Il s'agit du surnom en forme de gémination du contrebassiste de jazz français Gilbert Rovère, né le 29 août 1939 et mort d'un cancer le 13 mars 2007.
Frère du contrebassiste de jazz français Paul Rovère, il a accompagné des musiciens aussi célèbres que les états-uniens Bud Powell, Sonny Rollins, Dexter Gordon ou Duke Ellington. Ou encore le français Martial Solal.
Il a été l'époux de l'actrice française Liliane Rovère, née Cukier, qui a gardé son nom d'épouse comme nom d'artiste.
Il s'agit du nom d'artiste du réalisateur, scénariste et acteur français Max-Gérard Houry Tannenbaum, né le 29 avril 1919 et mort le 19 juillet 2006.
En tant que réalisateur, ses plus grands succès sont "Le corniaud" (1965), "La grande vadrouille" (1966) et "Les aventures de Rabbi Jacob" (1973), tous portés par l'acteur Louis de Funès (et bien sûr aussi par Bourvil, pour les deux premiers).
Gérard Oury est le scénariste de tous ses films à l'exception de "Fantôme avec chauffeur". Et il a été l'auteur et le metteur en scène d'une pièce de théâtre.
Réalisateur de grands succès populaires, il a été honoré à la fin de sa carrière d'un César d'honneur en 1993, décerné en l'honneur de l'ensemble du cinéma comique français, d'une entrée à l'Académie des beaux-arts en 1998, au fauteuil de René Clément, et d'une rétrospective consacrée à son œuvre au festival de Cannes 2001.
Fils d'un violoniste juif d'origine russe, Serge Tannenbaum, il suit les cours de René Simon à dix-sept ans, puis entre au Conservatoire en 1938, aux côtés de Bernard Blier et François Périer.
Pensionnaire de la Comédie-Française en 1939, il obtient son premier rôle en remplacement d'un acteur mobilisé. En 1940, il fuit la zone occupée avec sa compagne comédienne, Jacqueline Roman, d'abord en zone libre, puis à Marseille (13), à Monaco et enfin à Genève (Suisse), afin d'échapper aux mesures antisémites ayant cours dans la France occupée. En 1942, il ne reconnaît pas sa fille unique, la réalisatrice Danièle Thompson, afin de lui éviter le statut imposé aux juifs.
À Marseille (13), il participe aux émissions de théâtre de la radio nationale, repliée sur place. Il est rmarqué par Paul Olivier, l'agent de Raimu, qui l'engage dans une revue avec Alibert, Raimu et Rellys. Et Raimu le prend un temps sous son aile.
C'est également à cette époque, en zone libre, qu'il fait ses premiers pas au cinéma, en tant qu'acteur, dans "Les petits riens" et "Médecin des neiges" (1942), de Marcel Ichac.
Après la Seconde Guerre mondiale, il revient en France. Il joue au théâtre et quelques seconds rôles au cinéma. Il boucle ses fins de mois avec les toiles que lui remettait le peintre Raoul Dufy, l'un des amis artistes de sa mère, qui l'avait initié à l'art.
Dans "La belle que voilà" (1949) de Jean-Paul Le Chanois, un film, dont le scénario est de Françoise Giroud, il embrasse pour la première fois l'actrice française Michèle Morgan, dans une scène tournée dans un ascenseur. Un baiser de cinéma qui n'enflamme pas l'actrice.
En 1958, il s'essaie au scénario dans "Le miroir à deux faces", coécrit avec André Cayatte. C'est à cette occasion qu'il entame une relation avec Michèle Morgan, qui demeure sa compagne jusqu'à son décès.
Gérard Oury réalise son premier film, "La main chaude", en 1959. Puis se met en scène dans "la menace", en 1961. Mais aucun des deux films n'est un succès.
