"L'échelle de Scoville".

Cette échelle de mesure de la force des piments a été créée en 1912, par le pharmacien américain Wilbur Lincoln Scoville, né le 22 janvier 1865 et mort le 10 mars 1942.

Mise au point au sein de la société américaine Parke-Davis, à Détroit (Illinois) (États-Unis), dans le cadre de son travail, le but de cette échelle est de mesurer la "chaleur" ressentie (on parle de "pseudo-chaleur") et la sensation de piquant que procure l'absorption de chaque type de piment.

"Loustal"

Jacques de Loustal

Il s'agit du nom d'artiste du dessinateur et illustrateur français Jacques de Loustal, né le 10 avril 1956.

Curieusement, moi qui ai, durant ma jeunesse, rencontré de très nombreux dessinateurs, je ne l'ai jamais croisé, alors même qu'il habitait, des années durant, à Paris (75), l'immeuble de mon meilleur ami et parrain de ma fille aînée !

Illustration de Loustal

Loustal est l'auteur de nombreux albums de bande dessinée et livres pour enfants, et réalise régulièrement des couvertures pour la presse ("The New Yorker", notamment) ainsi que des illustrations pour la publicité ou des affiches de cinéma ; dont celle de l'un de mes films français préférés des années 1980 : "Un monde sans pitié", réalisé par Éric Rochant en 1989.

Affiche du film "Un monde sans pitié"
Un monde sans pitié, Affiche

Son style graphique, principalement réalisé en couleur directe, est particulièrement reconnaissable sous toutes ses formes : pinceau, plume, encre, peinture, fusain.

Artiste prolifique, avec plus de 80 ouvrages parus à ce jour, Loustal se caractérise dans le monde du 9e art et de l’illustration en s'inspirant plus de la peinture (le fauvisme, David Hockney, etc.) et du cinéma (Wim Wenders) que de la bande dessinée.

Illustration de Loustal

Et dans ce domaine, il a peu recours au phylactère, privilégiant les textes hors-champ ou le récitatif.

Il expose régulièrement ses peintures et dessins dans des galeries, en France et en Europe.

Source : wikipedia.org

Découvrez pourquoi John Wayne était surnommé "Duke" ou "The Duke".

John Wayne "The Duke"

L'acteur états-unien John Wayne était surnommé "Duke" ou "The Duke" ("Duc" ou "le Duc") depuis son enfance, car il était toujours accompagné du chien familial, un énorme Airedale Terrier du nom de "Duke".

Chien Airdale Terrier

Et c'est un pompier du voisinage, qui l'entendait régulièrement appeler son animal sur le chemin de l'école, qui a commencé à l'appeler lui-même "Little Duke" ("Petit Duc") ; surnom qui lui a plu car il n'aimait pas son véritable premier prénom ("Marion").

Le qualificatif de "Little" ("Petit") a naturellement rapidement disparu lorsqu'il a grandi et John Wayne a gardé ce surnom de "Duke" ou "The Duke" tout au long de sa vie !

"Berthomieu".

André Berthomieu

Il s'agit du nom d'artiste du réalisateur et scénariste français André Berthomieu, né le 16 février 1903 et mort le 10 avril 1960.

Metteur en scène sans prétentions artistiques, il se considérait comme un technicien du cinéma.

Berthomieu a été président du Syndicat des techniciens ainsi que de l'Association des Auteurs de films de 1945 à 1955.

Réalisateur prolifique, il tourne 67 long-métrages entre 1928 et 1960 !

Dont "Mon coeur et ses millions", en 1931, sous le nom d'artiste "Modeste Arveyres".

