"Renée Simonot" ou "Renée Dorléac", la doyenne des actrices et acteurs du monde de 2014 à 2021.

La maman de Catherine Deneuve : l'actrice française Renée Simonot, née en 1911 et morte en 2021, doyenne des actrices et acteurs du monde, de 2014 à 2021

Il s'agit des noms de scène de l'actrice française Renée Deneuve, née le 10 septembre 1911 et morte le 11 juillet 2021.

Elle a été à ce titre la plus âgée des actrices françaises - et même des actrices et acteurs du monde - de 2014 à 2021.

Songez qu'elle avait commencé sa carrière sur scène, enfant, au théâtre de l'odéon, à Paris (75), il y a plus d'un siècle, en 1918 !

Et cela après qu'un artiste lyrique du nom de "Simonot" - auquel René Deneuve a souhaité rendre hommage en choisissant son nom de scène - ait appris à sa mère que le théâtre de l'Odéon recherchait des enfants pour monter sur les planches.

Compagne de l'acteur français Aimé Clariond, puis épouse de l'acteur français Maurice Dorléac, elle était la mère des actrices françaises Françoise Dorléac, Sylvie Dorléac et Catherine Deneuve ; cette dernière ayant repris le nom de jeune fille de sa mère comme nom d'artiste.

L'actrice française Renée Simonot, entourée de ses filles Catherine Deneuve et Françoise Dorléac

Elle était également, par le biais de Catherine Deneuve, la grand-mère des acteurs français Christian Vadim et Chiara Mastroianni.

Renée Simonot a été l'une des premières actrices françaises à faire du doublage, dès le début du cinéma parlant en 1929. À partir des années 1930, elle prête ainsi sa voix à Olivia de Havilland (dans la plupart de ses films), Judy Garland ou encore Esther Williams.

Elle a cessé ses activités d'actrice en 1946, après avoir eu sa quatrième fille, mais a poursuivi son activité de doublage jusque dans les années 1990.

L'actrice française Renée Simonot ou Renée Dorléac, maman de Catherine Deneuve, née en 1911, doyenne des actrices françaises et du monde

Ainsi a-t-elle par exemple encore doublé, en 1990, Winona Ryder, pourtant née 70 ans plus tôt qu'elle, dans le film de Tim Burton "Edward aux mains d'argent". Ce qui est révélateur de la jeunesse de sa voix, de son dynamisme et de son dynamisme, tant loué par Catherine Deneuve.

Sources : wikipedia.org et www.closermag.fr

Jean Halain

"Jean Halain" est le nom de plume du scénariste et dialoguiste français Jean-Marie Hunebelle, né le 14 janvier 1920 et mort le 14 août 2000.

Il a été le scénariste et dialoguiste de Louis de Funès, que son père, André Hunebelle, a tiré de l'anonymat, en 1958, en lui donnant le rôle principal du film "Taxi, roulotte et corrida", et qu'il diriga ensuite plusieurs fois dans sa carrière, entre autres avec Jean Marais dans sa célèbre trilogie des "Fantômas" : "Fantômas" (1964), "Fantômas se déchaîne" (1965) et "Fantômas contre Scotland Yard" (1967).

Source : wikipedia.org

Micheline Presle

L'actrice française Micheline Presle

Il s'agit du nom de scène de l'actrice française Micheline Chassagne, née le 22 août 1922.

L'actrice française Micheline Presle

Ce nom de "Presle" lui vient de son premier succès au cinéma, dans "Jeunes filles en détresse" de Georg Wilhelm Pabst (1939), son quatrième film, où elle incarne une jeune pensionnaire nommée "Jacqueline Presle".

Affiche du film français "Jeunes filles en détresse" de Georg Wilhelm Pabst (1939)

Par sa longévité et le prestige de sa carrière, elle est l'une des légendes vivantes du cinéma français.

Affiche du film français "Le diable au corps" de Claude Autant-Lara (1947)

En 1947 elle tourne aux côtés de Gérard Philipe dans "Le diable au corps" de Claude Autant-Lara (1947), avant de quitter la France pour les États-Unis à la fin des années 1940.