Celui-ci arrive en 1962, avec "Le crime ne paie pas", qui réunit une distribution d'exception, avec entre autres Michèle Morgan et Louis de Funès. Celui-ci, qui tournait dans l'un des 4 saynètes du film déclare à Oury : "Toi, tu es un auteur comique, et tu ne parviendras à t'exprimer vraiment que lorsque tu auras admis cette vérité-là".
Gérard Oury l'écoute et prépare sa première comédie, "Le Corniaud", qui sort en 1965 et devient le plus gros succès du cinéma français avec près de 12 millions de spectateurs.
Oury renouvelle l'expérience avec "La grande vadrouille" (1966), qui réunit à nouveau Bourvil et Louis de Funès. Le réalisateur écrit le scénario avec sa fille Danièle Thompson, qui fait ses débuts comme scénariste et coécrira tous les films de son père jusqu'à "Vanille fraise", en 1989.
Sorti en décembre 1966, "La grande vadrouille" a longtemps été le numéro un des recettes du cinéma français. Il a fallu attendre 1998, et les 20 millions d'entrées de "Titanic", de James Cameron, pour que le record soit battu.
Le film de Gérard Oury est le plus gros succès public de l'histoire du cinéma français pendant plus de quarante ans, jusqu'en avril 2008, lorsque "Bienvenue chez les ch'tis" de Dany Boon le dépasse, suivi en 2011 par "Intouchables" de Olivier Nakache et Éric Toledano.
et "La folie des grandeurs" (1971), avec Louis de Funès et Yves Montand, qui rassemblent chacun plus de 5,5 millions d'entrées,
puis "Les Aventures de Rabbi Jacob" (1973) qui en réalise 7,3 millions.
À la suite de l'échec de plusieurs projets de films, Gérard Oury se consacre à l'écriture d'une pièce, "Arrête ton cinéma", qui sera un échec critique et public, en 1977.
"La carapate" (1978) et "Le coup du parapluie" (1980), tous les deux avec Pierre Richard, sont de gros succès public avec respectivement 3 et 2,4 millions d'entrées, mais perdent de la vitesse en comparaison avec les précédents films de Gérard Oury.
En 1982, "L'As des as" avec Jean-Paul Belmondo réalise 5,4 millions d'entrées.
Mais "La Vengeance du serpent à plumes", avec Coluche (1984), n'en rassemble que 2 6 millions. Et "Lévy et Goliath" (1987) 2,1 millions.
Ses derniers films rassemblent encore moins de spectateurs : 700 000 pour "Vanille fraise" (1989), 1,5 million pour "La Soif de l'or" (1993), 420 000 pour "Fantôme avec chauffeur" (1995) et 200 000 pour "Le Schpountz" (1999).
En 1993, Gérard Oury a reçu un César d'honneur pour l'ensemble de sa carrière.
Il s'agit du nom d'artiste de l'animateur de radio et de télévision français Nagui Fane, né le 14 novembre 1961.
Télévision
Nagui débute à la télévision en 1983, sur TMC, en présentant l'émission "Club 06" jusqu'en 1985.
Sur la vidéo qui suit, qui date de 1985, on le voit interroger Pascal Légitimus alors que les Inconnus s'appelaient encore "Les cinq" et comptaient toujours parmi eux - en plus de Bernard Campan et Didier Bourdon - Smaïn et Seymour Brussel !
Présentateur de nombreuses émissions de divertissement sur les chaînes publiques et privées, il est l'un des animateurs les plus populaires du paysage audiovisuel français.
Il est principalement connu pour l'émission musicale "Taratata" (1993), ainsi que pour les jeux télévisés "Que le meilleur gagne" (1991-1995) et "N'oubliez pas votre brosse à dents" (1994-1996).
Ou, actuellement sur France 2, : "Tout le monde veut prendre sa place" (2006) et "N'oubliez pas les paroles !" (2007).
Animateur vedette des années 1990, Nagui a successivement travaillé depuis ses débuts sur TMC, M6, TF1, La Cinq, Antenne 2, France 2, Canal Plus, France 4 et France 3.
