Clémentine Autain, est une femme politique et journaliste française, née le 26 mai 1973.
Féministe et militant à gauche, elle appartient à "Ensemble !", l'une des composantes du FG (Front de Gauche), une coalition de partis politiques français, mise en place par le PCF (Parti Communiste Français, le PG (Parti de Gauche) et la GU (Gauche Unitaire), lors des élections européennes de 2009.
Son grand-père maternel est André Laffin, député de l'Yonne (89) et cofondateur du sulfureux et éphémère FNAF (Front National pour l'Algérie Française), entre juillet et décembre 1960.
Et l'un de ses oncles paternels est François Autain (1935-2019), député puis sénateur socialiste de la Loire-Atlantique (44), secrétaire d'État chargé de la sécurité sociale, puis des Immigrés, et enfin de la Défense sous la présidence de François Mitterrand.
Clémentine Autain est en effet la fille de deux personnalités des années 1970 puisque :
- son père n'est autre que l'auteur-compositeur-interprète français Yvan Dautin, de son vrai nom Yvan Autain, né le 6 mai 1945 et auteur notamment de la chanson "Boulevard des Batignolles", sortie en 1981.
- tandis que sa mère était l'actrice française Dominique Laffin - que j'adorais - née le 3 juin 1952 et tragiquement disparue le 12 juin 1985, à l'âge de seulement 33 ans.
En quelques années à peine, nous avons pu l'admirer dans les films de Claude Miller, Jacques Doillon, Christine Pascal, Robert Enrico, Marco Ferreri ou Claude Sautet.
Ou aux côtés de Gérard Depardieu, dès 1977, dans "La nuit, tous les chats sont gris", de Gérard Zingg, son premier film.
Pour ma part, encore adolescent, je l'avais adoré en 1978, dans "Les petits câlins", le premier film de Jean-Marie Poiré, quatre ans avant "Le Père-Noël est une ordure" (1982) et quinze ans avant "Les visiteurs" (1993).