Ce substantif féminin désignait à l'origine, dans la Grèce antique, un sacrifice religieux d'une centaine de boeufs. Parfois moins, lorsque la cité n'était pas assez aisée pour se permettre un tel sacrifice.
Par extension, ce mot qualifie de nos jours un massacre d'un grand nombre d'animaux ou de personnes. Ou leur élimination par un quelconque fléau : maladie, circulation routière, etc.
On parle ainsi de l'hécatombe causée par une guerre, de celle qu'occasionne une vague de chaleur caniculaire ou de l'hécatombe résultant des accidents de la toute.