Elle y rencontre William Marshall (1917-1994) divorcé de Michèle Morgan (1920-2016) dont il a un fils, Mike Marshall (1944-2005). Ils se marient en 1950 et divorcent en 1954, après avoir eu une fille, Tonie Marshall, en 1951, devenue réalisatrice.

L'actrice française Micheline Presle et sa fille la future réalisatrice Tonie Marshall
L'actrice française Micheline Presle et sa fille la future réalisatrice Tonie Marshall

De 1965 à 1971, elle acquiert une grande notoriété en incarnant la pétulante Ève Lagarde, l'épouse de Pierre (Daniel Gélin), dans "Les Saintes chéries", un feuilleton télévisé à succès, réalisé par un certain... Jean Becker, assisté (pour la dernière saison tout du moins) du jeune... Jean-Jacques Beinex.

Lors de mon arrivée en France à l'âge de 4 ans, début 1965, il faisait partie de mes trois feuilletons préférés avec les mythiques "Au nom de la loi" et "Thierry la fronde".

Ève et Pierre Lagarde dans le feuilleton télévisé "Les saintes chéries" (1965-1971)
Ève et Pierre Lagarde dans le feuilleton télévisé "Les saintes chéries" (1965-1971)

Comme moi, j'en suis sûr, vous vous souvenez certainement de sa B.O. :

Source : wikipedia.org

Jean-Paul Le Chanois

Le réalisateur français Jean-Paul Le Chanois

Il s'agit du nom d'artiste du réalisateur et metteur en scène français Jean-Paul Dreyfus, né le 25 octobre 1909 et mort le 8 juillet 1985.

Entré en 1930 à "La Revue du Cinéma", il joue ensuite comme acteur dans les films de la société Pathé avant de devenir attaché de direction de la société. Il travaille ensuite comme assistant aux côtés de Julien Duvivier, Alexandre Korda, Maurice Tourneur et Jean Renoir avant d'exercer le métier de monteur.

Dans les années trente, il est l'un des animateurs du Groupe Octobre, un groupe artistique lié au Front populaire.

Jean-Paul Le Chanois réalise ses premiers films avant la guerre ("Le Temps des cerises" en 1938 et "L'Irrésistible rebelle" en 1940).

Communiste, et d'origine juive, il travaille comme scénariste sous un prête-nom pour la Continental-Films, société de production de films français dirigée par les Allemands sous l'Occupation. Jean-Paul Le Chanois dirige le Comité de libération du cinéma français, organisme de résistance sous l'Occupation, sous le pseudonyme de "Marceau" et signe un film unique : "Au coeur de l'orage" (1944). Réalisé à partir de séquences filmées dans le Maquis du Vercors, c'est le seul film sur la résistance tourné sous l'Occupation.

Après la guerre, il écrit quelques scénarios et dialogues pour d'autres réalisateurs avant de recommencer à tourner.

Il allie le populisme traditionnel du cinéma français au néoréalisme italien d'après-guerre.

Jean-Paul Le Chanois se tourne ensuite vers un cinéma moins élaboré, exploitant une veine souriante et comique, comme, en 1954, l'un de ses plus grands succès, "Papa, Maman, la Bonne et moi", une comédie de moeurs sur la famille française type. Suivi, en 1956, de "Papa, maman, ma femme et moi".

Affiche du film français "Papa, maman, la bonne et moi" de Jean-Paul Le Chanois (1954)

 

Affiche du film français "Papa, maman, ma femme et moi" de Jean-Paul Le Chanois (1956)

Cinéaste engagé, ses films portent un regard sur les avatars contemporains : la crise du logement pour "Papa, Maman, la Bonne et moi" (1954), l'accouchement sans douleur pour "Le Cas du docteur Laurent" (1956) ou l'éducation permissive des enfants avec "Par-dessus le mur" (1961).

