Cette expression du registre argotique en forme d'idiotisme animalier est fondée sur l'apocope du mot "Pédéraste".
Son origine n'est pas clairement établie, mais elle signifie : être totalement et absolument homosexuel, sans ambiguïté aucune.
Richesse et défense de la langue française
Cette collection réunit l’ensemble de mes articles consacrés aux mots, locutions et expressions du registre argotique.
Nombre d’articles à paraître dans cette collection : 3 650
Cette expression du registre argotique en forme d'idiotisme animalier est fondée sur l'apocope du mot "Pédéraste".
Son origine n'est pas clairement établie, mais elle signifie : être totalement et absolument homosexuel, sans ambiguïté aucune.
Ces trois substantifs masculins désignent : un livre.
"Un bouquin" et "Un paveton" appartiennent au registre argotique, tandis que "Un pavé" relève du registre familier.
Et "Un pavé" ainsi que "Un paveton" désignent, au sens figuré : un gros livre très épais comportant de nombreuses pages.
On dit par exemple : "L'été j'emmène toujours un ou deux pavés pour lire sur la plage".
Ce verbe change radicalement de signification selon le registre de langue, puisqu'il signifie :
On dit par exemple : "Chic : ma grand-mère va me mitonner une petite soupe dont elle a le secret !".
On dit par exemple :" On mitonne un gros coup pour la nuit du réveillon".
On dit par exemple : " Je vais te mitonner un séjour de rêve pour tes prochaines vacances,".
On dit par exemple : "Tu ne vas encore me mitonner pour m'emprunter ma bagnole !".
On dit par exemple : "Ce type n'arrêtait pas de mitonner tout le monde !".
Source : wiktionary.org
Ce verbe étrange du registre argotique signifie : vomir.
Et il est naturellement à rapprocher des idiotismes animaliers particulièrement imagés "Aller au renard", "Balancer un renard", "Cracher un renard", "Écorcher le renard", "Faire un renard", "Lâcher un renard" et "Piquer un renard".
Mais il existe encore beaucoup d'autres façons de dire "Vomir" en français.
Dans le langage courant, on peut naturellement se contenter de formules telles que "Tu me prends pour un abruti !" ou "Tu me prends pour un crétin !".
Mais comme souvent, cependant, le registre familier s'avère bien plus parlant. Ainsi, en utilisant les idiotismes alimentaires "Tu me prends pour un jambon !" ou "Tu me prends pour une quiche !", vous affirmez bien plus nettement votre courroux !
De même qu'avec les idiotismes animaliers "Tu me prends pour une buse !" ou "Tu me prends pour une tanche !".
Et ce beaucoup plus, à mon sens, qu'en usant du registre argotique avec "Tu me prends pour un con !", "Tu te fous de moi !" ou "Tu te fous de ma gueule !".
Lequel registre argotique est même - pour moi - devancé par le registre soutenu : "Tu fais injure à mon intelligence !"
Cette interjection du registre vulgaire constitue un juron québécois, utilisé pour exprimer une émotion forte, par exemple l'étonnement ou la colère.
Il s'agit d'une déformation du mot "Calice", désignant, dans la religion chrétienne, la coupe recevant le vin bénit représentant le sang du Christ.
Source : www.je-parle-quebecois.com
Ce minuscule substantif masculin du registre argotique désigne, en verlan : le cul.
On dit par exemple, dans le registre vulgaire : "Tu vas l'avoir dans le uc".
J'aime beaucoup ce substantif masculin du registre argotique, fleurant bon les dialogues de films de Michel Audiard et désignant :
On dit par exemple : "Pas question de monter sur ce coup avec Mimile le Toulousain et Fifi les grands-pieds ; c'est rien qu'des baltringues !".
Sources : wiktionary.org, www.dictionnairedelazone.fr et www.languefrancaise.net
Cette locution verbale du registre argotique, que l'on entend souvent dans les films policiers, appartient au jargon policier.
Et elle signifie : prendre part à un acte criminel plus ou moins planifié.
On dit par exemple : "La bande du Stéphanois s'agite beaucoup en ce moment : ils vont bientôt monter sur un coup".
Sources : www.languefrancaise.net et vampiredevils.skyrock.com
Ces différentes locutions verbales interrogatives, qui ne doivent pas manquer d'interloquer nos amis étrangers signifient simplement : "Que fais-tu ?" ou "Qu'est-ce que tu es en train de faire ?" (langage courant).
Ou "Qu'es-tu en train de faire ?" (registre soutenu).
Le registre argotique est très riche, avec les verbes "Calancher", "Clamser", "Claquer" ou "Crever".
Et les locutions verbales "Aller nourrir les asticots", "Aller nourrir les poissons", "Aller nourrir les requins", "Aller nourrir les vautours", "Avaler sa chique", "Avaler son acte de naissance", "Avaler son bulletin de naissance" et "Casser sa pipe".
"Boire le bouillon d'onze heures", "Passer l'arme à gauche", "Sortir les pieds devant" ou "Y passer" relèvent du registre familier.
Dans le langage courant, nous avons également "Avoir été abattu", "Avoir été assassiné", "Avoir été tué", "Brûler vif", "Être assassiné", "Être broyé", "Être coupé en deux", "Être déchiqueté", "Être transformé en écumoire", "Être tué", "Être victime d'un assassinat", "Être victime d'un meurtre", Exploser", "Laisser sa vie (quelque part)", "Ne pas survivre", "Perdre la vie", "Tomber raide mort" ou "Trouver la mort".
Ainsi que, dans le cas d'une exécution : "Être décapité", "Être exécuté", "Être fusillé", "Être guillotiné" ou "Être pendu"
Ou, durant une guerre : "Mourir pour la France", "Tomber au champ d'honneur" ou "Tomber sous les balles de l'ennemi".
Enfin, "Consentir au sacrifice suprême", "Être cueilli par la mort", "Être fauché par la mort", Être rappelé à Dieu", "Être victime de la Grande Faucheuse", "Expirer", "Faire le dernier voyage", "Faire son dernier voyage", "Faire le grand voyage", "Passer", "Passer de vie à trépas", "Payer de sa vie", "Rendre l'âme", "Rendre son dernier souffle", "Rendre son dernier soupir", "Retourner à la poussière", "Succomber à ses blessures", "Trépasser" et "Voir sa dernière heure arriver" relèvent du registre soutenu.