Et pas plutôt : "LAMACOVIR-19" pour "LAMAladie à COronaVIRus 2019" !
"COVID-19" est en effet un acronyme anglais signifiant "COronaVIrus Disease 2019", c'est à dire précisément "Maladie à coronavirus 2019".
Et il s'agit du nom choisi par l'OMS, le 11 février 2020, pour désigner la maladie apparue à Wuhan (Chine) en décembre 2019 et d'abord désignée sous le nom de "Le coronavirus de Wuhan".
On a d'abord commencé à parler dans notre pays "DU" COVID et à dire "LE" COVID, par association d'idées avec "le" coronavirus, qui était un mot masculin.
Mais après quelques mois, on a commencé à dire "LA" COVID et il semblerait que l'on souhaite à présent imposer ce genre féminin au mot COVID.
Pourtant, considérer qu'il faut utiliser l'article féminin "LA" au motif de ce qu'il s'agit d'une maladie et que ce mot français est féminin, est à mes yeuxrévélateur de la nécessité de parler de "Maladie à coronavirus" (ou "MACOVIR") en français et non de "COVID" en anglais, sacré bon sang de bois !
À l'absurdité de parler une fois encore en anglais, s'ajoute désormais, pour moi, le ridicule, auquel notre classe politique et notre classe journalistique nous ont hélas, déjà, par trop, habitué.
Ces deux petits pays insulaires des Caraïbes sont souvent confondus bien qu'ils n'aient évidemment strictement rien à voir l'un avec l'autre, sinon d'avoir été tous les deux découverts par l'explorateur italien Christophe Colomb, au cours de ses deux premiers voyages en Amérique.
"La Dominique", en forme longue "Le Commonwealth de Dominique", est un pays et une île des Petites Antilles, située entre les îles françaises des Saintes et de Marie-Galante (deux dépendances de la Guadeloupe) au Nord, et de la Martinique, au Sud.
Il s'agit d'un minuscule état de 754 km2 (Londres en compte 1 572) et 74 000 habitants (comme les trois premiers arrondissements du coeur de Paris) ; sa capitale, Roseau, n'en comptant que 17 000.
Ce qui ne l'a pas empêché de se voir âprement disputé, plus de trois siècles durant, par les espagnols autant que par les français et les anglais.
Histoire
Le premier Européen à l'avoir abordée est Christophe Colomb, le dimanche 3 novembre 1493, lors de son deuxième voyage aux Amériques. Il l'appelle donc "Domingo" ("dimanche" en espagnol), d’où provient son nom actuel de "Dominique" en français.
En 1625, lors de la guerre de Trente Ans, les Espagnols laissent la place aux Français puis au cours du XVIIe siècle, Français et Anglais s’affrontent pour gouverner l'île.
En 1660, Français et Anglais abandonnent l’île aux Caraïbes et la déclarent zone neutre ; pour mettre fin aux conflits, un traité de paix est signé entre les Français, les Anglais et les indiens Caraïbes.
Déjà installés à la Martinique et à la Guadeloupe, les Français s'implantent petit à petit à la Dominique.
Mais les Britanniques s'approprient de nouveau l'île en 1759.
À l'issue de la guerre de Sept Ans, par le traité de Paris (1763), la France cède la Dominique à l’Angleterre ; mais entre 1772 et 1814, les Français rompent le traité et s’emparent par deux fois de la Dominique. En 1814, après une dernière tentative de reconquête, les Français abandonnent définitivement l’île en échange d’une indemnité et cette dernière redevient britannique.
En 1898, l'île reçoit le statut de Colonie de la Couronne britannique. En 1956, elle acquiert son indépendance au sein de l'éphémère Fédération des Antilles britanniques et, en 1967, elle devient État associé au Commonwealth et entame l’instauration d’un régime démocratique.
L’indépendance de la Dominique est déclarée le 3 novembre 1978, lors du 485e anniversaire de sa découverte par Christophe Colomb.
et "La République dominicaine" est un pays des Grandes Antilles, créé le 27 février 1844.
