnel", la marque grand public de rillettes du Mans de la société LDC, filiale à 100% du groupe agroalimentaire français Soparind Bongrain, devenu le Groupe Savencia en 2015.
Inchangé depuis 1986, ce slogan est directement associé à l'actrice Marie-Hélène Lentini depuis 2004.
La première publicité avec l'huissier (1986)
Cette mise en scène d'un "huissier" dans le premier message publicitaire télévisé de la société LDC est particulièrement savoureuselorsque l'on sait que ladite société résulte de la fusion, en 1973, de deux sociétés de charcuterie industrielle de la Sarthe (72) :
Bordeau Chesnel, créée en 1922, à Yvré-l'Évêque (72), par Jules Bordeau et Marie-Louise Chesnel,
et... Luissier, créée en 1900, au Mans (72), par Albert et Blanche Luissier !
Les deux sociétés réunies sont alors devenues LDC pour Luissier Bordeau Chesnel.
Sources : wikipedia.org, www.perche-sarthois.fr, www.journaldunet.com et www.lsa-conso.fr
Ces différentes locutions verbales du langage courant, qui relèvent du vocabulaire et du jargon journalistique, signifient respectivement, par ellipse lexicale :
"À la PAGE une DES JOURNAUX".
On dit par exemple : "Le mariage du prince est à la une".
"La PAGE une DES JOURNAUX";
On dit par exemple : "La une est entièrement consacrée à cette victoire inattendue".
"Faire la PAGE une DES JOURNAUX".
On dit par exemple : "La démission du président fait la une".
"Être à la PAGE une DES JOURNAUX".
On dit par exemple : "La nomination de ce premier pape noir est à la une".
ou "Être en PAGE une DES JOURNAUX".
On dit par exemple : "La nouvelle de la mort de ce héros est en une".
Il s'agit là, me semble-t-il, d'un cas assez peu fréquent d'omission d'un ou plusieurs mots au début ET à la fin d'une locution.
5 colonnes à la une
La formule "À la une" a été popularisée par le titre d'une célèbre émission de télévision de la RTF puis de l'ORTF, "5 colonnes à la une".
Cette formule qualifie une information suffisamment exceptionnelle pour être annoncée sur toute la largeur de la première page d'un journal quotidien.
Emblématique de la présidence du général de Gaulle, car ayant été diffusée du 9 janvier 1959 au 3 mai 1968, "5 colonnes à la une" l'accompagne de sa prise de fonction jusqu'à pratiquement son départ.
Cette émission a lancé le genre du magazine de reportages à la télévision française et est, aujourd’hui encore, considérée comme une référence du genre.
Les plus de 55 ans se souviennent toujours du célèbre générique de ce rendez-vous vespéral mensuel, qui égrenait le nom de ses producteurs - "les trois Pierre"- et de son réalisateur : Pierre Lazareff, Pierre Desgraupes, Pierre Dumayet et Igor Barrère.
Et de son indicatif musical, "La danse des flamme", extrait de la musique du ballet "Le rendez-vous manqué" de Michel Magne.
Comme se permet de le faire la chaîne française d'information en continu LCI sur son site internet, à propos de l'émission présentée par Julie Hammett et diffusée les samedi et dimanche soir, de 20 à 22 heures, "Ça fait parler".
Et pas : "Le rendez-vous de Julie Hammett : un DÉBAT de décryptage de l’actuALITÉ de la semaine et des petites phrases politiques dE LA FIN DE SEMAINE" ?
Je ne supporte plus cette constate dégradation du niveau de langue moyen utilisé dans les organes d'information français.
Ou, s'il est réellement nécessaire de le préciser : "Un scénariste de cinéma et de télévision" et "La scénarisation cinématographique et télévisuelle".
Il s'agit du nom d'artiste de l'animateur de radio et de télévision Nicolas Bonaventure Ciattoni, né le 7 septembre 1978.
C'est son patron à Europe 2, Cauet, qui l'a ainsi surnommé, en 2002, en référence à sa voix qu'il trouvait proche de celle du personnage d'Eric Cartman, dans le dessin animé états-unien "South Park", créé en 1997 par Trey Parker et Matt Stone.