Sans qu'il s'agisse naturellement d'un grand réalisateur, Berthomieu figure néanmoins en très bonne place dans mon imposante vidéothèque, car quatre de mes acteurs français préférés de ces années là - Bourvil, Fernandel, Raimu et Michel Simon - ont plusieurs fois tourné sous sa direction :

Bourvil : Affiche du film "Blanc comme neige"

Affiche du film "Le coeur sur la main"

Affiche du film "Pas si bête"

Affiche du film "Le roi Pandore"

Fernandel : Affiche du film "Jim la houlette"

Raimu : Affiche du film "Le secret de polichinelle"

Affiche du film "Les nouveaux riches"

et Michel Simon : Affiche du film "Eusèbe député"

Affiche du film "La joyeuse prison"

Affiche du film "Le mort en fuite"

Votre sagacité légendaire vous aura aisément permis de le deviner ; je ne contribue guère aux bénéfices de la firme Disney, avec ses innombrables adaptations cinématographiques des séries de "comics" Marvel créées par Stan Lee...

Source : wikipedia.org

"Napoléonien" et "Napoléoniste".

  • "Napoléonien" ou "Napoléonienne" est avant tout un adjectif qualifiant tout ce qui se rattache à l'empereur Napoléon 1er.

"Napoléonien" peut également être un substantif désignant un fidèle partisan de Napoléon 1er.

  • tandis que "Napoléoniste" est prioritairement un substantif désignant la personne qui collectionne tout ce qui concerne l'empereur Napoléon 1er.

"Napoléoniste" peut également être un adjectif qualifiant les objets relatifs à Napoléon 1er.

"Richard Donner".

Le réalisateur américain Richard Donner

Il s'agit du nom d'artiste du réalisateur et producteur états-unien Richard Donald Schwartzberg, né le 24 avril 1930.

Après d'infructueuses tentatives pour devenir acteur, il devient réalisateur de films publicitaires, de documentaires et de films d'entreprise à partir de 1958.

Le succès de ses 6 épisodes de la troisième série du légendaire feuilleton télévisé "Au nom de la loi" avec Steve Mc Queen, en 1960-1961, lui vaut ensuite de réaliser de nombreux épisodes de feuilletons aussi populaires que "Sur la piste du crime", "Cannon", "Perry Mason", "Les Rues de San Francisco", "Les Mystères de l'Ouest", "Bronk" (jamais diffusé en France) et "La Quatrième Dimension".

Devenu réalisateur de cinéma dès 1961, il connaît le succès avec "La malédiction" en 1976, "Superman" en 1980 et "Les Goonies" en 1985.

Affiche du film "L'arme fatale"

Il rencontre ensuite l'acteur états-unien Mel Gibson, qui devient son acteur fétiche et avec lequel il tourne la comédie "Maverick" (1994) et le thriller "Complots" (1997), mais surtout la série de films à succès "L'arme fatale", dont les 4 volets ont rapporté plus d'un milliard de dollars (chiffre alors énorme) en 1987, 1989, 1992 et 1998.

En tant que producteur, nous lui devons notamment le feuilleton télévisé "Les contes de la crypte" et des films tels que "Sauvez Willy" (1 et 2) ou "X-Men : Days of Future Past".

Source : wikipedia.org

Les parents célèbres de Clémentine Autain.

Clémentiane Autain

Clémentine Autain, est une femme politique et journaliste française, née le 26 mai 1973.

Féministe et militant à gauche, elle appartient à "Ensemble !", l'une des composantes du FG (Front de Gauche), une coalition de partis politiques français, mise en place par le PCF (Parti Communiste Français, le PG (Parti de Gauche) et la GU (Gauche Unitaire), lors des élections européennes de 2009.

Son grand-père maternel est André Laffin, député de l'Yonne (89) et cofondateur du sulfureux et éphémère FNAF (Front National pour l'Algérie Française), entre juillet et décembre 1960.

Et l'un de ses oncles paternels est François Autain (1935-2019), député puis sénateur socialiste de la Loire-Atlantique (44), secrétaire d'État chargé de la sécurité sociale, puis des Immigrés, et enfin de la Défense sous la présidence de François Mitterrand.

Clémentine Autain est en effet la fille de deux personnalités des années 1970 puisque :

Yvan Dautin

  • son père n'est autre que l'auteur-compositeur-interprète français Yvan Dautin, de son vrai nom Yvan Autain, né le 6 mai 1945 et auteur notamment de la chanson "Boulevard des Batignolles", sortie en 1981.

