Maggi est une entreprise helvétique d'aide culinaire, sise à Cham (Zoug) (Suisse) et fondée en 1885, par le suisse Julius Maggi (9 octobre 1846 - 19 octobre 1912) et qui fait partie du groupe helvétique Nestlé depuis 1947.
Il s'agit également d'une marque commerciale sous laquelle sont vendus certains produits fabriqués par Nestlé, notamment les purées Mousline, des bouillons cube, des soupes, des assaisonnements et des condiments.
Ces deux expressions appartiennent au registre populaire.
Ellipse de l'expression complète "En voiture Simone, c'est moi qui conduis, c'est toi qui klaxonnes !", la forme abrégée "En voiture, Simone !" signifie, selon le contexte :
au sens propre, lorsqu'au moment de prendre la route, un conducteur invite son ou ses passagers à monter dans la voiture sans perdre une minute : "Allons-y !", "Partons !".
On dit par exemple : "Allez, allez, fini les embrassades, on y va : en voiture Simone !".
et au sens figuré:
, pour encourager son ou ses interlocuteurs à commencer quelque chose, à démarrer une action : "On commence !", "Il est temps de s’y mettre !".
On dit par exemple : "Allez les gars, on se remue : en voiture Simone !".
ou pour évoquer la façon rapide et efficace avec laquelle on débute une activité : "C'est parti !", "Ça roule !".
On dit par exemple : "Tu as commencé les travaux de ta véranda ?" "Oh oui, depuis plusieurs jours déjà. J'ai passé la commande et en voiture Simone !"
Ou : "Tu te souviens de la petite blonde à la soirée de Jean-Marc ? Je l'ai rappelé mardi soir et en voiture Simone ! Elle déjeune avec moi samedi".
Aujourd'hui sans doute considérée comme un peu désuète, la formule "En voiture Simone !" était très populaire dans les années 60-70.
Elle est souvent faussement attribuée à l'animateur Guy Lux qui l'a toutefois popularisée, à partir du 17 juillet 1962, dans le jeu télévisé "Intervilles", en s'adressant à l'animatrice Simone Garnier, chargée d'arbitrer l'émission.
Les animateurs de télévision français Guy Lux et Simone Garnier, durant une émission d'"Intervilles"
Cette expression renvoie en réalité à Simone Louise de Pinet de Borde des Forest, généralement dite Simone Louise des Forest ou simplement Simone des Forest, une pilote automobile française, née le 7 mars 1910 et morte le 15 novembre 2004.
La pilote automobile française Simone Louise de Pinet de Borde des Forest (à gauche)
Ayant été l'une des premières femmes en France à avoir eu son permis de conduire, en 1929, celle-ci a participé à de nombreuses courses automobiles de 1930 à 1957, battant 24 records du monde.
La carte de l'Automobile Club de Vichy de Simone Louise de Pinet de Borde des Forest
Ayant également conduit un camion de la Croix-Rouge pendant la Seconde Guerre mondiale et été la première femme à ouvrir une auto-école, c'est sa renommée qui a fait naître l'expression "En voiture Simone", ellipse de "En voiture Simone, c'est moi qui conduis, c'est toi qui klaxonnes !", seulement popularisée ensuite par Guy Lux, à partir de 1962.
Sources : www.envoituresimone.com, rmc.bfmtv.com et wiktionary.org
Il s'agit des différents surnoms du joueur international de football suédois d'origine bosnienne Zlatan Ibrahimovic (zla-tane i-bra-i-mo-vi-tch), né le 3 octobre 1981.
