Cette locution nominale désigne :
- autrefois, un chevalier errant se faisant un devoir de secourir et de venger les victimes de l’injustice ou de la violence (registre désuet),
- et de nos jours, de façon ironique, dans le registre familier : un individu prétendant réparer les injustices ; ayant la manie de vouloir réformer, corriger les autres.
On dit par exemple : "En rédigeant J'aime les mots, dans lequel je m'efforce de combattre l'utilisation des anglicismes ou la dégénerescence de notre niveau de langue, je sais bien que l'on risque de traiter de redresseur de torts" !
Sources : www.linternaute.fr et wiktionary.org