Sortie en 1952, cette chanson à succès de Line Renaud lui a valu le surnom de "La demoiselle d'Armentières".
Et a apporté à la ville du Nord (59) où elle a grandi une notoriété, je pense, relativement inespérée.
Richesse et défense de la langue française
Ce sous-chapitre réunit l’ensemble de mes articles consacrés aux lieux.
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Sortie en 1952, cette chanson à succès de Line Renaud lui a valu le surnom de "La demoiselle d'Armentières".
Et a apporté à la ville du Nord (59) où elle a grandi une notoriété, je pense, relativement inespérée.
Il s'agit des trois anciens départements de "Corcyre", "Ithaque" et "Mer-Égée" créés sous la Première République française en 1797, lors de l'annexion des îles Ioniennes consécutive à la signature par Napoléon Bonaparte du traité de Campo-Formio .
En 1792, en pleine Révolution Française, la France déclare la guerre à l'Autriche dans un contexte de fortes tensions. Cette guerre déboucha finalement sur un grand conflit mettant aux prises la France et une coalition de grandes puissances européennes réunies au sein de la Première Coalition. La guerre dure cinq ans avant de se terminer avec le traité de Campo-Formio, signé le 18 octobre 1797 par le général et représentant de la République française Napoléon Bonaparte.
Ce traité met fin à la guerre franco-autrichienne et à la Première Coalition, mais il permet également de procéder à des échanges de territoires comme c'est fréquemment le cas. La France cède ainsi la République de Venise fraîchement conquise, mais reçoit de nombreux territoires dont certains se trouvent en Grèce. Elle annexe les îles Ioniennes (appartenant jusque-là à Venise) et les villes de Préveza et Vonitsa situées sur la côte Ouest du pays. Ces territoires reçoivent alors le statut de département créé en 1790 et sont divisés en trois :
Le 3 mars 1799, ces départements sont perdus suite aux assauts de la Russie et de l'Empire Ottoman qui cherchent à prendre ce territoire depuis 1798.
Les départements français de Grèce disparaissent définitivement en 1802 pour être remplacés par la "République des Sept-Îles". Celle-ci devient alors un protectorat sous domination russe en 1800, avant de repasser sous la juridiction française suite au traité de Tilsit en 1807.
Cet archipel de la mer Ionienne est ensuite en grande partie occupé par les Anglais à partir de 1809, d'abord officieusement puis officiellement suite au traité de Paris signé en 1814 après l’abdication de Napoléon Ier.
Et il faut attendre 1864 pour que les îles ioniennes soient enfin définitivement rattachées à la Grèce.
Sources : wikipedia.org et www.facebook.com/florian.petitalot
Le mot "Téranga" signifie "hospitalité" en Wolof et cette expression désigne le Sénégal.
Les Sénégalais l'utilisent eux-mêmes pour parler de leur pays et elle a été largement popularisée à travers le monde pour avoir servie de devise publicitaire dans les campagnes de promotions touristiques du pays ("Le Sénégal, pays de la Téranga").
Et cela au point d'avoir engendré, par extension et de façon abusive, l'expression "Les lions de la Téranga" pour désigner l'équipe nationale de football du Sénégal.
Elle bénéficie d’un rayonnement international et se caractérise par son orientation pratique et transdisciplinaire, sa méthode pragmatique, son investissement dans la vie sociale et ses transformations.
Trois périodes successives ont jalonné son histoire :
Source : wikipedia.org
"Les pays-Bas caribéens" ou "Caraïbes néerlandaises" est le nom donné, depuis le 10 octobre 2010, après la dissolution de l'État des "Antilles néerlandaises", à l'ancien regroupement des îles néerlandaises de Bonaire, Saint-Eustache et Saba, dites "Îles BES" (pour Bonaire, Eustache et Saba).
Éloignées de la côte européenne des Pays-Bas d'environ 7 200 kilomètres, celles-ci ont réintégré l'État des Pays-Bas en tant qu'entités publiques au statut de municipalité à caractère particulier (néerlandais : "openbare lichamen").
Bonaire, Saint-Eustache et Saba possèdent de grandes différences culturelles et géographiques.
Mais surtout : à l'importance considérable de leur population globale de 24 000 habitants s'ajoute l'immensité de leur superficie globale : 322 km2 (contre 240 pour la ville de Marseille (13)).
Elle fait partie du groupe des "îles Sous-le-Vent" (ou "îles ABC" pour Aruba, Bonaire et Curaçao) dans les Petites Antilles.
Source : wikipedia.org
Orsay (91) est une ville de la banlieue sud de Paris (75), aujourd'hui célèbre pour son université (Paris-Sud ou Paris-XI), créée le 1ᵉʳ janvier 1971.