"Ibra" est une simple apocope de son patronyme "Ibrahimovic",
"Zlatan" n'est que son prénom, mais son origine bosnienne suffit à l'identifier, compte tenu de sa rareté,
"Ibracadabra" est un astucieux calembour en forme de mot-valise (ibrahimovic abracadabra) faisant référence à son extraordinaire niveau de jeu,
"La bête", est le surnom que lui donnait son coéquipier anglais Marcus Rashford, à Manchester United, de 2016 à 2018, en référence à son physique hors norme pour un joueur de football,
"Dieu" est le surnom que lui donnait son coéquipier anglais Jesse Lingard, à Manchester United, de 2016 à 2018, en référence à ses performances exceptionnelles,
"Thor" est l'astucieux surnom en forme de calembour que lui donnait son coéquipier français Paul Pogba, à Manchester United, de 2016 à 2018, en référence au mot allemand signifiant "But" ("Tor"), ainsi qu'au Dieu du tonnerre, dans la mythologie nordique, et au super-héros de Marvel, créé en 1962 par l'éditeur Stan Lee, le scénariste Larry Lieber et le dessinateur Jack Kirby, et cela toujours au regard des performances exceptionnelles de Zlatan Ibrahimovic,
"Inzaghi" est le surnom que lui donnaient ses coéquipiers français Clément Chantôme et Mamadou Sakho, au PSG, de 2012 à 2016, en référence au patronyme de l'emblématique attaquant italien de la Juventus et de l'AC Milan, incarnant l'archétype du renard des surfaces, Filippo Inzaghi,
et "Le gitan" est le surnom que lui donne les membres de sa famille.
Le joueur de football international suédois Zlatan Ibrahimovic (1,95 m) et le joueur de football international argentin Lionel Messi (1,70 m)
Zlatan Ibrahimovic est considéré comme l'un des avants-centres les plus complets au monde et l'un des meilleurs attaquants de sa génération, son physique imposant et sa souplesse, acquise via la pratique des arts martiaux (ceinture noire de taekwondo) lui permettent de marquer des buts exceptionnels.
Zlatan Ibrahimović a la particularité d'avoir remporté le titre de champion avec cinq (voire six) clubs et dans quatre championnats différents :
aux Pays-Bas, avec l'Ajax Amsterdam (2002 et 2004),
en Italie, avec l'Inter de Milan (2007, 2008 et 2009),
puis en France avec le PSG (2013, 2014, 2015, 2016).
Avant l'affaire des matchs truqués du Calcio et les deux titres de 2005 et 2006 retirés à la Juventus de Turin, il avait remporté le championnat dans tous ses clubs depuis 2002, dont huit consécutivement, de 2004 à 2011.
Au niveau européen, il ne remporte pas la Ligue des champions, bien qu'il participe à plusieurs campagnes européennes avec ses clubs successifs. Il remporte néanmoins la Supercoupe de l'UEFA et la Coupe du monde des clubs de la FIFA avec Barcelone en 2009 ainsi que la Ligue Europa avec Manchester United en 2017.
International depuis 2001, Zlatan Ibrahimovic est actuellement le meilleur buteur de l'histoire de la sélection suédoise, avec 62 buts en 118 sélections, au 22 juin 2021.
Au-delà du joueur exceptionnel, un véritable personnage
Son charisme et ses provocations médiatiques en font eb effet une icône dépassant le cadre du sport.
Le personnage arrogant qu'il représente donne lieu à de nombreuses parodies, comme en France, aux Guignols de l'Info, qui ont fait de son prénom un néologisme, avec le verbe du registre populaire "Zlataner".
Et de sa marionnette l'un de leurs personnages vedettes plusieurs années durant.
Sa biographie, "Moi Zlatan", est un succès de librairie, avec plus de 700 000 exemplaires vendus entre fin 2011 et début 2013.
Il possède aussi une série de timbres, en Suède, à son effigie depuis 2014.
Et a sorti, en 2015, une version de l'hymne suédois en slam, qui est certifiée disque d'or.
Ainsi que j'ai malheureusement pu l'entendre dans le commentaire du premier épisode de la série documentaire états-unienne "Quand la nature se déchaîne", tourné en 2020 et diffusé le 6 juin 2021 sur la chaîne de télévision française RMC Story.
Mais : "Le Gujarat, l'État de naissance DU Mahatma Gandhi" !
Le Mahatma Gandhi photographié en studio, à Londres (Grande-Bretagne), en 1931
Mohandas Karamchand Gandhi, né le 2 octobre 1869 et mort assassiné à Delhi le 30 janvier 1948, est en effet un dirigeant politique, important guide spirituel de l'Inde et du mouvement pour l'indépendance de ce pays, communément connu et appelé en Inde et dans le monde comme "Mahatma Gandhi" (du sanskrit "mahatma" signifiant "grande âme"), voire simplement "Gandhi" ou "Bapu" ("père" dans plusieurs langues en Inde).
Et non "Le Mahatma Gandi".
"Mahatma » est d'ailleurs un titre qu'il refusa toute sa vie d'associer à sa personne.
