L'une et l'autre forme sont parfaitement correctes et peuvent donc être utilisées indifféremment.
Source : www.rtl.fr
Un étonnant voyage au pays de la langue française.
Pour apprendre en s'amusant et se coucher plus cultivé qu'on ne s'est levé.
Nombre total d’articles prévus dans cette collection : 38
L'une et l'autre forme sont parfaitement correctes et peuvent donc être utilisées indifféremment.
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L'une et l'autre forme sont parfaitement correctes et peuvent donc être utilisées indifféremment.
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L'une et l'autre forme sont parfaitement correctes et peuvent donc être utilisées indifféremment.
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Certains infinitifs se terminent par "er" (chanter, aller).
D'autres qui se terminent par "ir" (finir, partir).
D'autres par "oir" (savoir, vouloir).
D'autres enfin par "re" : c'est le cas de "Suivre", "Paraître", "Prendre", "Faire", "Plaire".
Mais aussi de "Suffire" ou "Boire" où le "re" suit "i" et "oi".
On peut donc se demander pourquoi "SuffiRE" et "BoiRE" avec des "e"... mais "PartiR" et "VouloiR" sans "e" ?
De manière générale, pourquoi ce "e" après le "r" pour certains verbes ?
L'infinitif en français se marque par une terminaison.
Une terminaison est une séquence finale que l'on retrouve dans un ensemble de mots ; des mots qui sont regroupés au titre précisément de cette terminaison commune. Ainsi la terminaison "oir" permet-elle de regrouper tous les verbes dont l'infinitif est en "oir".
Ces mots regroupés au titre de leur terminaison commune, riment ensemble : une terminaison est une rime.
Or une rime comporte nécessairement au moins une voyelle. Il ne saurait donc y avoir de terminaison réduite à "r".
Lorsque la terminaison de l'infinitif n'inclut pas de voyelle avant le "r", il faut qu'elle intègre une voyelle après : une voyelle généralement imperceptible mais néanmoins présente pour soutenir la rime : le "e".
Ce "i" est ajouté pour marquer l'infinitif. Et il fait donc partie de la terminaison de l'infinitif : "ir".
La terminaison contenant une voyelle (le "i"), nul n'est besoin d'en ajouter une.
Ce "oi" est ajouté pour marquer l'infinitif. Et il fait donc partie de la terminaison de l'infinitif : "oir".
La terminaison contenant une voyelle et même deux (le "o" t le "i"), nul n'est besoin d'en ajouter une.
Il ne fait pas partie de la terminaison de l'infinitif.
Le "r" ne pouvant à lui seul constituer une rime, il doit alors se trouver complété par un "e" final : la terminaison est "re".
Il ne fait pas partie de la terminaison de l'infinitif.
Le "r" ne pouvant à lui seul constituer une rime, il doit alors se trouver complété par un "e" final : la terminaison est "re".
Le cas des verbes du 2e groupe doit être considéré à part. Ces verbes comportent en effet un "i" tout au long de leur conjugaison :
"Je finis", "Nous finissons", "Tu finissais", "Vous finissiez", "Elles finissent", "Finissant", etc.
Pourtant ce "i" ne fait pas partie de la base : il fait partie de la terminaison de chacune des formes en question.
Pour une part importante des verbes concernés, le "i" est en fait un suffixe, auquel on peut même attribuer un sens : beaucoup des verbes du 2e groupe sont dérivés d'un adjectif X auquel ce "i" a été ajouté afin de signifier "devenir X".
Ainsi : "Grandir" = "Grand" + "ir" = "Devenir grand"
Ou : "Jaunir" = "Jaune" + "ir" = "Devenir jaune"
Le "i", même quand il n'est pas suffixe mais qu'il rime avec ce suffixe, fait donc bien partie de la terminaison du verbe, et ce quelle que soit sa forme, et notamment à l'infinitif.
Cette terminaison contenant par conséquent une voyelle, nul n'est besoin d'en ajouter une : la terminaison de l'infinitif est "ir".
Il existe quatre exceptions au mécanisme général présenté ici : "Fuir", "Voir", "Surseoir" et "Asseoir".
Pour ces quatre verbes, il est difficile de tenir "ir" ou "oir" pour une terminaison de l'infinitif, dans la mesure où le "i" et le "oi" apparaissent dans d'autres formes conjuguées sans que l'on puisse l'attribuer à un effet de rime : "Je fuis", "Je vois", "Je sursois", "J'assois".
Pour ces quatre verbes, on aurait donc attendu un "e" final.
Pour savoir si un infinitif se termine ou non par un "e", il faut donc voir si la voyelle qui précède appartient ou non à la base.
En n'oubliant pas le cas plus compliqué du 2e groupe, où le "i" se retrouve sur toutes les formes sans pour autant appartenir à la base.
Et en n'oubliant pas les quatre exceptions.
Le moins que je puisse faire est de vous souhaiter "Bon courage !".
Source : uoh.univ-montp3.fr
La règle est la suivante :
Pour le reconnaître, on doit pouvoir placer l'article défini "le" ou "la" devant le mot.
On dit par exemple "LA houille" (et non "L'houille"). Ou "LE haricot" (et non "L'haricot").
Le "H aspiré" ne provoque pas d'aspiration, mais un blocage dans la prononciation, qui évite la liaison.
On dit par exemple : "Un héros" (et non "Un Nhéros").
Ou "Une hauteur (et non une "Nhauteur").
Pour le reconnaître, on ne doit pas pouvoir pas pouvoir placer l'article défini "le" ou "la" devant le mot.
On ne peut pas dire par exemple "LE homme" (mais "L'homme").
Ni "LA herbe" (mais "L'herbe").
Source : www.aidenet.eu
Voila bien une question qui fait polémique !
Pour d’autres, tout mot peut - ou doit - adopter le genre de la personne désignée :
L’usage n’ayant à ce jour fixé aucune forme, les différentes propositions sont acceptables.
Source : wiktionary.org, www.cnrtl.fr et www.question-orthographe.fr