Avant tout humoriste, Cartman est également chanteur, musicien et producteur.
Et ses chansons humoristiques enregistrées en 2013 sous le nom de "Sébastien Patrick" puis "Patrick Patoche" et enfin "Sébastien Patoche" ont connu un énorme succès.
Il s'agit du nom de scène de la chanteuse et actrice française Colette Raget, née le 1er novembre 1924 et morte d'un cancer le 6 octobre 2010.
Elle a notamment triomphé dans le rôle-titre de la comédie musicale "Irma la douce", de Marguerite Monnot, qu'elle a joué de 1956 à 1967.
Elle a connu de nombreux succès populaires avec ses chansons. Et elle est sans doute la dernière chanteuse inspirée par les réalistes d'après-guerre. Sa voix très expressive et son interprétation ainsi que sa diction la rendent reconnaissable au premier couplet.
Elle a enregistré plusieurs albums de chansons érotiques, paillardes ou grivoises.
La plus célèbre d'entre elles est certainement "Les Nuits d'une demoiselle", où elle énumère pas moins de 28 délicieuses façons imagées d'évoquer la masturbation ou la pénétration !
Elle n'est que très peu passé à la télévision, car elle refusait de chanter en présonorisation.
Coette Renard a joué dans quelques films ainsi que dans la série télévisée "Plus belle la vie".
Vie privée
Mariée à quatre reprises - avec Jean Houssin (1945-1947), Georges Chottin (1952-1955), Raymond Legrand (1960-1969) et Michel Wandler-Maurette (1978-2002) - Colette Renard a également entretenu une liaison très médiatisée avec l'acteur et chanteur Franck Fernandel dans les années 1970.
Cette drolatiquelocution adverbiale du registre familier est entrée dans le langage courant depuis une quinzaine d'années.
Sens initial
Il s'agit d'une expression purement humoristique, construite de manière totalement artificielle par juxtaposition des formules parfaitement antagonistes "À mon insu" et "De mon plein gré" et signifiant tout simplement "À mon insu" ou "Contre mon gré".
On finit parfois par oublier que cette fomule a été popularisée à la toute fin des années 1990 par l'émission quotidienne de la chaîne de télévision payante française Canal Plus "Les Guignols de l’Info".
En effet, ces derniers l'ont fait répéter en boucle, des mois durant, à la marionnette du champion cycliste français Richard Virenque, afin de ridiculiser ses déclarations peu crédibles de 1998, en vertu desquelles il affirmait, contre toute évidence, parfaitement ignorer avoir été dopé.
Ce qui a naturellement fait rire la France entière.
Nouveau sens actuel
Avec le temps, cette amusante formule, initialement conçue de manière volontaire comme un pur solécisme, a fini par prendre, me semble-t'il, un sens nouveau.
Et elle s'utilise courammentde nos jours pour, en quelque sorte, signifier sa satisfaction que quelque chose ait eu lieu ou se soit produit (donc "De mon plein gré"), bien que l'on n'y ait pas soi-même activement participé et n'en ait même rien su jusqu'alors (donc "À mon insu").
On dit par exemple : "Alors, il paraît que tu as une nouvelle assistante ?" "Oui, ça c'est fait à l'insu de mon plein gré !".
Ou : "Il paraît que vous allez en Grèce cette été avec ta femme ?" "Oui, ça c'est décidé à l'insu de mon plein gré !".
Là où les "Guignols" ont trouvé leur source d'inspiration
Naturellement, même s'il n'a jamais brillé par sa syntaxe - mais ce n'est pas ce que l'on demande en priorité à un grimpeur d'exception, comme il l'était -, Richard Virenque n'a jamais déclaré "À l'insu de mon plein gré"...
Mais les Guignols de l'Info ont tout de même largement trouvé leur inspiration dans un entretien accordé à une journaliste :
- Richard Virenque : "Les ampoules je les connais parce que bon, on fait souvent des récupérations. Et pour ma part, ça peut pas être à son insu parce que je vois et... Une piqûre à son insu ça doit être difficile".