Elle occupe environ les deux tiers de l'île d'Hispaniola, en mer des Caraïbes, Haïti occupant le tiers Ouest de l'île.
L'espagnol est la langue officielle de ce pays de 48 000 km2 (comme la Bourgogne-Franche-Comté), qui compte plus de 10 millions d'habitants (l'Île-de-France en compte 12,2).
Histoire
Habité par les Taïnos depuis le VIIe siècle, le territoire de la République dominicaine a été atteint par Christophe Colomb en 1492 et devint le site des premières colonies européennes en Amérique, Saint-Domingue devenant la première capitale espagnole au Nouveau Monde. Après trois siècles de règne espagnol, avec un interlude français et haïtien, le pays devint indépendant en 1821 mais fut rapidement repris par Haïti. Victorieux lors de la guerre d'indépendance de la République dominicaine en 1844, les Dominicains eurent pourtant de nombreuses difficultés à parvenir à une stabilité politique durant les 72 années suivantes.
Le nom du pays
Son origine se trouve dans le nom de la capitale, Saint-Domingue (Santo Domingo en espagnol), elle-même baptisée en l'honneur de saint Dominique Nunez de Guzman (en espagnol : Domingo Nunez de Guzman), un religieux catholique, prêtre, fondateur de l'ordre des frères prêcheurs appelés couramment "dominicains".
Né vers 1170 et mort le 6 août 1221, il fut canonisé par l'Église en 1234, et est célèbre sous le nom de "saint Dominique".
La République dominicaine n'a pas d'appellation officielle courte ou "forme courte". Cependant, il en existe plusieurs officieuses :
La "Dominicaine " ; cette appellation est peu usitée en français mais on trouve plus facilement ses équivalents anglais "Dominican" et espagnol "Dominicana".
"Saint-Domingue", par extension du nom de la capitale du pays, puisque c'est le substantif duquel dérive "dominicaine". Ce nom a cependant aussi été utilisé dans le passé pour désigner la colonie française qui occupait le tiers occidental de la même île (dite "Hispaniola") et à laquelle a succédé la république d'Haïti.
La "Dominicanie", terme surtout utilisé par les Haïtiens et qui date de l'occupation haïtienne.
et enfin "Quisqueya", le vieux nom indien de l’île d’Hispaniola. Le nom signifie probablement "Mère de la Terre" en taïno ; ses habitants s’appellant "Quisqueyanos".
Le génocide des Taïnos
De nombreux historiens considèrent que cette ethnie, chère au président Jacques Chirac, disparut du fait du génocide commis par les Européens durant la conquête de la région, ou des maladies introduites par les colons.
Ainsi, Bartolomé de las Casas, raconte dans son livre "Historia general de las Indias", qu'en 1508 il restait environ 60 000 Taïnos sur l'île d'Hispaniola. Mais que 23 ans plus tard, en 1531, l'exploitation des mines d'or, les suicides et les maladies avaient réduit ce nombre à 600, soit une diminution de 90 % !
Néanmoins des études de l'ADN mitochondrial (maternel), réalisées en 2002, ont permis de découvrir que 61,1 % des Portoricains et 15 % des Dominicains descendaient d'une femme taïno.
Ce substantif masculin peut avoir différentes significations en fonction du niveau de langue :
dans le langage courant, il désigne ainsi : une confiture élaborée à partir de jus de raisin, de sucre, parfois de vin doux, auquel on ajoute souvent des fruits (poires, coings en particulier).
Le raisiné nécessite des raisins très mûrs et très sucrés provenant de coteaux ensoleillés.
Le raisiné se fait généralement avec du raisin noir, mais le "raisiné bourguignon" et le "raisiné de Montpellier" se font avec du raisin blanc.
et dans le registre argotique : le sang.
J'ai évoqué dans un autre article "Du raisiné sur les bafouilles", un superbe récit complet en six planches réalisé en 1956 par Morris et Goscinny, que j'ai personnellement découvert en 1980 et qui m'a permis d'apprendre la signification de ce mot.
avant toute chose : celui ou celle qui est originaire de l'antique cité grecque de Sparte ("Lacédémone") ou qui y habitait ; en particulier celui ou celle qui fait partie de l'aristocratie, de la caste des guerriers et des citoyens de Sparte.
mais également : une sandale de cuir naturel à lanières entrecroisées laissant le pied à découvert, portée par les citoyens de l'antique cité grecque de Sparte.
