Il s'agit du prénom sous lequel la prostituée franco-algérienne Zahia Dehar, née le 25 février 1992, a soudainement acquis son incroyable notoriété au printemps 2010.
Laquelle lui a permis de devenir mannequin, créatrice de lingerie et actrice.
Dix ans plus tard, la plupart des gens continuent cependant, je crois, d'ignorer son patronyme.
Ayant tout misé sur son intellect, cette jeune femme a commencé à se prostituer dès l'âge de seize ans et a rapidement évolué dans le monde de la prostitution haut de gamme.
Elle a été découverte par les organes d'information à l'occasion de "L'affaire Zahia", une scabreuse affaire de moeurs impliquant différents joueurs internationaux de football français , poursuivis pour "sollicitation de prostituée mineure".
Source : wikipedia.org
"Dix ans plus tard cependant, la plupart des gens CONTINUENT cependant, je crois, d'ignorer son patronyme".
Ne devrait-on pas dire : "Dix ans plus tard cependant, la plupart des gens continue cependant, je crois, d'ignorer son patronyme".
J'ai retiré le premier "cependant", qui faisait malheureusement doublon, faute de relecture suffisante (mon grand travers !).
En revanche, je vous confirme que le verbe ("continuent") s'accorde bien avec le pluriel ("des gens").