"Marlene Dietrich".

L'actrice allemande Marlene Dietrich

Il s'agit du nom d'artiste de la chanteuse et actrice allemande naturalisée américaine Marie Magdalene Dietrich, née le 27 décembre 1901 et morte le 6 mai 1992.

Surnommée "L'ange bleu" ou "La blonde Vénus" - d'après le titre de deux de ses films - elle est l'incarnation parfaite de la femme fatale, à travers notamment les sept films tournés avec son pygmalion, le réalisateur austro-américain Josef von Sternberg (dont "L'ange bleu" (1930), "Morroco" (1930), "Blonde Vénus" (1932), "Shanghaï Express" (1932) ou "L'Impératrice rouge" (1934)), qui l'élevèrent au rang de mythe.

Son rôle dans le film "Le grand alibi" (1950) lui vaut d'appartenir à la grande famille des "blondes hitchcockiennes".

Elle s'engage contre le nazisme dès les années 1930, et participe activement à la Seconde Guerre mondiale entre 1944 et 1945, rendant mondialement célèbre la chanson "Lili Marleen", et obtenant, en 1947, la Medal of Freedom, plus haute distinction militaire américaine que peut recevoir un civil.

Alors que ses rôles au cinéma se font moins nombreux, elle se tourne vers la radio puis vers le music-hall, faisant le tour du monde avec son tour de chant entre 1953 et 1975.

Elle marque son époque par son style et son élégance au cours de ses apparitions publiques, s'habillant chez les grands couturiers, français notamment, comme Hermès, Dior, Chanel ou Balenciaga.

Afin de protéger son image, elle vit recluse les quinze dernières années de sa vie, dans son appartement du 12, avenue Montaigne à Paris (75), refusant de se faire photographier, tout en restant présente médiatiquement.

Jean Gabin, qu'elle rencontre à Hollywood en juillet 1941 et avec qui elle vit jusqu'à fin 1946, lui avait proposé de l'épouser et est demeuré le grand amour de sa vie.

Source : wikipedia.org

 

"La petite fiancée de la France".

Il s'agit du surnom de deux femmes françaises :

L'actrice française Dany Robin, dans "L'étau".

  • il fut d'abord, durant l'après-guerre, celui de l'actrice française Dany Robin, née le 14 avril 1927 et morte le 25 mai 1995.

Devenue l'une des principales vedettes féminines des années 1950, elle passe de l'emploi d'"ingénue" à celui de la Parisienne coquine.

Premier rôle féminin de "L'Étau" (1969), elle est considérée comme la dernière grande "blonde hitchcockienne" de l'histoire du cinéma.

La championne d'athlétisme française Colette Besson

  • puis, après sa médaille d'or sur 400 mètres aux Jeux Olympiques de Mexico, le 16 octobre 1968, de la championne d'athlétisme française Colette Besson, née le le 7 avril 1946 et décédée le 9 août 2005.

L'écrivain français Antoine Blondin, qui l'avait surnommée ainsi, lui avait également attribué le surnom de "La cavale brune".

Source : wikipedia.org

"Doris Day".

L'actrice américaine Doris Day, au piano, dans "L'homme qui en savait trop" de 1956.

Il s'agit du nom d'artiste de l'actrice, chanteuse et productrice américaine Mary Ann Kappelhoff, née le 3 avril 1922 et morte le 13 mai 2019.

Elle demeure l'inoubliable interprète de la chanson "Que Sera Sera" ("Whatever Will Be, Will Be"), de Jay Livingston et Ray Evans, dans la version de 1956 de "L'homme qui en savait trop", du réalisateur britannique Alfred Hitchcock, dans lequel elle incarna l'une des célèbres "blondes hitchcockiennes".

"Le Ramat".

Couverture du livre "Le Ramat de la typographie".

Il s'agit d'un code typographique de langue française, incluant les particularisations canadiennes.

Intitulé "Le Ramat de la typographie", il est édigé et édité depuis 1982 par le franco-canadien Aurel Ramat.

Il fait partie des quatre ouvrages de référence en français avec le "Code typographique", le "Guide du typographe" et le "Lexique des règles typographiques en usage à l'Imprimerie nationale".

"Le maître du suspense".

Il s'agit du surnom du réalisateur britannique Alfred Hitchcock, né le 13 août 1899 et mort le 29 avril 1980, peu de temps après avoir été anobli.

Nous lui devons 53 longs métrages, réalisés au cours d'une éblouissante carrière de 60 années, effectuée tant en Angleterre qu'aux États-Unis d'Amérique.