Aix a été la première ville romaine sur le territoire de la France actuelle, fondée dès 122 av. J.-C. par le consul romain Gaius Sextius Calvinus.
D'où son nom latin d'Aquae Sextiae ("les eaux de Sextius").
Album des Voyages d'Alix "Aquae Sextiae Aix-en-Provence" de Yves Plateau, Alex Evang et Jacques Martin (2013)
Elle est souvent surnommée "La capitale des comtes de Provence", "La capitale du comté de Provence", "La cité du Roi René" ou "La cité du Roy René".
Cette dernière locution résulte du surnom de "Bon Roy René", attribué par ses sujets au plus célèbre des comtes de Provence, René d'Anjou, également appelé René Ier d'Anjou, René Ier de Naples et René de Sicile. Celui-ci a tout à la fois été seigneur puis comte de Guise (1417-1425), duc de Bar (1430-1480), duc consort de Lorraine (1431-1453), duc d'Anjou (1434-1480), comte de Provence et de Forcalquier (1434-1480), comte de Piémont, comte de Barcelone, roi de Naples (1435-1442), roi titulaire de Jérusalem (1435-1480), roi titulaire de Sicile (1434-1480) et d'Aragon (1466-1480) et, enfin, marquis de Pont-à-Mousson (-1480).
Pas question de cumul des mandats à l'époque !
Par simplification, on surnomme ainsi souvent Aix-en-Provence "La capitale de la Provence" ou "La capitale provençale".
Son riche passé historique vaut à la ville d'accueillir de nombreux musées, les ANOM (Archives Nationales d'Outre-Mer), le Centre Chorégraphique National du Pavillon Noir ou la Fondation Vasarely, expliquant son surnom de "La capitale culturelle de la Provence".
La place d'Albertas et sa fontaine, à Aix-en-Provence (13)
Le surnom de "La Florence provençale" résulte de son architecture et des couleurs de ses façades, aux teintes de sable doré, rose, orangé ou rouge.
Celui de "La ville aux mille fontaines" est assez largement exagéré, puisque le nombre total de fontaines publiques ou privées n'est que de ... 250 !
Le cours Mirabeau à Aix-en-Provence (13), la fontaine moussue et la statue du Roi René, au loin
Et dire que les habitants d'Aix-en-Provence osent - à l'instar de tous les français - se gausser de la tendance à l'exagération de leurs voisins marseillais !
La ville doit son surnom de "La capitale du calisson" à sa spécialité culinaire, une confiserie créée au XVIIe siècle, réalisée à base de pâte d'amandes aromatisée au melon et à l'orange confits.
Calissons d'Aix-en-Provence (13)
Son surnom de "La ville la plus coquine de France" tient à sa place de numéro un au classement des ventes de jouets sexuels par tranches de 100 000 habitants...
Et celui de "La ville la plus sexy de France" à sa place, là encore, de numéro un... au classement des ventes de lingerie par habitant !
Peut-être que l'on finira par surnommer Aix-en-Provence... "Sex en Provence" ?
Mon préféré
Enfin, et c'est de tous les surnoms de ma ville d'adoption celui que je préfère - même s'il est dans la langue de Shakespeare - : les paléontologistes états-uniens appellent Aix-en-Provence... "Eggs-in-Provence" !
On a en effet découvert, au cours du demi-siècle écoulé, une quinzaine de gisements d’oeufs de dinosaures issus du Crétacé supérieur, au sein du parc départemental de Roques-Hautes.
Oeuf de dinosaures découverts dans le parc départemental de Roques-Hautes (13)
Situés sur les communes d’Aix-en-Provence, de Beaurecueil, du Tholonet, de Saint-Antonin-sur-Bayon, et de Saint-Marc Jaumegarde (13), en contrebas du célèbre massif de la Sainte-Victoire, ses 800 hectares de relief accidenté constituent l'un des plus grands gisements européens d'oeufs de dinosaures et en font indubitablement l'un des haut-lieux de la paléontologie mondiale.