Affiche du film français "Par-dessus le mur" de Jean-Paul Le Chanois (1961)

Puis Le Chanois tourne en 1958 "Les Misérables", une des productions les plus coûteuses du cinéma français, en deux époques, avec Jean Gabin dans le rôle de Jean Valjean, Bourvil dans celui de Thénardier et Bernard Blier en inspecteur Javert.

Affiche du film français "Les misérables" (1ère époque) de Jean-Paul Le Chanois (1958)Affiche du film français "Les misérables" (2e époque) de Jean-Paul Le Chanois (1958)

En 1964 et 1966 il réalise encore deux films avec Jean Gabin, devenu son acteur fétiche, "Monsieur" et "Le Jardinier d'Argenteuil", avant de mettre un terme à sa carrière cinématographique.

Affiche du film français "Monsieur" de Jean-Paul Le Chanois (1964)Affiche du film français "Le jardinier d'Argenteuil" de Jean-Paul Le Chanois (1966)

Jean-Paul Le Chanois a également écrit et composé des chansons, pour Barbara, Édih Piaf ou Yves Montand.

Et créé, à la fin des années 1970, une association, "L'Image et la Mémoire", destinée à recueillir les témoignages filmés de tous les vétérans qui avaient fait le cinéma français.

Source : wikipedia.org

Anémone

L'actrice française Anémone

Il s'agit du nom de scène de l'actrice et scénariste française Anne Bourguignon, née le 9 août 1950 et morte d'un cancer le 30 avril 2019.

L'actrice française Anémone

Elle tient son pseudonyme du premier film dans lequel elle a tourné, "Anémone" de Philippe Garrel, en 1968.

Anémone a été la compagne de l'homme politique écologiste Brice Lalonde et du réalisateur Philippe Galland.

Elle a commencé sa carrière au café-théâtre, avec la troupe du Splendid.

C'est Coluche qui lui offre son premier grand rôle au cinéma dans "Vous n'aurez pas l'Alsace et la Lorraine" en 1977.

Affiche du film français "Vous n'aurez pas l'Alsace et la Lorraine" de Coluche (1977)

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Étiemble

L'écrivain français René Étiemble dit Étiemble

Il s'agit du nom de plume de l'écrivain français René Étiemble, né le 26 janvier 1909 et mort le 7 janvier 2002).

Cet universitaire français, traducteur de poésie et reconnu comme éminent sinisant était un spécialiste du confucianisme et du haïku.

Défenseur des littératures extra-européennes, Étiemble fut le directeur de la collection "Connaissance de l'Orient" chez Gallimard , qui avait pour but de faire connaître en France les littératures asiatiques, qu'elles soient chinoise, japonaise, indienne ou vietnamienne.

Considéré comme comme le véritable introducteur en France de la littérature comparée, il est le fondateur de la revue littéraire "Valeurs" dont le premier numéro paraît en 1945. Et le Directeur littéraire des éditions du Scarabée.

Enfin, polémiste érudit, il fut - et je l'admire pour cela - un ardent défenseur de la langue française et un pourfendeur du "franglais".

"Parlez-vous franglais ?", paru en 1964, fut d'ailleurs son livre le plus célèbre.

Écrivant l'anglais comme le français, il estimait qu'aucune de ces deux langues n'avait à empiéter l'une sur l'autre, chacune ayant à respecter son génie propre. Et citait à cet égard en exemple le "packet-boat" francisé en "paquebot" et le "riding-coat" dont on avait fait avec bonheur la "redingote".

Source : wikipedia.org

"Mag-Avril"

L'actrice française Mag-Avril

Il s'agit du nom d'artiste de l'actrice française Marguerite Perrée-Sauvan, née le 9 mars 1899 et morte le 4 novembre 1985.

Elle a débuté au théâtre en 1949, après avoir commencé à tourner pour le cinéma en 1941.

Bien qu'on la retrouve au générique de 66 films jusqu'en 1974, elle n'a jamais eu, je crois, de rôle très important.

