Ainsi qu'a pu le déclarer, le 13 juillet 2023, l'ancien champion cycliste Laurent Jalabert, commentant la 12e étape du Tour de France 2023.
Mais, en français : "Sur les talons DE, VOIRE devant David Gaudu" !
Et, à tout le moins : "Ça CONSTITUE un beau rapproché malgré tout" !
Et idéalement : "IL A BIEN PROGRESSÉ AU CLASSEMENT GÉNÉRAL malgré tout" !
Puisque le mot "Rapproché" - apparu semble-t-il cette année parmi les commentateurs du Tour de France - n'a jamais été un substantif et constitue donc un barbarisme.
Cette locution nominale féminine en forme d'idiotismechromatique désigne, dans le domaine des courses cyclistes : un drapeau surmonté d'une structure signalétique, indiquant, lors d'une course cycliste, le dernier kilomètre de course.
Lors des courses professionnelles, le kilométrage restant à parcourir est indiqué, entre autres aux 25, 20, 15, 10, 5, 4, 3, 2 et dernier kilomètres, par des banderoles où figurent les noms des principaux soutiens financiers ("sponsors").
La flamme rouge est soulignée d'un drapeau triangulaire rouge et elle est plus imposante que les autres banderoles.
Elle a fait son apparition sur le Tour de France en 1906.
"Un canoéiste" et "Un céiste" sont deux substantifs masculins parfaitement synonymes désignant : une personne pratiquant le canoë.
Tandis que "Un kayakiste" est un substantif masculin désignant : une personne pratiquant le kayak.
Le canoéiste ou céiste se distingue du kayakiste, en ce qu'il ne pagaie que d'un seul côté avec une pagaie simple, dotée d'une seule pale, là où le kayakiste alterne les coups de pagaie d'un côté et de l'autre, avec une pagaie double, dotée de deux pales.
Cette locution nominale féminine en forme d'idiotismechromatique désigne : le dernier d'une course sportive et, de manière générale, de toute compétition ou classement.
Ce terme est notamment utilisé en football, un sport dans lequel on parle fréquemment de la "lanterne rouge d'un championnat".
Mais davantage encore en cyclisme, et particulièrement au sein du Tour de France.
Ce "trophée", aussi virtuel que symbolique, était jadis recherché car il permettait à son "vainqueur" d’obtenir de meilleures primes à l’occasion des critériums d’après-Tour. La tradition voulait également que le dernier fasse l'ultime étape avec une lanterne, et un tour d'honneur à l'arrivée. Celle-ci est cependant de plus en plus rare.
La dernière place d'un coureur cycliste peut être due aux mauvaises conditions physiques, au retard accumulé lors de certaines étapes mais également à cause de l'abandon, voire l'exclusion, de certains compétiteurs. Cette dernière place reste recherchée par certains pour l'intérêt médiatique qu'elle suscite.
L'ancien coureur cycliste belge Wim Vansevenant détient le record du nombre de places de "lanterne rouge" obtenues dans le Tour de France, en ayant terminé 3 fois (et de façon consécutive) à la dernière place en 2006, 2007 et de 2008. Il confirme l'attrait de la dernière place : "Quand tu es dernier, ça te fait beaucoup de publicité. Les gens qui regardent les classements dans les journaux regardent quoi ? Les premiers et le dernier. Du coup, on s'en souvient !".
Origine de l'expression
Cette expression fait référence au feu rouge porté par le dernier véhicule d'un convoi ferroviaire.
Et cette pratique est directement issue de la Chine antique (350 av. J.-C.), où elle désignait les derniers soldats entrant dans une ville assiégée.
Ainsi qu'a pu le déclarer, le 26 mars 2023, le journaliste sportif français Romain Harent, dans l'émission vespérale "L'Équipe du Soir", sur la chaîne de télévision française L'Équipe.
Et simplement, en français : "Les JOUEURS DU Racing" !
Le "Racing 92", anciennement "Racing Club de France Rugby" jusqu'en 2001, puis "Racing Métro 92" jusqu'au 10 juin 2015, est un club de rugby à XV français, fondé à Paris (75), en 1890, en tant que section rugby du "Racing Club de France", un club omnisports, créé le 20 avril 1882.
Il est aujourd'hui basé au Plessis-Robinson (92), dans la banlieue Ouest de la capitale.
Cette curieuse locution nominale en forme d'idiotisme corporel relève du langage courant.
Elle constitue un calque de la formule anglais "Soft underbelly" ("Bas-ventre mou").
Et elle désigne : le groupe des équipes occupant le milieu du classement dans un championnat de football.
On dit par exemple : "Le Toulouse FC, le Montpellier HSC, le FC Nantes ou le RC Strasbourg sont actuellement des équipes du ventre mou du championnat".
Cette locution verbale est à l'origine le titre d'un roman historique français de Henry Dupuy-Mazuel paru en 1924 et adapté au cinéma en 1924 par Raymond Bernard et en 1961 par André Hunebelle, avec l'acteur Jean Marais dans le rôle principal.
Elle est devenue une expression en forme d'idiotisme animalier après que le journaliste sportif français Didier Roustan ait commencé à l'utiliser, au début des années 2020, dans l'émission vespérale d'Olivier Ménard "l'Équipe du soir", diffusée quotidiennement sur la chaîne de télévision française "l'Équipe du soir".
Et que ses différents collègues reprennent après lui la formule.
Elle désigne ainsi désormais, au sens figuré, dans le domaine sportif et en particulier en football : un miracle, un fait exceptionnel.
On dit par exemple : "Sauf miracle des loups, le PSG ne passera pas en quarts de finale".
Cette locution verbale en forme d'idiotisme corporel relève du langage courant.
Et elle désigne :
au sens propre : un jeu sportif entre deux personnes qui empoignent chacun le poignet de l’autre et forcent chacun vers la main non utilisée pour lui faire toucher la table.
et au sens figuré : un conflit entre deux parties.
On dit par exemple : "Le bras de fer entre les deux enseignes risque de durer".
Et en particulier :
en sport : un duel,
On dit par exemple : "Les deux clubs ont entamé un bras de fer pour le gain du championnat".
et en politique : une tactique d’intimidation visant à faire céder l’adversaire en lui laissant croire qu’il se heurte à une détermination infaillible.
On dit par exemple : "Le gouvernement a engager un bras de fer avec les syndicats".
Ainsi qu’a pu le déclarer, le 8 février 2023, l'ancien joueur international de football français Djibril Cissé, commentant la rencontre OM-PSG, en huitième de finale de la Coupe de France de football, sur la chaîne de télévision publique française France 3.
Mais : "Les joueurs auront besoin du SOUTIEN des supporteUrs" !