Tout en offrant aux scientifiques états-uniens l'opportunité de concevoir cet excellent calembour fondé sur la paronymie entre le mot anglais "Eggs" et le mot français "Aix" !
L’un ou l’autre, car le mot espagnol « el tequila » est masculin !
Cette boisson alcoolisée est produite au Mexique à partir de l'agave bleu, la plante également à l'origine de la fabrication du "Mezcal".
L'appellation d'origine "Tequila" requiert une production dans la localité du même nom et dans le seul état de Jalisco ou dans quelques municipalités des États mexicains de Nayarit, Michoacan, Guanajuato, et Tamaulipas.
Il s'agit du surnom du docteur Albert Schweitzer, né le 14 janvier 1875 et mort le 4 septembre 1965.
Ce médecin alsacien protestant, nourri d'une double culture allemande et française, qui était également pasteur, théologien, philosophe et musicien, fut un pionnier de la médecine humanitaire.
Il développa en effet à Lambaréné (Gabon),en pleine forêt équatoriale, à partir de 1913, un hôpital qui lui valut une énorme visibilité médiatique et le fit connaître dans le monde entier.
Avant que le prix Nobel de la paix ne lui apporte, en 1952, la consécration.
À titre personnel, je me suis très tôt passionné pour la vie de cet homme étonnant, car mes grands-parents maternels et ma mère avaient vécu au Gabon de 1938 à 1947.
Et que c'est à l'âge de 10 ans envion, que j'ai vu pour la première fois, à la télévision, "Il est minuit Dr Shweitzer", le film réalisé par André Haguet en 1952, d'après la pièce homonyme, écrite la même année par Gilbert Cesbron.
Avec Pierre Fresnay dans le rôle d'Albert Scweitzer - l'un de mes acteurs français préférés - et la jeune Jeanne Moreau dans celui de son infirmière, pour son cinquième rôle au cinéma.
Mais celle-ci s’emploie plutôt à propos d'un processus en en cours, alors que "Paris ne s'est pas fait en un jour", "Paris ne s'est pas faite en un jour", "Rome ne s'est pas fait en un jour" ou "Rome ne s'est pas faite en un jour" sont davantage utilisées pour quelque chose de terminé.
Dans le domaine de la bande dessinée, "L'École de Bruxelles" est une école artistique appartenant à l'âge d'or de la bande dessinée franco-belge, que l'on oppose traditionnellement à "l'École de Marcinelle", liée au "Journal de Spirou".
Mais dans le domaine du droit, "L'École de bruxelles" désigne une école de pensée qui s’illustre dans le domaine de la philosophie et de la science du droit.
Elle bénéficie d’un rayonnement international et se caractérise par son orientation pratique et transdisciplinaire, sa méthode pragmatique, son investissement dans la vie sociale et ses transformations.
Trois périodes successives ont jalonné son histoire :
L’école est née à la fin du XIXe siècle d’une inspiration positiviste et moderniste qui conduisit ses premiers membres à engager le tournant sociologique du droit, de la philosophie et des sciences humaines. L’École de Bruxelles a joué un rôle moteur dans le développement de la sociologie en Belgique.
Après 1945, une nouvelle génération de l’École, composée principalement de juristes - ainsi que de philosophes et logiciens - , fédérés autour de la figure tutélaire de Chaïm Perelman, a apporté une contribution majeure au tournant argumentatif en droit et en philosophie. Elle a ainsi permis le développement de l’argumentation comme discipline.
Enfin, depuis les années 1990, les juristes et philosophes du droit de l’École de Bruxelles analysent les conséquences majeures de la mondialisation sur les institutions politiques et juridiques et s’intéressent aux transformations en cours dans le domaine du droit.
Orsay (91) est une ville de la banlieue sud de Paris (75), aujourd'hui célèbre pour son université (Paris-Sud ou Paris-XI), créée le 1ᵉʳ janvier 1971.
