"Mac Lesggy".

Mac Lesggy

Il s'agit du pseudonyme de l'animateur de télévision français Olivier Lesgourgues, né le 1er août 1962.

"Lesggy" est le diminutif habituel de son patronyme "Lesgourgues", tandis que "Mac" fait référence au préfixe écossais, pays auquel l'animateur voue une véritable passion.

Ingénieur agronome de formation, il anime depuis février 1991, sur la chaîne française M6, une émission de vulgarisation scientifique, intitulée "E=M6".

Il est notamment connu du grand public pour ses tenues vestimentaires excentriques, avec ses paires de lunettes Alain Mikli.

Source : wikipedia.org

"Fatty Arbuckle".

Roscoe "Fatty" Arbuckle

Il s'agit du surnom de l'acteur états-unien Roscoe Conkling Arbuckle, plus couramment appelé Roscoe Arbuckle, né le 24 mars 1887 et mort le 29 juin 1933, à l'âge de 46 ans,.

Cet acteur et réalisateur du cinéma muet américain abhorrait ce sobriquet de "Fatty" ("Le gros"), sous lequel il est pourtant devenu l'acteur du cinéma muet le plus populaire de son époque.

En septembre 1921, un terrible scandale de viol et de meurtre brise net sa carrière d'acteur.

Acquitté, il intervient alors un temps comme scénariste puis réalise, sous le nom de William Goodrich, une cinquantaine de films.

Et meurt, en 1933, d'une crise cardiaque alors qu'il venait de signer un contrat à long terme avec la Warner qui, depuis quelques films à succès, venait de relancer sa carrière d'acteur, sous son véritable nom.

Source : wikipedia.org

"Artie Shaw".

Artie Shaw

Il s'agit du nom d'artiste du musicien et chef d'orchestre de jazz états-unien Arthur Jacob Arshawsky, né le 23 mai 1910 et mort le 30 décembre 2004.

Brillant clarinettiste à la technique virtuose il est l'auteur d'une méthode de clarinette.

Artiste engagé, il est toujours apparu comme un homme de convictions ayant toujours milité contre la ségrégation raciale aux États-Unis d'Amérique.

Outre pour sa carrière artistique, Artie Shaw est connu pour avoir défrayé la chronique par ses nombreuses conquêtes féminines, au premier rang desquelles les actrices états-uniennes Lana Turner et Ava Gardner, dont il fut brièvement l'époux (7 mois pour la première et 12 pour la seconde).

Bien évidemment, la prononciation de son nom "à l'anglo-saxonne", telle que je l'entendais prononcé dans les émissions radiophoniques ("arti-cho", comme... "artichaut") me faisait beaucoup rire étant enfant et même, je le confesse, encore aujourd'hui...

Source : wikipedia.org

"Mickey Rooney".

Il s'agit du nom d'artiste de l'acteur états-unien Joseph Yule Jr., né le 23 septembre 1920 et mort le 6 avril 2014.

Célèbre dès les années 1930 comme enfant vedette, il s'est marié à huit reprises, dont une première fois de manière éphémère (1942-1943), avec l'actrice états-unienne Ava Gardner.

Mickey Rooney et AVa Gardner

Réalisateur, producteur, scénariste et compositeur, il a tourné dix décennies durant, de 1927 à 2014, c'est à dire de 7 à 94 ans !

 

 

 

 

 

 

 

Et il a tourné son dernier film "La nuit au musée : Le secret des pharaons" (2014) quelques semaines à peine avant sa mort.

Mickey Rooney

Source : wikipedia.org

"Claude Jade".

Il s'agit du nom d'artiste de l'actrice française Claude Jorré, née le 8 octobre 1948 et morte le 1er décembre 2006.

Actrice fétiche du réalisateur français François Truffaut, qui a fait d'elle "La petite fiancée du cinéma français", elle est devenue célèbre grâce à son rôle de Christine Darbon, la petite amie, l'épouse, puis la femme divorcée d'Antoine Doinel, dans le cycle de films : "Baisers volés" (1968), "Domicile conjugal" (1970) et "L'Amour en fuite" (1978).

Son rôle dans "L'Étau", réalisé en 1968 par le réalisateur britannique Alfred Hitchcock - qui l'avait embauché sur les conseils de François Truffaut -, lui vaut d'appartenir à la grande galerie des "blondes hitchcockiennes".

"Francis Ford".

Francis Ford, le frère aîné de John Ford

Il s'agit du nom d'artiste de l'acteur, scénariste et réalisateur états-unien d'origine irlandaise Francis Joseph Feeney, né le 14 août 1881 et mort le 5 septembre 1953.

Parti pour la Californie en 1909 avec Gaston Méliès (le frère aîné du célèbre réalisateur français Georges Méliès), il y devient acteur et réalisateur pour les studios Universal.

Ayant connu une ascension rapide aux premiers temps de l'industrie du cinéma, il a vu sa carrière décliner au moment de l'essor de celle de son jeune frère qu'il a fait débuter sous le nom de "Jack Ford", puis "John Ford" et qui est devenu l'un des plus importants réalisateurs états-uniens.

John Ford

Sa très importante filmographie compte près de 200 films comme réalisateur et près de 500 comme acteur.

Source : wikipedia.org

"Janet Leigh".

Janet Leigh dans "Psychose" (1960)

Il s'agit du nom d'artiste de l'actrice états-unienne Jeanette Helen Morrison, née le 6 juillet 1927 et morte le 3 octobre 2004.

Janet Leigh dans "Psychose" (1960)

Elle est notamment connue pour son interprétation de Marion Crane dans le film "Psychose", réalisé en 1960 par le metteur en scène britannique d’Alfred Hitchcock, qui lui vaut d'appartenir à jamais à la grande galerie des "blondes hitchcockiennes".

Elle a épousé en troisième noce l'acteur états-unien Tony Curtis, dont elle a eu deux filles, devenues elles aussi actrices : Kelly Curtis et Jamie Lee Curtis.

Jamie Lee Curtis, sa petite soeur Kelly et leurs parents, les acteurs vedettes états-uniens Tony Curtis et Janet Leigh

Source : wikipedia.fr

"André Cayatte".

André Cayatte

Il s'agit du nom d'artiste du réalisateur français Marcel Truc, né le 3 février 1909 et mort le 6 février 1989.

"André Cayatte" est également un nom de plume, puisque cet avocat de formation a publié différents romans et essais sous ce nom ; son oeuvre poétique étant signée "Armand Tréguière".

À partir de l'évocation de faits divers réels, son œuvre cinématographique interpelle le spectateur sur des sujets de société, tels que la corruption, l'abus de pouvoir, la délation, la pédophilie, l'euthanasie, la chirurgie esthétique, la bombe atomique, la réconciliation franco-allemande, la peine de mort, etc.

Ses trente films, dont de nombreux succès malgré une censure récurrente, ont ainsi mis en procès une société en voie de déshumanisation et formé un unique plaidoyer contre tout ce qui dans la modernité condamne l'individu, et tout spécialement le système judiciaire et le conformisme dont il se soutient.

Adolescent dans les années 1970, je me souviens avoir régulièrement entendu mon père dénoncer avec véhémence les films de ce réalisateur engagé, arguant de ce que "Chez Cayatte, ce n'est pas compliqué : il n'y a que des victimes innocentes injustement condamnées !".

Source : wikipedia.org