Ce que je déteste

J'ai rassemblé ici nombre de mes détestations personnelles, autrement dit : tout ce que j'abomine, abhorre, exècre et conchie :

  • Les modes en général,
  • Et la mode vestimentaire en particulier,
  • Le rap,
  • La musique techno,
  • Les tatouages,
  • Les barbes et les coupes de cheveux hipster, plutôt sympathiques à l'origine, mais devenues pour moi parfaitement ridicules ès lors qu'elles ne sont plus que le résultat d'un pitoyable panurgisme,

Un hipster

  • Les jeans troués,

Un jean troué

  • Les tripes, la morue, les brocolis, la choucroute, les câpres,
  • Les agents de la société en charge de l'entretien et du nettoyage des parcs de stationnement et des jardins de ma résidence, et leurs détestables taille-haies électriques, qu'ils utilisent régulièrement sous la fenêtre de ma chambre pile à l'heure où je me couche (oui, je sais, je suis un oiseau de nuit et vis à rebours de la société).

Et qui, plutôt que de balayer les feuilles mortes, me brisent les tympans et m'empêchent de dormir, me détendre ou me concentrer, en utilisant des heures durant leurs insupportables souffleurs thermiques fonctionnant à l’essence et atteignant plus de 115 décibels,

Un jardinier utilisant un souffleur de feuilles

  • Le piratage et le téléchargement illégal (l'une de mes sociétés a été victime de contrefaçon à la fin des années 1980 et j'en ai lourdement payé les dramatiques conséquences financières durant près de 15 ans),
  • Le téléchargement et le visionnage de films ou la lecture d'ouvrages sur tablettes, ou téléphones portables multifonctions,
  • L'informatique en général,
  • Les réseaux sociaux,
  • Les selfies,

Une jeune femme se prenant en "selfie"

  • et les gens qui prennent en photo ce qu'ils mangent au restaurant,

Prendre en photo ce que l'on mange

  • Les feignasses de La Métropole mobilité, qui, au 24 mars 2023 au soir, à 10 heures du passage à l'heure d'été, n'avaient toujours pas pris la peine de passer les pendules intérieures des autobus de ma bonne ville d'Aix-en-Provence (13) à l'heure d'hiver, laquelle datait pourtant du 30 octobre,
  • Les jeux télévisés, au premier rang desquels les insupportables "Fort Boyard" et "Koh Lanta",
  • Les émissions de téléréalité de type "L'ile de la tentation", "Opération séduction aux Caraïbes", "bachelor le gentleman célibataire", "Greg le millionnaire", "Queer, cinq experts dans le vent", "Marjolaine et les millionnaires", "Maman cherche l'amour", "Qui veut épouser mon fils ?", "Les anges de la téléréalité", "Les Ch'tis", "L'île des vérités", "La belle et ses princes presque charmants", "Les Marseillais", "Allô, Nabilla", "L'amour rend aveugle", "Les princes de l'amour", "La guerre des belles-mères", "Séduis-moi… si tu peux !", "Les vacances des Anges", "La villa des coeurs brisés", "Mariés au premier regard", "Les incroyables aventures de Nabilla etThomas en Australie", "La villa : la bataille des couples", "Les princes et les princesses de l'amour" ou "Vous avez un colis",
  • Le panurgisme des programmateurs de chaînes de télévision, qui s'obstinent à diffuser simultanément des séries documentaires ou des émissions de télé-réalité copiées les uns sur les autres : les serpents à une époque, mais aussi les crocodiles, la pêche, les tatouages, la Seconde Guerre mondiale, les antiquités militaires, les ventes aux enchères, les automobiles, etc.
  • L'accumulation éhontée de calembours niais ou lourdingues dans les commentaires des émissions "Affaire conclue", sur France 2, et "L'amour est dans le pré", sur M6,

Comme par exemple, pour la première : "Cette opticienne espère bien y voir clair dans l'expertise de son objet" ou "Au tour de Stella, avec sa machine à poinçonner, de monter dans le wagon des années 20".

Logotype de l'émission "Affaire conclue", présentée par Sophie Davant, sur la chaîne de télévision publique française France 2L'animatrice de télévision française Karine Le Marchand

  • Jean-Jacques Bourdin et sa grande gueule,

Le journaliste français Jean-Jacques Bourdin (©Francois Lafite/Wostok Press/Maxppp)

  • La beaufitude atterrante de Pascal Praud,

Le journaliste français Pascal Praud

  • Le racolage putassier et le sensationnalisme de Jean-Marc Morandini,

L'animateur de télévision français Jean-Marc Morandini

  • Les vieillards omniprésents depuis plus d'un demi-siècle à la radio comme à la télévision, que nous avons vraiment assez vus et entendus, et qui continuent d'accumuler des revenus dont ils privent les générations suivantes :
    • le bientôt liquide Michel Drucker, né en 1942, qui s'agrippe à son divan comme un morbac à sa toison pubienne, et dont l'obséquiosité et la servilité à l'égard des gouvernants successifs demeure, je crois, sans égale.

Son émission "Vivement dimanche", sur France 2 puis France 3, est à l'antenne depuis le 20 septembre 1998 et son producteur et présentateur depuis... 1964 !