Construite par l'architecte Victor Laloux pour l'exposition universelle de 1900, elle est inaugurée le 14 juillet 1900 sous le nom de... "gare d'Orléans" ; tout comme cela avait été le cas en 1840 avec la future... "gare d'Austerlitz" !
Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle est utilisée pour l'expédition des colis aux prisonniers puis pour l'accueil de ces mêmes prisonniers à la fin du conflit.
Longtemps désaffectée, menacée d'être transformée en hôtel de luxe dans les années 1960, le génial réalisateur états-unien Orson Welles en fait, en 1962, grâce à l'intervention d'André Malraux, le décor de son film "Le procès", adapté du roman de Franz Kafka.
Le grand hall devient même dans les années 1970 une annexe de l'hôtel des ventes de Drouot.
L’architecture est la synthèse des expériences internationales de la compagnie, qui a parcouru le monde et joué dans toutes sortes de lieux ; des théâtres antiques aux théâtres à l’italienne ou à l’allemande, sous des chapiteaux, etc…
Ils construisent ainsi un chapiteau de 900 places, une petite salle de 180 places située dans l’aile de la gare, où l’on monte des auteurs contemporains et un grand foyer tapissé avec des décors recyclés.
Au total, le Théâtre d’Orsay y a accueilli 300 000 personnes par saison.
Pour l'anecdote, son inauguration solennelle, le 1er décembre 1986, constitue un sommet de la malice et de la rouerie mitterrandiennes, puisque le président Mitterrand s'était plu à n'y convier en visite privée que les seuls Valéry Giscard d'Estaing (son prédécesseur, à l'initiative du projet) et Jacques Chirac (alors maire de Paris), leur guide très spécial n'étant autre que Mme Anne Pingeot, mère de sa fille adultérine Mazarine Pingeot.
Spécialiste de la sculpture du XIXe siècle, celle-ci deviendra la conservatrice des sculptures du musée et était la maîtresse de François Mitterrand depuis déjà plus de vingt ans, ce qu'évidemment ni l'un ni l'autre des invités du président n'ignorait alors, mais que le grand public ne découvrira que 8 ans plus tard en 1994.
On imagine dès lors aisément combien celui-ci à pu se délecter d'évoluer ainsi, quelques dizaines de minutes durant, aux côtés de la femme de sa vie (l'une des deux principales tout au moins !) et de ses deux grands rivaux politiques !
Sources : wikipedia.org, www.lefigaro.fr et compagnieaffable.com
Cet adjectif qualifie :
On parle par exemple d'un "confort spartiate" ou d'une "éducation spartiate".
Source : www.larousse.fr et www.cnrtl.fr
Achères (78) est une paisible localité de la banlieue parisienne, située dans les Yvelines, à 36 km de Paris (75) face à Conflans Sainte-Honorine (75), la ville où j'ai vécu de 8 à 25 ans.
Elle présente une double particularité, résultant de son emplacement, sur une plaine rigoureusement plate, située sur les bords de la rive gauche de la Seine :
Ces deux prépositions, qui s'utilisent dans les noms composés de localités, signifient "À côté de", "Près de".
Il existe ainsi par exemple "Joué-lès-Tours" (37) près de Tours (37) ou "Lys-lez-Lannoy" (59), près de Lannoy (59).
Source : www.larousse.fr
"Le nouveau Brooklyn", "Le Brooklyn parisien", "Le nouveau Berlin" ou "Le 21e arrondissement" (sous-entendu "de Paris (75)", qui n'en compte que 20) sont des locutions nominales correspondant aux différents surnoms donnés, par les journalistes et les professionnels de l'immobilier, dans les années 2010, à la ville de Montreuil (93), limitrophe du vingtième arrondissement, à l'Est de Paris (75).
Le surnom de "21e arrondissement" avait déjà été utilisé par le passé pour désigner d'autres localités.
Il s'agit du surnom donné, dès la fin des années 1930, à l'actrice française Danielle Darrieux.
"L'École de Bruxelles" est une école artistique appartenant à l'âge d'or de la bande dessinée franco-belge.
Elle est directement liée au "Journal de Tintin", lancé le 26 septembre 1946 dans la capitale belge par Raymond Leblanc et les éditions du Lombard.
Au contraire de "l'École de Marcinelle ou École de Charleroi", qui est liée au "Journal de Spirou", fondé le 21 avril 1938 à Marcinelle (Belgique) par Jean Dupuis.
Les dessinateurs de "l'École de Bruxelles" - Hergé, Edgar P. Jacobs, Jacques Martin - utilisent régulièrement dans séries ("Tintin", Blake et Mortimer", "Alix" et "Lefranc") des textes assez longs, très documentés et plutôt académiques, dans des phylactères de forme rectangulaire.
Source : wikipedia.org