On l'oublie souvent, mais il a connu d'assez longues périodes de passage à vide.
Cependant le succès de ses deux jeux actuels, lancés sur France 2 en 2006 et 2007, lui valent d'être régulièrement désigné comme l'animateur préféré des français.
Également producteur, Nagui a créé, en 1993, Air Productions.
Radio
Vers la fin des années 1970, il participe aux programmes de radios pirates, "Radio Midi" et "Radio Vintimille".
Et lance, à Cannes (06), au début des années 1980, une radio locale en FM, "Radio Galère", qui émet sur la Côte-d'Azur.
Avant de débuter en 1986, sur Chic FM. Et, dès 1987, sur RTL, où il anime différentes émissions de divertissement jusqu'en 2006.
Il est ensuite, de 2006 à 2008, l'animateur de la matinale d'Europe 2; qui devient Virgin Radio en 2007.
Puis travaille à Europe 1, de 2009 à 2011.
Avant d'animer, depuis 2014, "La Bande originale" sur France Inter.
Cinéma
À ma connaissance, sa prestation comme acteur, dans le rôle principal du film d'Ariel Zeitoun "Une femme très très très amoureuse", en 1997, n'a pas particulièrement marqué les esprits.
Il s'agit du nom d'artiste de l'actrice française Simone Roussel, née le 29 février 1920 et morte le 20 décembre 2016.
Elle l'a adopté en 1937, pour le film "Gribouille", de Marc Allégret, après avoir interprété cinq tout petits rôles et une figurante dans six films sortis en 1935 et 1936.
Des yeux magnifiques
Considérée comme l'une des plus grandes actrices du cinéma français du XXe siècle, elle était souvent surnommée "les plus beaux yeux du cinéma français".
Il s'agit du nom de plume de l'écrivain français Pierre Dumarchey, né le 26 février 1882 et mort le 27 juin 1970.
Écrivain prolifique, Pierre Mac Orlan est l'auteur d'une oeuvre abondante et variée.
Après avoir - en vain - tenté une carrière dans la peinture, il débute par l'écriture de contes humoristiques.
Et il écrit, sous son véritable nom de Pierre Dumarchey et sous divers autres noms de plumes, une demi-douzaine de romans érotiques, entre 1905 et 1926.
Après la Première Guerre mondiale, son inspiration se tourne vers le registre fantastique et le roman d'aventures.
Et il consacre la dernière partie de sa carrière littéraire à l'écriture de chansons, d'essais et de mémoires.
Au cours de sa jeunesse dans les premières années du XXe siècle, Mac Orlan vit à Montmartre, à Paris (75), où il se lie d'amitié avec Guillaume Apollinaire, Francis Carco et Roland Dorgelès. À la même époque, il séjourne également à Rouen (76), Londres (Grande-Bretagne), Palerme (Sicile) (Italie), Bruges (Belgique), etc. Les souvenirs qu'il conserve de cette période, où ses moyens d'existence sont souvent précaires, lui servent de matériau pour élaborer une oeuvre à forte connotation autobiographique, qui influence entre autres André Malraux, Boris Vian et Raymond Queneau.
Témoin attentif de son temps, fasciné par les techniques modernes et les nouveaux moyens de communication, mais se tenant - autant que faire se pouvait - à distance des vicissitudes de l'histoire, Pierre Mac Orlan forge la notion de "fantastique social" afin de définir ce qui lui apparaît comme étant l'envers trouble et mystérieux de son époque.
Les amateurs de Jean Gabin lui doivent au moins deux grands films, adaptés de ses romans du même nom, : "La bandera" de Julien Duvivier (1935) et "Le quai des brumes" de Marcel Carné (1938).
Il s'agit du nom d'artiste de l'acteur français Émile Cohen-Zardi, né le 2 mars 1930 et mort d'un cancer le 13 décembre 2009.