Elle était autrefois reliée à la capitale par la ligne de la compagnie du chemin de fer de Paris (75) à Orléans (45), dont la tête de ligne fut, 39 années durant (1900-1939), la "gare du quai d'Orsay", puis "gare d'Orsay", un bâtiment monumental situé quai d'Orsay, en bordure de Seine, sur l'emplacement du Palais d'Orsay, construit de 1810 à 1840 et détruit sous la Commune de Paris en 1871.
Construite par l'architecte Victor Laloux pour l'exposition universelle de 1900, elle est inaugurée le 14 juillet 1900 sous le nom de... "gare d'Orléans" ; tout comme cela avait été le cas en 1840 avec la future... "gare d'Austerlitz" !
Lorsque la "Gare d'Orsay" s'appelait encore "Gare d'Orléans".
Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle est utilisée pour l'expédition des colis aux prisonniers puis pour l'accueil de ces mêmes prisonniers à la fin du conflit.
Longtemps désaffectée, menacée d'être transformée en hôtel de luxe dans les années 1960, le génial réalisateur états-unien Orson Welles en fait, en 1962, grâce à l'intervention d'André Malraux, le décor de son film "Le procès", adapté du roman de Franz Kafka.
Le grand hall devient même dans les années 1970 une annexe de l'hôtel des ventes de Drouot.
De 1973 à 1979, 2 000 mètres carrés de la verrière de la gare abritent le théâtre d'Orsay, de la compagnie Renaud-Barrault, créée en 1946 par Madeleine Renaud et Jean-Louis Barrault.
L’architecture est la synthèse des expériences internationales de la compagnie, qui a parcouru le monde et joué dans toutes sortes de lieux ; des théâtres antiques aux théâtres à l’italienne ou à l’allemande, sous des chapiteaux, etc…
Ils construisent ainsi un chapiteau de 900 places, une petite salle de 180 places située dans l’aile de la gare, où l’on monte des auteurs contemporains et un grand foyer tapissé avec des décors recyclés.
Au total, le Théâtre d’Orsay y a accueilli 300 000 personnes par saison.
Le bâtiment est définitivement sauvé en 1973 quand il est inscrit à l'Inventaire des Monuments historiques, puis classé en 1978, et, enfin, converti, à l'initiative du président Giscard d'Estaing, mais durant le premier septennat de Français Mitterrand, en musée consacré à l'art du XIXe siècle, ouvert en 1986 sous le nom de "musée d'Orsay".
Pour l'anecdote, son inauguration solennelle, le 1er décembre 1986, constitue un sommet de la malice et de la rouerie mitterrandiennes, puisque le président Mitterrand s'était plu à n'y convier en visite privée que les seuls Valéry Giscard d'Estaing (son prédécesseur, à l'initiative du projet) et Jacques Chirac (alors maire de Paris), leur guide très spécial n'étant autre que Mme Anne Pingeot, mère de sa fille adultérine Mazarine Pingeot.
Anne Pingeot, François Mitterrand, Jacques Chirac et Valéry Giscard d'Estaing, le 1er décembre 1986, lors de l'inauguration officielle du Musée d'Orsay
Spécialiste de la sculpture du XIXe siècle, celle-ci deviendra la conservatrice des sculptures du musée et était la maîtresse de François Mitterrand depuis déjà plus de vingt ans, ce qu'évidemment ni l'un ni l'autre des invités du président n'ignorait alors, mais que le grand public ne découvrira que 8 ans plus tard en 1994.
On imagine dès lorsaisément combien celui-ci à pu se délecter d'évoluer ainsi, quelques dizaines de minutes durant, aux côtés de la femme de sa vie (l'une des deux principales tout au moins !) et de ses deux grands rivaux politiques !
La "gare du musée d'Orsay" actuelle, enfin, est une gare ferroviaire française de la ligne C du RER, exploitée depuis 1979 par la SNCFau sous-sol de l'ancienne gare d'Orsay.
Sources : wikipedia.org, www.lefigaro.fr et compagnieaffable.com