"Être un prêté pour un rendu" ou "C'est un prêté pour un rendu".

Cette locution verbale relève du registre familier.

Elle constitue une corruption de "C'est un prêté rendu", qui signifie "C'est une juste compensation, une juste revanche".

Et elle s'utilise lorsque l'on veut évoquer un tour que l'on vient de jouer à quelqu'un et qui vaut bien celui dont on été au préalable victime de son fait.

On dit par exemple : "Comme sa copine l'a trompé avec un de ses voisins, il a couché avec une autre fille : c'est un prêté pour un rendu".

L'expression "Rendre la monnaie de sa pièce" est assez proche de "C'est un prêté pour un rendu".

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.