Quant au Gujarat, État de naissance DU Mahatma Gandhi, il est l'un des vingt-neuf États de l'Inde.
Situé dans l’Ouest du pays, il est bordé :
au Nord par le Pakistan et le Rajasthan,
à l'Est par le Madhya Pradesh,
et au Sud par le Maharashtra.
Sa superficie de 196 024 km2 est équivalente à celle du Sénégal. Et sa population compte environ 64 millions d'habitants, soit presque autant que la France.
Dont environ 349 000 habitants dans sa capitale, Gandhinagar, une ville nouvelle construite dans les années 1960, et nommée "Gandhi" afin de rendre hommage à ce grand homme.
Ce syndrome a été décrit en 1975 par la gériatre états-unienne Allison N. Clark, pour caractériser un trouble du comportement conduisant à des conditions de vie négligées, voire insalubres.
Il comprend une forme extrême d'accumulation compulsive, appellée TAC (Trouble d'Accumultion Compulsive) ou "Syllogomanie", mais ne s'y limite pas.
Ce nom de "Syndrome de Diogène", adopté en 1975, fait référence à Diogène de Sinope, le philosophe grec du IVe siècle av. J.-C., figure clé du cynisme et disciple d'Antisthène.
Diogène vivait dehors, dans un dénuement extrême, vêtu d'un simple manteau, et muni d'un bâton, d'une besace et d'une écuelle.
Dénonçant l'artifice des conventions sociales, il préconisait une vie simple, hors de la culture et de la civilisation grecques, plus proche de la nature.
Il se pliait à certaines restrictions susceptibles de lui apporter une plus grande indépendance vis-à-vis des biens matériels, une plus grande liberté morale.
Et se contentait pour dormir, d'une grande jarre renversée, couchée sur le flanc, ou d'un tonneau.
Caractéristiques
Le syndrome associe entre autres :
une négligence parfois extrême de l'hygiène corporelle et domestique,
une accumulation d'objets hétéroclites, nommée également "Syllogomanie",
un déni de son état, et donc une absence de toute honte,
un isolement social selon les critères habituellement admis dans sa culture,
un refus d'aide, celle-ci étant vécue comme intrusive,
et une personnalité pré-morbide : soupçonneuse, astucieuse, distante, tendant à déformer la réalité (là encore selon les critères culturels en cours).
Historique
La première étude de ce modèle de conduite date de 1966. Cette année-là, deux psychiatres anglais, Mac Millan et Shaw, publient une étude sur 72 personnes âgées vivant dans des conditions d’hygiène personnelle et domestique inquiétantes.
Ils constatent chez ces patients un effondrement de leur norme de propreté personnelle et d'environnement et parlent de "Syndrome de décompensationsénile".
Symptômes
La personne présentant ce syndrome choisit un isolement social aussi grand qu'il lui est possible.
Elle en arrive à vivre presque recluse chez elle, n'ayant dès lors plus autant de raisons d'entretenir son logement et se désintéressant en même temps, à un degré plus ou moins grand, de son hygiène personnelle.
Le comportement du célèbre milliardaire états-unien Howard Hughes dans les dernières années de sa vie en constitue par exemple une parfaite illustration.
Se pensant à tort ou à raison en risque de pauvreté extrême, ce qui lui est suggéré par la vie peu gratifiante où elle s'installe, la personne atteinte du syndrome de Diogène essaie souvent d'économiser le plus possible pour parer à l'avenir, et accumule parfois des sommes importantes sans avoir réellement conscience de leur valeur.
Accumulerchez elle de grandes quantités de déchets ou du moins d'objets sans utilité immédiate l'amène à vivre dans des situations insalubres : d'abord simple encombrement, puis impossibilité d'entretenir ou même de faire entretenir son logement en raison même de cet encombrement devenu obstacle.
Patients
On trouve souvent un tel comportement chez des personnes d'âge avancé souffrant de solitude après la mort d'un conjoint ou d'un parent très proche.
Ce comportement peut être encouragé par un sentiment de fragilité financière, réelle ou non.
Et la solitude, voulue, ou l'isolement, subi, semble être le facteur de déclenchement principal.
Étiopathogénie
De 30 % à 80 % des personnes souffrant du syndrome de Diogène sont atteintes de maladies neuropsychiques.
Et presque 100 % chez les jeunes sujets.
