"Ce n'est pas bon pour ce que j'ai", "Ne pas être bon pour ce que l'on a".

Cette formule du langage courant s'utilise couramment, lorsque que l'on est en surpoids ou que l'on a une fâcheuse tendance à prendre du poids, afin de qualifier un aliment, généralement sucré ou très calorique, que l'on aime, voire dont on rafole.

Je dis par exemple : "J'adore les calissons, dont Aix-en-Provence, où je demeure, est la capitale. Mais ce n'est pas bon pour ce que j'ai !".

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