"L'agalmatophilie" ou "Le pygmalionisme".

Il s'agit de l'attirance et de l'excitation sexuelle provoquées par les mannequins (de cire, pas de chair !), les poupées, les statues et l'immobilité !

Le terme de "Pygmalionisme" est directement hérité de la mythologie grecque, puisqu'elle renvoie à la l'histoire de Pygmalion et Galatée.

Selon la légende, en effet, le sculpteur Pygmalion tombe amoureux de sa création, Galatée, une statue rendue vivante grâce à Aphrodite, la déesse de l'amour, qui comprend son voeu.

Source : wikipedia.org

"L'hybristophilie" et "L'enclitophilie".

  • L'hybristophilie, c'est l'attirance et l'excitation sexuelle provoquées par ... les criminels !

En particulier lorsqu'ils se sont rendus coupables de faits particulièrement abominables ou affreux.

Cette paraphilie est également connue sous le nom de "Syndrome de Bonnie et Clyde", du nom des célèbres bandits américains du début des années 30, Bonnie Parker et Clyde Barrow, immortalisés par le film américain de 1967 du réalisateur américain Arthur Penn, "Bonnie and Clyde", ainsi que par les superbes disques et chansons éponymes de 1968 de Serge Gainsbourg.

  • L'enclitophilie est une variante de l'hybristophilie, concernant les femmes criminelles.

 

"Le syndrome de Bonnie et Clyde".

Il s'agit de l'attirance et de l'excitation sexuelle provoquées par ... les criminels ! En particulier lorsqu'ils se sont rendus coupables de faits particulièrement abominables ou affreux.

Cette paraphilie tire son nom des célèbres bandits américains du début des années 30, Bonnie Parker et Clyde Barrow, immortalisés par le film américain de 1967 du réalisateur américain Arthur Penn, "Bonnie and Clyde", ainsi que par les superbes disques et chansons éponymes de 1968 de Serge Gainsbourg.

Son autre nom est l'"hybristophilie" ; dont l'"enclitophilie" est une variante, concernant les femmes criminelles.

"Le travestissement".

Cette paraphilie relativement connue possède - me semble-t-il - l'énorme mérite de ne guère nuire à qui que soit, puisqu'il s'agit de l'utilisation maniaque par un individu des vêtements ou accessoires du sexe opposé.

Par exemple :

  • jupe ou robe, bijoux, chaussures à talons, perruque à cheveux longs pour un homme.

Un homme travesti en fillette

  • et pantalon, veste, chemise, cravate et cheveux courts pour une femme.
L'actrice états-unienne Glenn Close, travestie en homme, dans le film irlando-britannique "Albert Nobbs", de Rodrigo García (2011)
L'actrice états-unienne Glenn Close, travestie en homme, dans le film irlando-britannique "Albert Nobbs", de Rodrigo García (2011)

"L'abasiophilie".

Comme son nom l'indique, il s'agit de l'attirance et de l'excitation sexuelle provoquées par les personnes dépourvues de mobilité ou dotées d'une mobilité restreinte.

Et en particulier de celles ayant recours à différents appareils ou matériels orthopédiques de type orthèse, plâtre ou fauteuil roulant.

Vous voyez docteur que je suis normal, moi, qui suis attiré par les personnes recouvertes d'écailles !

"L'aérodromophilie".

Un avion d'Air France

Ce substantif féminin désigne l'attirance et de l'excitation sexuelle provoquées par les avions et le transport aérien.

L'actrice néerlandaise Sylvia Kristel dans le film érotique français "Emmanuelle" de Just Jaeckin réalisé en 1974 d'après le roman français homonyme écrit en 1959 par Emmanuelle Arsan

Les aérodromophiles vouent naturellement un culte sans borne au film érotique français "Emmanuelle", réalisé en 1974 par Just Jaeckin, d'après le roman homonyme d'Emmanuelle Arsan (1959), dans lequel l'actrice néerlandaise  Sylvia Christel, interprète du rôle-titre, s'octroie quelques plaisirs fugaces et s'offre à deux passagers masculins lors du voyage aérien qui la conduit à Bangkok (Thaïlande) pour rejoindre son époux...

Affiche du film érotique français "Emmanuelle" de Just Jaeckin (1974) d'après le roman homonyme d'Emmanuelle Arsan (1959)

À l'opposé des aérodromophiles, il existe des aérodromophobes ou aviophobes.

"La pédophilie".

Cette paraphilie, malheureusement tristement célèbre, consiste pour un adolescent ou un adulte, homme ou femme, à être attiré sexuellement par des enfants ; que ceux-ci n'aient pas atteint la puberté, n'en soient qu'au début de leur puberté ou n'aient tout simplement pas atteint au moins l'âge de la majorité sexuelle (15 ans en France depuis 1945).

 

"L'émétophilie".

Il s'agit de l'attirance et de l'excitation sexuelle provoquées par ... le vomi !

Voilà le genre de pratique qui me permet de me sentir parfaitement normal avec ma manie - un tantinet particulière, je le concède - de ne pouvoir être sexuellement excité que par des personnes portant des palmes jaunes, un sombrero bleu et un K-Way vert (très foncé, le vert, s'il vous plaît, c'est encore meilleur !).