Écrivain, journaliste et auteur de chansons français, cette "gueule" du cinéma français, abonné aux seconds rôles, a fait les belles heures du cinéma pendant une soixantaine d’années où il est apparu dans des centaines de films, notamment chez Claude Chabrol, Pierre Granier-Deferre ou Jean-Pierre Mocky, dont il fut l'acteur fétiche.
Certains disent 300, d’autres 500 ou 600... en 64 ans de carrière. Je me permets cependant d'émettre une certaine réserve à ce sujet car Wikipedia, par exemple, annonce "Apparaissant dans plus de 600 films", mais ne cite dans sa "Filmographie complète" "que" 284 films et 72 téléfilms ou feuilletons...
Passionné de boxe, Zardi avait dirigé un journal consacré à sa passion, la revue des sports et des spectacles "Euro Boxe Show".
Et écrit une dizaine d'ouvrages où il racontait sa vie d'acteur.
Le premier film où l’on a pu apercevoir les yeux pétillants de Zardi est "Malaria" (1943), de Jean Gourguet. Et le dernier fut Le Bénévole (2007) de Jean-Pierre Mocky. Ce dernier faisait toujours appel à Zardi dans ses films. C’est simple, dans les années 2000 l’acteur n’a pratiquement travaillé que pour Mocky (huit films en huit ans) !
Sa fiche Wikipedia rappelle cette anecdote qui le définit parfaitement : "Lors d’une conférence de presse, une critique de cinéma avait demandé à André Hunebelle pourquoi il engageait des seconds couteaux comme Henri Attal et Dominique Zardi. Dominique Zardi lui répondit par une citation de Raimu : "Ce qui donne le goût au gigot, c’est la pointe d’ail. Eh bien, nous sommes la pointe d’ail qui donne le goût au gigot."
Assurément, cette pointe d’ail a donné du goût à bien des mets qui sans cela auraient été insipides !
Mais Zardi n’était pas qu'un comédien d’appoint. Il avait son style, toute de froideur apparente, de tension, de nervosité. Et d’humour décalé. Acteur physique et burlesque, parfois. Et parfois inquiétant.
Abonné au rôle de petites frappes , Zardi apparaît dans nombre de grands films du cinéma français : outre Mocky ("La grande frousse", "Un drôle de paroissien", etc.) et Chabrol ("Le Scandale", "Les Biches", "Le Boucher", etc.), on le retrouve ainsi chez Granier-Deferre ("La Métamorphose des cloportes", "Paris au mois d’août", etc.), Godard ("Pierrot le fou", "Une femme et une femme", "Masculin féminin"), Costa-Gavras ("Compartiment tueurs") ou Claude Sautet ("Max et les ferrailleurs", "Les Choses de la vie"). Et il apparaît dans "Fantômas" d’André Hunebelle, dans "Le Doulos" de Jean-Pierre Melville, ou dans "Délicatessen" de Jeunet et Caro...
Il était populaire parce qu’il était issu du peuple. Il témoigne que dans les années 50, 60 et 70, les maisons de productions se souciaient d’engager des comédiens qui parlaient le langage de la rue.
Le "cinéma de papa", comme l’appelle avec une pointe de condescendance les tenants du bon goût, empruntait aux conversations des bistrots, cette académie de la langue vivante. Le cinéma populaire tel qu’il existait à cette époque s’appuyait sur ce génie des mots et de la répartie. Le "bon peuple" se retrouvait dans ce mélange de canaillerie et d’élégance dont Michel Audiard fut bien évidemment le grand maître.
