"Fait pour valoir ce que de droit" ou "Fait pour servir et valoir ce que de droit".

Nous avons ici affaire à une formule administrative et juridique très ancienne, mais toujours utilisée de nos jours.

On la trouve à la fin d’un document avant la signature de son auteur, afin de mentionner que toute personne susceptible d'être concernée peut faire valoir ce qui est indiqué dans le document, qui peut ainsi de servir de preuve.

Elle est notamment utilisée dans les documents attestant la réalité d'un fait (témoignage), d'une libération (paiement) ou d'une qualité.

Sources : www.dictionnaire-juridique.com et formalites-administratives.ooreka.fr

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