"Avoir difficile" ou "J'ai difficile à", "Avoir dur à" ou "J'ai dur à", "Avoir facile" ou "J'ai facile à" (ou "J'ai facile de").

Ces différentes locutions verbales utilisées par nos amis belges relèvent du langage courant.

Et elles signifient respectivement : avoir des difficultés à ; du mal à.

On dit par exemple : "J'ai difficile à comprendre ton attitude dans cette histoire".

Ou : "Mon petit-fils a dur à faire ses exercices de mathématiques".

Ou : parvenir facilement à.

On dit par exemple : "J'ai facile à écrire avec ce nouveau stylo".

Ou : "J'ai facile d'écrire avec ce nouveau stylo".

1 réflexion au sujet de « "Avoir difficile" ou "J'ai difficile à", "Avoir dur à" ou "J'ai dur à", "Avoir facile" ou "J'ai facile à" (ou "J'ai facile de"). »

  1. Beaucoup de locutions "belges francophones" sont issues du wallon qui n'est pas un simple dialecte mais qui était la langue populaire parlée il y a trois générations et plus. Nous parlons essentiellement de dialecte dans la mesure où il assure la communication entre individus d'une même origine ou d'un même lieu de vie. (διαλέγω). Ainsi, "j'ai facile à écrire" ou "j'ai facile d'écrire" se dit en wallon de Liège "Dja åhêye di scrire" soit j'ai facile d'écrire.
    Disqu'a pus tård !

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