Traitement
Le traitement doit commencer par la détection des cas de risque, puis l'admission dans un hôpital spécialisé ou une unité de gériatrie, avec étude des troubles médicaux. On prend ensuite des mesures adaptées de protection sociale pour éviter la rechute du patient dans ses conditions de vie antérieures. Dans quelques cas, il convient de traiter aussi une éventuelle pathologie psychiatrique associée (dépression, délire chronique).
S'il n'est pas possible d'assurer la vie en commun ou de placer le patient dans une institution sociale, il faut lui assurer un suivi régulier, des visites à domicile, et un travail coordonné de services sanitaires (médecin, infirmier/ère, ergothérapeute) et sociaux (travailleur social).
Bon, là, en ce qui concerne ces deux dernières photographies, j'aurais envie de dire que c'est très différent : rien que de très normal à mon sens.
Et je vous signale à toutes fins utiles l'existence de l'association d'aide et de soutien des victimes du syndrome de Diogène et de leurs proches "Survivre à l'insécurité", dont je vous communique ci-après :
Ce verbe a été inventé en 2012, à partir du prénom du joueur international de football suédois d'origine bosnienne Zlatan Ibrahimovic(zla-tan i-bra-i-mo-vi-tch), par les auteurs de l'émission satiriqueLes Guignols de l'Info, sur la chaîne de télévison française Canal Plus.
Il s'agissait d'un néologismepolysémique - très rapidement passé de mode - signifiant ironiquement, selon le contexte :
au sens propre :
gagner haut la main, au football
On dit par exemple : "Le PSG a zlatané son adversaire 5-0".
ou : savater,
On dit par exemple : "Fais attention en allant là-bas : tu risques de te faire zlataner".
et au sens figuré :
se faire avoir par plus rusé que soi,
On dit par exemple : "Je me suis fait zlatané comme un idiot !".
ou : agir en situation de suprématie physique, technique ou tactique ; dominer un adversaire de manière outrageante ou humiliante,
Mick Jagger, le chanteur des Rolling Stones, s’adressant au public avant un concert au Stade de France, le 13 juin 2014, a ainsi annoncé : "Ce soir, on va vous zlataner !".
Le Conseil de la Langue suédois a inclus, dès décembre 2012, son équivalent suédois ("Zlatanera") dans la liste des "néologismes acceptables en suédois", qu'il a défini ainsi : se charger de quelque chose avec vigueur, dominer.
Il s'agit des surnoms du joueur de football international italien reconverti entraîneur Filippo Inzaghi, né le 9 août 1973.
Avant-centre de type "Renard des surfaces", Inzaghi a inscrit 316 buts dans sa carrière, ce qui en fait le quatrième buteur de l'histoire du football italien derrière Silvio Piola (364 buts), Giuseppe Meazza (338 buts) et Roberto Baggio (318 buts).
Palmarès
Avec la Juventus de Turin, il a remporté le championnat d'Italie en 1998, la Supercoupe d'Italie en 1997, et été finaliste de la Ligue des Champions en 1998.
Et avec l'AC Milan, il a remporté le championnat d'Italie en 2004 et 2011, la Coupe d'Italie en 2003, la Supercoupe d'Italie en 2004, la Ligue des Champions en 2003 et 2007, la Supercoupe de l'UEFA en 2003 et 2007 et la Coupe du monde des clubs en 2007.
Avec la sélection nationale italienne, il remporte la Coupe du Monde de la FIFA en 2006 face à la France (Aaaargh !) et est finaliste du Championnat d'Europe en 2000.
Reconversion comme entraîneur
Il prend sa retraite de joueur à la fin de la saison 2011-2012 et devient entraineur des Allievi Nazionali (jeunes de l'AC Milan) pour la saison suivante. Durant la saison 2014/2015, il est entraineur de l'équipe première et termine à la dixième place du championnat, mais est démis de ses fonctions le 16 juin 2015 à cause de résultats insuffisants.
Famille
Son frère, Simone Inzaghi, était également footballeur professionnel.
Ces deux locutions verbales en forme de noms de vins appartiennent au registre familier.
Et elles désignent, de façon ironique : l'eau du robinet.
On dit par exemple : "Tu ne bois toujours pas de vin ? Non, je reste au Château La Pompe !".
