54 façons de dire "Ma compagne".

"Ma grognasse" relève assurément du registre vulgaire.

Et "ma bergère", "ma bourgeoise", "ma gonzesse", ma grosse", "ma meuf", "ma nénesse", "ma nénette", "ma poule" ou "ma souris" du registre argotique.

Ainsi que "ma go" ou "ma gow", qui sont utilisés par les jeunes.

"Bobonne", "ma bonne femme", "maman" et "la patronne" relèvent du registre populaire.

De même que "ma moukère", "ma mouquère" et "ma mousmé" (un mot introduit par l'écrivain Pierre Loti, l'auteur, en 1886, de "Pêcheur d'Islande"), qui appartiennent également au registre désuet.

Tandis que le registre familier nous propose "ma bonne amie", "ma cocotte", ma copine", "ma dulcinée" (un mot hérité du "Don Quichotte" de Cervantès), "ma légitime" (par ellipse lexicale de "mon épouse légitime"), "ma loute", "ma ménagère", "ma moitié", "ma môme", "ma nana", "ma petite amie", "ma petite copine", "ma poulette", "ma promise", et "ma régulière".

Tandis que "ma belle", "ma bien-aimée", "ma chérie", "ma concubine", "ma conjointe", "ma douce", "ma femme", "ma fiancée", "ma maîtresse", "ma moitié d'orange", "ma tendre et chère", "mon amie", "mon amoureuse" ou "mon épouse" relèvent du langage courant.

De même que l'ellipse lexicale "ma future" (pour "ma future femme").

"L'élue de mon coeur" ou "Mon amante" relève du registre soutenu.

Et "ma donzelle", "ma mie", "mon aimée" ou "mon épousée" du registre désuet.

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