"Une bévue".

J'adore ce petit mot du registre soutenu, qui désigne une méprise, une erreur grossière due à l'ignorance ou à l'inadvertance.

C'est grâce au génial dessinateur et scénariste belge André Franquin, le père du "Marsupilami" et de "Gaston Lagaffe", que j'ai découvert ce mot en 1973, à la sortie de "Gaffes, bévues et boulettes", le onzième album du célèbre garçon de bureau du journal "Spirou".

 

 

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