Le registre argotique est très riche, avec les verbes "Calancher", "Clamser", "Claquer" ou "Crever".
Et les locutions verbales "Aller nourrir les asticots", "Aller nourrir les poissons", "Aller nourrir les requins", "Aller nourrir les vautours", "Avaler sa chique", "Avaler son acte de naissance", "Avaler son bulletin de naissance" et "Casser sa pipe".
"Boire le bouillon d'onze heures", "Passer l'arme à gauche", "Sortir les pieds devant" ou "Y passer" relèvent du registre familier.
Dans le langage courant, nous avons également "Avoir été abattu", "Avoir été assassiné", "Avoir été tué", "Brûler vif", "Être assassiné", "Être broyé", "Être coupé en deux", "Être déchiqueté", "Être transformé en écumoire", "Être tué", "Être victime d'un assassinat", "Être victime d'un meurtre", Exploser", "Laisser sa vie (quelque part)", "Ne pas survivre", "Perdre la vie", "Tomber raide mort" ou "Trouver la mort".
Ainsi que, dans le cas d'une exécution : "Être décapité", "Être exécuté", "Être fusillé", "Être guillotiné" ou "Être pendu"
Ou, durant une guerre : "Mourir pour la France", "Tomber au champ d'honneur" ou "Tomber sous les balles de l'ennemi".
Enfin, "Consentir au sacrifice suprême", "Être cueilli par la mort", "Être fauché par la mort", Être rappelé à Dieu", "Être victime de la Grande Faucheuse", "Expirer", "Faire le dernier voyage", "Faire son dernier voyage", "Faire le grand voyage", "Passer", "Passer de vie à trépas", "Payer de sa vie", "Rendre l'âme", "Rendre son dernier souffle", "Rendre son dernier soupir", "Retourner à la poussière", "Succomber à ses blessures", "Trépasser" et "Voir sa dernière heure arriver" relèvent du registre soutenu.