La formule "Château Chirac" était utilisée à Paris (75), du 25 mars 1977 au 16 mai 1995, durant les trois mandats de maire de l'homme politique français Jacques Chirac ( (29 novembre 1932 - 26 septembre 2019).
On disait par exemple : "Et toi, que bois-tu ? Du Château Chirac s'il te plaît".
Jacques Chirac, ceint de son écharpe de maire de Paris, devant la devise de la capitale : "Fluctuat nec mergitur"
Il s'agit des surnoms du joueur de football international français Olivier Rouyer, né le 1er décembre 1955.
Formé à l'AS Nancy-Lorraine, ce joueur de petit gabarit (1,70 m pour 68 kg) a pour partenaire dans son club formateur, le futur triple ballon d'or Michel Platini, dont il est le grand copain.
Les joueurs de football internationaux français Michel Platini et Olivier Rouyer, à Nancy (54), le 12 février 1977
Ailier le plus rapide de sa génération, il est surnommé par le public nancéien "La rouille" ou "La flèche".
Il effectue une carrière internationale en pointillés, profitant surtout des blessures de l'ailier droit titulaire des Bleus Dominique Rocheteau pour jouer.
Il comptera au total 17 sélections et 2 buts entre 1976 et 1981. Dont le mémorable but victorieux au Parc des Princes contre l'Allemagne, en match amical, le 23 février 1977.
L'équipe de France vainqueur de l'Allemagne, en match amical, au Parc des Princes (1-0), le 23 février 1977, avec Olivier Rouyer, l'auteur du but de la victoire, à gauche au premier rang, à coté de Bernard Lacombe et Michel PlatiniOlivier Rouyer, le 23 février 1977, au Parc des Princes, en match amical contre l'AllemagneLe superbe but victorieux d'Olivier Rouyer (1-0), le 23 février 1977, au Parc des Princes, en match amical contre l'AllemagneOlivier Rouyer, auteur du but victorieux (1-0), le 23 février 1977, au Parc des Princes, en match amical contre l'Allemagne
En 1978 il participe à la Coupe du monde, en Argentine, après avoir remporté la Coupe de France avec l'AS Nancy-Lorraine.
L'équipe de l'AS Nancy-Lorraine vainqueur de la Coupe de France, le 13 mai 1978, avec, au premier rang, au centre Michel Platini, et à sa droite (à gauche sur la photo) Olivier Rouyer
Il devient capitaine de l'équipe en 1979. Mais en fin de saison, sa carrière est ralentie à la suite d'une fracture du tibia.
En 1981, il est transféré au RC Strasbourg pour trois saisons. Puis il termine sa carrière professionnelle à l'Olympique Lyonnais, de 1984 à 1986.
Reconversion après sa carrière de joueur
Après avoir raccroché les crampons, il reste dans le milieu du football. Il revient à Nancy (54), comme entraîneur du Centre de formation, puis il entraîne l'équipe première de l'AS Nancy-Lorraine pendant trois ans (octobre 1991-1994). Ainsi que le FC Sion (mars-juillet 1999).
Dès 1986, il devient consultant sur Canal+ où il se distingue par ses éclats de rire à l'antenne et sa difficulté à prononcer certains noms de joueurs (comme Luyindula), au point de les confondre parfois (Malouda et Maoulida par exemple).
En juin 2016, il quitte Canal+ pour rejoindre la chaîne L'Équipe, au sein de laquelle devient un chroniqueur régulier des émissions "L'Équipe d'Estelle" et "L'Équipe du soir", dans lesquelles j'avoue apprécier sa bonhommie et sa jovialité.
Il est enfin propriétaire du bar "Le Pinocchio", situé place Saint-Epvre à Nancy (54).
Le 16 février 2008, dans un entretien au journal L'Équipe, il affirme être homosexuel et ne plus s'en cacher depuis son arrivée à Strasbourg en 1981. Selon lui, c'est son orientation sexuelle qui lui aurait coûté son poste lorsqu'il entraînait Nancy en 1994.
En 2021, il demeure le seul joueur professionnel français à être sorti du placard. Et cela mérite d'être salué.
Après avoir figuré sur la liste UMP lors des élections municipales de 2008 à Saint-Max (54), Olivier Rouyer est élu en 2014 à Nancy (54) sur la liste UMP-UDI menée par Laurent Hénart pour les municpales.