Mais comme je regarde toujours intégralement les génériques des films (*), j'ai très vite retenu son nom - étonné par son étrange pseudonyme -, puisqu'on la retrouve dans pas moins de 11 films de ma vidéothèque personnelle :

  • "Coeur de coq" de Maurice Cloche (1946), "Le boulanger de Valorgue" de Henri Verneuil (1953), "Le chômeur de Clochemerle" de Jean Boyer (1957), "Les vignes du Seigneur" du même réalisateur (1958), "La cuisine au beurre" de Gilles Grangier (1963), "Le bon roi Dagobert" de Pierre Chevalier (1963), aux côtés de Fernandel,

Affiche du film français "Le bon roi Dagobert" de Pierre Chevalier (1963)

  • "Lady paname" de Henri Jeanson (1950), aux côtés de Louis Jouvet,

Affiche du film français "Lady Paname" de Henri Jeanson (1950)

  • "Le cas du Docteur Laurent" de Jean-Paul Le Chanois (1957) et "Les misérables" du même réalisateur (1958), aux côtés de Jean Gabin,

  • "Fortunat" d'Alex Joffé (1960), "La cuisine au beurre" de Gilles Grangier (1963) et même "La grande vadrouille" de Gérard Oury (1966) aux côtés de Bourvil !

Affiche du film français "Fortunat" de Alex Joffé (1960)

Aujourd'hui bien oubliée de tous, j'ai eu toutes les peines du monde à trouver une misérable photo d'elle sur internet...

(*) : Je ne parle naturellement pas de ces génériques actuels interminables de 5 à 8 minutes, qui, par obligation légale, nous égrènent sempiternellement  - en particulier à la fin des films à gros budget états-uniens - la liste exhaustive des noms de l'intégralité des chauffeurs, assistants stagiaires éclairagistes et autres remplaçants menuisiers des deux ou trois équipes de tournages, ainsi que des dizaines de cascadeurs ou des centaines de spécialistes des effets spéciaux !

Mes lecteurs réguliers ont compris depuis belle lurette que mes goûts cinématographiques m'empêchent le plus souvent de trouver le moindre intérêt dans un film de moins d'un petit quart de siècle !

Source : wikipedia.org

"Liliane Rovère".

L'actrice française Liliane Rovère

Il s'agit du nom d'artiste de l'actrice française Liliane Cukier, née le 30 janvier 1933.

Elle a été l'épouse du contrebassiste Bibi Rovère et a vécu durant deux ans avec le musicien de jazz états-unien Chet Baker.

L'actrice française Liliane Rovère et le musicien de jazz états-unien Chet Baker

Repérée en 1970 par le réalisateur français Bertrand Blier qui l'embauche pour jouer dans "Calmos" (1974), puis, quelques années plus tard, dans "Préparez vos mouchoirs" (1977), on la retrouve ensuite au générique de près d'une centaine de films et feuilletons télévisés.

Mais c'est incontestablement son rôle d'imprésario d'Arlette Azémar, dans le feuilleton "Dix pour cent", à partir de 2015, qui lui assure, à 82 ans, la notoriété.

Source : wikipedia.org

Anne Bancroft

L'actrice états-unienne Anne Bancroft dans "Le lauréat" de Mike Nichols (1967)

Il s'agit du nom d'artiste de l'actrice et réalisatrice états-unienne Anna Maria Louisa Italiano, née le 17 septembre 1931 et morte le 6 juin 2005.

L'actrice états-unienne Anne Bancroft

Engagée par Darryl Zanuck pour la 20th Century Fox, elle débute au cinéma en 1952 dans "Troublez-moi ce soir" de Roy Ward Baker aux côtés de Marilyn Monroe et Richard Widmark.

L'actrice états-unienne Anne Bancroft et l'acteur états-unien Richard Widmark dans "Troublez-moi ce soir" de Roy Ward Baker (1952)
L'actrice états-unienne Anne Bancroft et l'acteur états-unien Richard Widmark dans "Troublez-moi ce soir" de Roy Ward Baker (1952)

Affiche du film "Troublez-moi ce soir" de Roy Ward Baker (1952)

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Chet Baker

Le musicien de jazz états-unien Chet Baker

Il s'agit du nom d'artiste du musicien de jazz états-unien Chesney Henry Baker, Jr., né le 23 décembre 1929 et mort le 13 mai 1988.

