Ces deux interjections du registre familier constituent une retranscription phonétique des formules "Y a qu'a" et "Y à qu'a faut qu'on" (registre familier) signifiant, dans le langage courant, "Il n'y a qu'a" et "Il n'y a qu'a, il faut que l'on".
- "Yaka" s'utilise régulièrement en lieu et place de "Il n'y a qu'a" par tous ceux qui ne prennent pas la peine de prononcer correctement l'entièreté de leurs phrases.
- Et "Yakafokon" s'utilise pour railler les personnes toujours aptes à critiquer ce qui existe et à prétendre connaître une meilleure solution, mais sans s'expliquer sur les moyens proposés.