Tant par leur succès public que par leur réception et leur postérité critiques, certains d'entre eux comptent parmi les plus importants du septième art : "Les 39 marches", "Fenêtre sur cour", "Sueurs froides" ("Vertigo"), "La mort aux trousses", "Psychose" et "Les oiseaux", pour n'en citer que quelques uns.

Doué d'un sens aigu de l'autopromotion, notamment au travers de ses caméos, Hitchcock, interprète de son propre personnage, demeure l'une des personnalités du XXe siècle les plus reconnaissables et les plus connues à travers le monde.

Il est considéré comme l'un des réalisateurs les plus influents sur le plan stylistique.

Pionnier de nombreuses techniques dans le genre du "Thriller", il a installé les notions de "Suspense" et de "MacGuffin" dans l'univers du cinéma.

Et la "blonde hitchcockienne" est devenu l'un des archétypes du septième art.

Source : wikipedia.org

"Dolores del Rio".

Dolores del Rio

Il s'agit du nom d'artiste de l'actrice mexicaine Maria de los Dolores Asunsolo Lopez-Negrete, née le 3 août 1905 et morte le 11 avril 1983.

Très populaire dans son pays, cette vedette du cinéma muet est considérée comme l'actrice la plus représentative et la plus renommée du cinéma mexicain au niveau international.

Après avoir épousé Jaime Martinez del Río en 1921, elle émigre avec lui aux États-Unis d'Amérique, où elle divorce mais conserve son nom d'épouse pour poursuivre une carrière en tant qu'actrice, avant d'épouser, en 1930, le célèbre directeur artistique de la MGM, Cedric Gibbons.

 

"Thelonious Monk".

Il s'agit d'un musicien de jazz américain, né le 10 octobre 1917 et mort le 17 février 1982.

Pianiste et compositeur, il reste célèbre pour son style d'improvisation, ainsi que pour avoir écrit de nombreux standards de jazz.

À titre personnel, je n'ai cependant véritablement compris et su écrire son nom qu'à l'âge de 19 ans, et dans des circonstances pour le moins cocasses.

Étant en effet parvenu à me faire inviter à monter "prendre un dernier verre", après l'avoir raccompagnée chez elle, par une charmante jeune femme d'au moins quinze ans mon aînée, rencontrée par hasard au sortir d'une soirée, je me suis lamentablement ridiculisé en lui expliquant que non, je ne connaissais pas "Monk", son musicien de jazz préféré, mais seulement "Niousmonk"... "Theo Niousmonk", me semblait-il !

Fort heureusement pour moi, la mine consternée que je fis alors, en réalisant l'étendue de ma bourde, provoqua l'attendrissement de la mélomane et me sauva la mise !

"O. Menor" et "M.Oats".

 

Il s'agit des pseudonymes en forme de calembours des ACI français Jean-Jacques Goldman ("Homme en or" en anglais) et Marc Lavoine ("Oats" signifie "avoine" en anglais) pour l'écriture et la composition de trois chansons de 1993 de Marc Lavoine : "Ici-Bas", "L'aventure humaine" et "Tu me suffiras".

Jean-Jacques Goldman a également utilisé, entre 1979 et 2004, les pseudonymes "Sam Brewski", "First prayer" et "Sweet memories", auquel j'ai consacré un autre article.

"Jules Joffrin".

François Alexandre Jules Joffrin est un député socialiste français, né le 16 mars 1846 et mort le 17 septembre 1890.

La ville de Paris (75) lui a rendu hommage, en attribuant son nom à une place du 18e arrondissement le 29 juillet 1895, ouverte en 1858, à Montmartre, sous le nom de "Place Sainte-Euphrasie".

Puis à une station de métro, inaugurée le 30 octobre 1912, sous ladite place ; Jules Joffrin ayant été conseiller municipal et député de l'arrondissement.

Et le nom de cette station de métro inspira, bien des années plus tard, le journaliste français Laurent Joffrin pour le choix de son plume.

Source : wikipedia.org

"Laurent Joffrin".

Il s'agit du nom de plume du journaliste français Laurent Mouchard, né le 30 juin 1952 et qui a notamment été directeur de la rédaction du "Nouvel observateur", de mars 2011 à mars 2014, et est, depuis juin 2014, directeur de la rédaction et de la publication du quotidien "Libération".

Son nom de plume lui a été inspiré par celui du député socialiste Jules Joffrin, car il demeurait à proximité de la station de métro parisienne du même nom.

Source : wikipedia.org