Dominique Laffin

  • tandis que sa mère était l'actrice française Dominique Laffin - que j'adorais - née le 3 juin 1952 et tragiquement disparue le 12 juin 1985, à l'âge de seulement 33 ans.

En quelques années à peine, nous avons pu l'admirer dans les films de Claude Miller, Jacques Doillon, Christine Pascal, Robert Enrico, Marco Ferreri ou Claude Sautet.

Ou aux côtés de Gérard Depardieu, dès 1977, dans "La nuit, tous les chats sont gris", de Gérard Zingg, son premier film.

Pour ma part, encore adolescent, je l'avais adoré en 1978, dans "Les petits câlins", le premier film de Jean-Marie Poiré, quatre ans avant "Le Père-Noël est une ordure" (1982) et quinze ans avant "Les visiteurs" (1993).

Affiche du film "Les petits câlins"

"Anna Karina".

Anna Karina

Il s'agit du nom d'artiste et du nom de scène de l'actrice et chanteuse française d'origine danoise Hanne Karin Bayer, née le 22 septembre 1940 et morte le 14 décembre 2019.

Ce pseudonyme a inventé pour elle par la célèbre couturière Coco Chanel, lors de ses débuts comme mannequin dans l'agence Catherine Harlé.

Actrice vedette de la Nouvelle Vague, Anna Karina est principalement connue pour ses rôles dans les films de son mari, Jean-Luc Godard, entre 1960 et 1967.

Ainsi que pour sa carrière de chanteuse, notamment aux côtés de Serge Gainsbourg ("Sous le soleil exactement" ou Philippe Katerine.

Affiche du film "Pierrot le fou"

Pour de nombreux cinéphiles (mais pas pour moi qui demeure indéfectiblement insensible au travail de Jean-Luc Godard), elle reste à jamais l'inoubliable interprète du film "Pierrot le fou", tourné en 1965 à Porquerolles (83) avec Jean-Paul Belmondo.

Anna Karina

Source : wikipedia.org

L'origine littéraire du pseudonyme d'Érik Orsenna.

Erik Orsenna

Erik Orsenna est le nom de plume de l'écrivain et académicien français Éric Arnoult, né le 22 mars 1947.

"Orsenna" est le nom de la vieille ville dans le roman le plus célèbre de l'écrivain français Julien Gracq, "Le rivage des Syrtes", publié en 1951.

Il est en 1981 la plume de l'homme politique socialiste François Mitterrand, dont il est ensuite le conseiller culturel, de 1983 à 1984.

Source : wikipedia.org

"Le charmant petit monstre" et "La mademoiselle Chanel de la littérature".

Françoise Sagan

Ces deux surnoms désignent l'écrivaine française Françoise Sagan, née Françoise Quoirez, née le 21 juin 1935 et morte le 24 septembre 2004.

  • Le premier lui vient de l'écrivain français François Mauriac,  à la sortie de son premier roman, "Bonjour Tristesse", le 15 mars 1954 (article à la une du Figaro du 1er juin).
  • Et le second de l'écrivain français Bernard Frank, un ami intime qui avait sa chambre chez elle.

"Françoise Sagan".

Françoise Sagan

C'est chez l'écrivain français Marcel Proust, que l'écrivaine Françoise Quoirez, née le 21 juin 1935 et morte le 24 septembre 2004 a trouvé son nom de plume.

"Hélie de Talleyrand-Périgord, prince de Sagan" est en effet un personnage de "Le Côté de Guermantes", le troisième tome de "A la recherche du temps perdu", publié en deux parties en 1920 et 1921.

Qui a, du reste, réellement existé, puisqu'il s'agissait d'un gentilhomme français né le 23 août 1859 et mort le 25 octobre 1937, ayant eu l'excellente idée d'épouser civilement, en 1908, la richissime états-unienne Anna Gould, divorcée en 1906 de son cousin Boni de Castellane. Elle avait en effet hérité, en 1892, à la mort de son père, le milliardaire des chemins de fer Jay Gould, de la coquette somme de 80 millions de dollars de l'époque, soit plus de 2,3 milliards $ actuels.