Nous sommes certainement très nombreux à adorer cette incroyable réplique de Zardi - taillée sur mesure par Audiard - dans son film de 1968 "Faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages" :
- Bernard Blier : "J’ai bon caractère mais j’ai le glaive vengeur et le bras séculier. L’aigle va fondre sur la vieille buse",
- Un figurant, jouant le rôle d’un porte-flingue, confie à son collègue joué par Zardi : "C’est chouette ça, comme métaphore",
- Zardi lui répond : C’est pas une métaphore, c’est une périphrase,
- Son collègue : "Oh, fait pas chier !",
- "Ça, c’est une métaphore" rétorque alors Zardi.
P.-S. : ainsi que me l'a très justement fait remarquer un lecteur, si Dominique Zardi - né Émile - s'était appelé François, il aurait pu faire carrière dans la chanson : "François Zardi" est un excellent nom d'artiste pour chanter en France.
Explication du calembour
Le calembour résulte de l’homophonie entre les noms « François Zardi » et « Françoise Hardy ».
Il s'agit du nom d'artiste du réalisateur et scénariste italien Sergio Leone, né le 3 janvier 1929 et mort le 30 avril 1989.
Sergio Leone a utilisé ce pseudonyme américanisé pour son premier western italien, "Pour une poignée de dollars", réalisé en 1964 et constituant une nouvelle version du film japonais "Le Garde du corps" ("Yojimbo"), réalisé en 1961 par Akira Kurosawa.
Ce choix de "Bob Robertson" constitue - ce que l'on oublie trop souvent de préciser, à mes yeux - un hommage à son père, le réalisateur italien Vincenzo Leone, plus connu sous son nom d'artiste de Roberto Roberti et auteur, en 1913, du premier western italien, dans lequel tournait son épouse, Bice Waleran, la mère de Sergio Leone.
Sergio leone est considéré comme "le père du western spaghetti", qu'il a largement popularisé sans pour autant l'avoir inventé ni même reconnaître cette appellation.
Il est notamment l'auteur deux des plus célèbres triogies de l'histoire du cinéma mondial :
la "trilogie du dollar", qui réunit "Pour une poignée de dollars" (1964), "Et pour quelques dollars de plus" (1965) et "Le Bon, la Brute et le Truand" (1966). Ces trois films, considérés comme des classiques du western, ont révélé l'acteur états-unien Clint Eastwood et le compositeur italien Ennio Morricone.
"Giotto" - aphérèse du prénom italien "Ambrogiotto" - est le nom d'artiste sous lequel nous connaissons le peintre, sculpteur et architecte italien Ambrogiotto di Bondone, né en 1266 ou 1267 et mort le 8 janvier 1337.
Il s'agit de l'un des plus grands peintres de l'histoire, les oeuvres de ce maître florentin du Trecento étant à l'origine du renouveau de la peinture occidentale.
C'est en effet l'influence de la peinture de Giotto qui va provoquer le vaste mouvement général de la Renaissance à partir du siècle suivant.
Giotto est l'un des maîtres du courant artistique de la Pré-Renaissance, qui se manifeste en Italie, au début du XIVe siècle. En cette fin du Moyen Âge, il est le premier artiste dont la pensée et la nouvelle vision du monde aident à construire l'humanisme, ce mouvement qui place l'homme au centre de l'univers et le rend maître de son propre destin.
Les fresques que Giotto a peintes à Florence (Toscane), à Assise (Ombrie) et à Padoue (Vénétie) figurent parmi les sommets de l'art chrétien.
L'ascension de saint Jean l'évangéliste (1320)
Son influence sur les générations d'artistes qui le suivirent est telle que l'on a pu parler d'écoles "giottesques" à propos de certaines écoles de peinture regroupant des peintres dont l'oeuvre a été marquée par celle du maître toscan.
Il s'agit du nom d'artiste de l'actrice italienne du cinéma muet Edvige Maria Valcarenghi, née le 8 mai 1886 et morte en 1969.
Elle est l'épouse de l'acteur, scénariste et réalisateur italien Vincenzo Leone, connu sous le nom de Roberto Roberti et la mère du scénariste et réalisateur italien Sergio Leone.