Le musicien de jazz états-unien Chet Baker

Trompettiste, bugliste et chanteur, Chet Baker a beaucoup enregistré.

Il a séjourné en Europe en 1955-1956 et de 1959 à 1964.

Et a vécu durant deux ans avec l'actrice française Liliane Rovère.

Le musicien de jazz états-unien Chet Baker

Arrêté dès 1953 pour consommation de stupéfiants, il mourra en 1988 à Amsterdam (Pays-Bas), après être tombé par la fenêtre de sa chambre d'hôtel ; sa chute étant survenue après la prise d'importantes quantités de cocaïne et d'héroïne.

Source : wikipedia.org

Mel Brooks

Le réalisateur états-unien Mel Brooks

Il s'agit du nom d'artiste de l'acteur et réalisateur états-unien Melvin Kaminsky, né le 28 juin 1926.

Producteur exécutif, scénariste, compositeur et producteur américain

En 1963, il coréalise son premier film : un court-métrage parodique sur l’art moderne intitulé "The Critic", qui remporte un Oscar.

Producteur de théâtre, il épouse en 1964 l’actrice états-unienne Anne Bancroft, avec laquelle il reste marié jusqu'au décès de celle-ci, en 2005.

L'actrice états-unienne Anne Bancroft et le réalisateur états-unien Mel Brooks

Il est ensuite le cocréateur de la parodie d’espionnage "Max la Menace", diffusée de 1965 à 1970, avec Don Adams.

Mel Brooks écrit ensuite un scénario fondé sur son expérience avec les producteurs de Broadway, qui devient son premier long métrage en tant que réalisateur - "Les Producteurs" (1968) - et qui remporte un Oscar (le seul de sa carrière).

C'est là qu'il fait la connaissance de l'acteur qui devient son coéquipier dans bon nombre de ses films, Gene Wilder.

En 1974, alors qu'il est en train de tourner un de ses plus célèbres films, "Le shérif est en prison", Gene Wilder lui propose un scénario original, "Frankenstein Junior", une parodie du grand film des années 1930, qui devient par la suite son film le plus célèbre, avec "Les Producteurs".

Le réalisateur états-unien Mel Brooks

En 1981, pour "La Folle Histoire du monde", Mel Brooks est à l'origine d'un morceau de rap intitulé "It's good to be the king" ("C'est bon d'être le roi") où il apparaît, dans cette séquence filmée, déguisé en Louis XVI.

Le clip, extrait de son film, étant un tube planétaire, il récidive avec d'autres morceaux rap comme "Inquisition", sans toutefois connaître un succès comparable à "It's good to be the king".

Travaillant simultanément comme scénariste, metteur en scène et acteur, Mel Brooks a souvent obtenu de mauvaises critiques en raison de son style excessif.

En tant que producteur, Mel Brooks oeuvre dans un registre beaucoup plus dramatique au sein de sa société de production Brooksfilms. Au cours des années 1980 il produit ainsi des projets aussi variés que "Elephant Man" de David Lynch (1980) ou "La Mouche" de David Cronenberg (1986).

En 1991, il fait une tentative de film non-parodique avec "Chienne de vie", mais le film est un échec. Il revient alors à son domaine de prédilection, les parodies, avec "Sacré Robin des Bois" et "Dracula, mort et heureux de l'être".

Mel Brooks passe la deuxième moitié des années 1990 à jouer le rôle d’Oncle Phil dans le feuilleton télévisé "Dingue de toi" sur NBC.

Enfin, en 2001, la version théâtrale des "Producteurs", avec Nathan Lane et Matthew Broderick, connaît un triomphe et bat un record en remportant un Grammy et douze Tony Awards mais aussi un Oscar et un Emmy.

Source : wikipedia.org