Cette locution nominale féminine en forme d'idiotismechromatique désigne, dans le domaine des courses cyclistes : un drapeau surmonté d'une structure signalétique, indiquant, lors d'une course cycliste, le dernier kilomètre de course.
Lors des courses professionnelles, le kilométrage restant à parcourir est indiqué, entre autres aux 25, 20, 15, 10, 5, 4, 3, 2 et dernier kilomètres, par des banderoles où figurent les noms des principaux soutiens financiers ("sponsors").
La flamme rouge est soulignée d'un drapeau triangulaire rouge et elle est plus imposante que les autres banderoles.
Elle a fait son apparition sur le Tour de France en 1906.
Cette locution nominale féminine en forme d'idiotismechromatique désigne : le dernier d'une course sportive et, de manière générale, de toute compétition ou classement.
Ce terme est notamment utilisé en football, un sport dans lequel on parle fréquemment de la "lanterne rouge d'un championnat".
Mais davantage encore en cyclisme, et particulièrement au sein du Tour de France.
Ce "trophée", aussi virtuel que symbolique, était jadis recherché car il permettait à son "vainqueur" d’obtenir de meilleures primes à l’occasion des critériums d’après-Tour. La tradition voulait également que le dernier fasse l'ultime étape avec une lanterne, et un tour d'honneur à l'arrivée. Celle-ci est cependant de plus en plus rare.
La dernière place d'un coureur cycliste peut être due aux mauvaises conditions physiques, au retard accumulé lors de certaines étapes mais également à cause de l'abandon, voire l'exclusion, de certains compétiteurs. Cette dernière place reste recherchée par certains pour l'intérêt médiatique qu'elle suscite.
L'ancien coureur cycliste belge Wim Vansevenant détient le record du nombre de places de "lanterne rouge" obtenues dans le Tour de France, en ayant terminé 3 fois (et de façon consécutive) à la dernière place en 2006, 2007 et de 2008. Il confirme l'attrait de la dernière place : "Quand tu es dernier, ça te fait beaucoup de publicité. Les gens qui regardent les classements dans les journaux regardent quoi ? Les premiers et le dernier. Du coup, on s'en souvient !".
Origine de l'expression
Cette expression fait référence au feu rouge porté par le dernier véhicule d'un convoi ferroviaire.
Et cette pratique est directement issue de la Chine antique (350 av. J.-C.), où elle désignait les derniers soldats entrant dans une ville assiégée.
Ces deux formules en forme d'idiotismechromatiques relèvent du langage courant.
Et elles désignent toutes deux : une date mémorable, un événement important, dont il faudra se souvenir pendant longtemps, parce qu'un événement heureux, favorable, positif et relativement exceptionnel qui s'y est produit.
Sources : www.expressio.fr et www.lalanguefrancaise.com
Ces différentes locutions nominales en forme d'idiotismeschromatiques et d'idiotismes textiles relèvent du domaine de l'aéronautique.
"Le voile blanc" désigne des perturbations atmosphériques engendrant une impossibilité du pilote de distinguer ce qui entoure l’appareil.
Tandis que les trois autres désignent différentes affections pouvant atteindre les pilotes d'avion :
"Le voile gris" est ainsi une diminution temporaire de la performance visuelle sans perte de conscience, qui résulte de la diminution de l’irrigation sanguine de la rétine de l’oeil et se produit lorsqu’un être humain est soumis à une accélération dirigée des pieds vers la tête, d’une valeur, variable selon les individus, de l’ordre de 3,5 fois la valeur de l’accélération de la pesanteur,
"Le voile noir" est une perte de la vision temporaire sans perte de conscience, résultant de l’arrêt de l’irrigation sanguine de la rétine de l’oeil et se produit lorsqu’un être humain est soumis à une accélération dirigée des pieds vers la tête, d’une valeur variant selon les individus de 4,5 à 5 fois la valeur de l’accélération de la pesanteur,
et "Le voile rouge" est un trouble temporaire de la vue caractérisé par la perception d’une couleur rougeâtre, auquel peut être sujet un être humain soumis à une accélération dirigée de la tête vers les pieds.
Cette locution nominale masculine désigne la nouvelle couleur "hexadécimal #7c6d66" marron terne servant de base au camouflage des véhicules de combat français depuis 2019.
Elle remplace l'ancienne couleur camouflage, combiné de vert, de noir et de marron utilisée depuis 1991.
Des études sur la visibilité des engins récemment menées par l’armée de terre, ont en effet révéler qu'il fallait 16% de temps en plus pour détecter à l'oeil nu le "Brun terre de France". Et il est encore plus difficile à repérer par les appareils à infrarouge, les jumelles vision nocturne ou les caméras thermiques. Un avantage non négligeable dans les champs de bataille moderne où les combats se font souvent à distance.
Ces deux locutions nominales féminines désignent : l'écharpe tricolore arborée par certains élus, qui présente un sens des couleurs inversé (rouge blanc bleu, lorsque l'on regarde le porteur).
Elle constitue une manière simple et efficace de différencier et de distinguer les parlementaires (députés et sénateurs) des maires :
les parlementaires portent le rouge près du col, et l'on voit donc bien une écharpe bleu, blanc, rouge lorsqu'on les regarde,
tandis que les maires, qui portent "l'écharpe inversée" ou "l'écharpe à l'envers" portent le bleu près du col, ce qui donne une écharpe rouge, blanc, bleu lorsqu'on les regarde.
Ces différents mots ou locutions peu connus des non-chasseurs relèvent du langage courant.
Et ils désignent la viande de gibier, qui est une viande dont la concentration en myoglobine dans les fibres musculaires est supérieure à celle de la viande rouge et à celle de la viande blanche.
La différence réside aussi dans la teneur en fer, qui est deux fois plus importante dans les viandes de couleur rouge foncé ou noirâtre.
Ces différentes appellations regroupent généralement les chairs issues de divers gibiers comme les cervidés (cerf, chevreuil, daim), le sanglier, le lièvre ou la caille.
Je précise que la formule "Viande de bois" est utilisée par nos amis Québecois.