L'animateur de télévision français Michel Drucker

    • Philippe Labro (né en 1936), qui peine littéralement à s'exprimer, mais anime toujours "L'essentiel chez Labro", sur C8, depuis le 9 mai 2021, dans la foulée de "Langue de bois s'abstenir", à l'antenne depuis 2008,

    • et même Pierre Lescure, né en 1945, déjà présent tous les soirs dans l'émission "C dans l'air", sur France 5 et désormais chaque semaine dans "Beau geste", sur France 2, depuis le 22 janvier 2023, en remplacement du "Passage des arts" de Claire Chazal, probablement jugée trop âgée, bien que seulement née en 1956,

  • Les chantres serviles du libéralisme économique et apôtres de la mondialisation :
    • Éric de Riedmatten, sur CNews,

Le journaliste économique français Éric de Riedmatten

      • Emmanuel Lechypre, sur BFMTV,

Le journaliste économique français Emmanuel Lechypre

      • ou Dominique Seux, qui a longtemps sévi sur France Inter,

Le journaliste économique français Dominique Seux

  • La franco-ukrainienne ultranationaliste Alla Poedie, régulièrement invitée dans l'émission vespérale "Brunet, Hammett et compagnie, sur la chaîne de télévision française d'information en continu LCI, dont les assertions outrancières et la mauvaise foi consternante n'ont d'égales que sa propension à monopoliser la parole.

La chef d'entreprise ukrainienne Alla Poedie

  • Les marques, noms de société, slogans, produits ou publicités en anglais,
  • Les insupportables et omniprésentes publicités télévisées de Carglass,
    • ou de Comme j'aime, deux sociétés suffisamment sottes pour ne pas avoir pensé à déposer leur nom de site internet en ".com" , ce qui les oblige à devoir régulèrement préciser dans leurs messages publicitaires "n'oubliez pas de taper point fr",
    • mais également les messages niais de Verisure, qui, en correspondance directe avec les rédactions de TFI, BFM TV ou CNews, entretiennent la paranoïa de la petite bourgeoisie,
  • Les débats permanents, creux et racoleurs des chaînes d'information en continu, au premier rang desquels CNews et BFMTV,
  • Ce qu'est devenu la station radiophonique publique France Inter, que j'ai pourtant écoutée quotidiennement en continu plus de 40 années durant,
  • Logotype de la radio publique française France InterLe Rastignac bonapartiste, égotique et liberticide méprisant de la République Emmanuel Macron, ce pompier pyromane, laquais de la finance gérontophile, imbu de lui-même, sûr de lui, hautain, prétentieux, vaniteux, infatué, dédaigneux, condescendant, insolent, arrogant, brutal, entêté, sourd et aveugle, vivant dans sa bulle, déconnecté, enfermé dans ses certitudes, déniant la réalité, totalement coupé des réalités des habitants de son pays depuis arrivée à l'Élysée, en mai 2017,

Le président de la République française Emmanuel Macron

    • sa clique méprisable de technocrates arrivistes et ultralibéraux de tous bords, à la botte du patronat et à la solde des ploutocrates de la finance, de l'armement et des organes d'information,
    • ainsi que ses ministres et députés godillots, aussi falots que médiocres,
  • Les jeux vidéos,
  • Les mangas,
  • Les comics,
  • Les films de super-héros et leurs innombrables resucées,
  • Les adaptations cinématographiques de bandes dessinées,
  • La plupart des reprises de bandes dessinées (hormis le "Spirou" de Franquin, les "Tuniques bleues" de Lambil et peut-être une ou deux autres, au grand maximum...),
  • Les films en version française,
  • Tous ceux qui, nonobstant leurs écouteurs en carton, me pourrissent la vie dans les transports en commun en m'assourdissant de leur musique de demeurés,
  • La voix insupportable de certains journalistes, animateurs ou chanteurs, tels que :
    • la voix de châtré du cuisinier Cyril Lignac,
    • ou celle de l'ébéniste et tapissier Emmanuel Essertel, régulièrement présent dans l'émission "Affaire conclue. La vie des objets", sur France 2,
    • le phrasé gras et lymphatique de l'homme d'affaires Gervais Martel, ancien président du club de football du RC Lens,
    • l'élocution niaise du consternant magistrat Philippe Bilger, à qui l'on demande malheureusement son avis sur tout et n'importe quoi,

    • la voix nasillarde de la journaliste politique Agathe Lambret sur BFMTV,
    • ou la voix sépulcrale de l'actrice Anna Mouglalis,
  • L'écriture inclusive,
  • Le jargon journalistique,
  • La novlangue,
  • Le politiquement correct,
  • Le "wokisme",
  • La "Culture de l'annulation" ou "Culture de l'effacement" ("Cancel culture"),
  • L'ostracisation grandissante des personnes cisgenres hétérosexuelles ni métissées ni racisées,
  • La société inclusive que l'on prétend m'imposer. L'épouvantable raciste, mysogine, homophobe, transphobe et grossophobe que je suis ne souhaite pas ne plus voir à l'avenir que des journalistes ou des acteurs et actrices gros, laids, de petite taille, homosexuels, handicapés et de couleur,
  • Les anglicismes,
  • Les barbarismes,
  • Les solécismes,
  • Les tics de langage,
  • Les mots, locutions et expressions à la mode,
  • ou les pléonasmes.