"Un référentiel galiléen" ou "Un inertiel".

Il s'agit d'un référentiel dans lequel le principe d'inertie est vérifié, c'est-à-dire que tout corps ponctuel "libre" (sur lequel ne s'exerce aucune force ou sur lequel la résultante des forces est nulle) est en mouvement.

Ce référentiel est dit "galiléen" en hommage au mathématicien, géomètre, physicien et astronome italien du XVIIe siècle Galilée.

Source : wikipedia.org

"La loi de Murphy" et la "LEM (Loi de l'Emmerdement Maximum)" ou "Loi de l’emmerdement universel".

  • La "loi de Murphy" doit son nom à l'ingénieur aérospatial américain Edward A. Murphy Jr, qui, le premier, en énonça le principe.

En vertu de ce célèbre adage : Tout ce qui est susceptible d'aller mal, ira mal.

Selon une variante plus détaillée de la loi de Murphy, s'il existe au moins deux façons de faire quelque chose et qu'au moins l'une de ces façons peut entraîner une catastrophe, il se trouvera forcément quelqu'un quelque part pour emprunter cette voie.

On peut interpréter cette loi de deux manières :

    • l'une, humoristique, est de prendre cette loi à la lettre, et de l'ériger en principe de pessimisme. Vue sous cet angle, la loi de Murphy est le constat, élevé au rang de principe fondamental de l'univers, que "le pire est toujours certain".
    • l'autre vision consiste à voir la loi de Murphy comme une règle de conception : on ne considère pas la loi de Murphy comme vraie, mais on conçoit tout système comme si la loi était vraie. En particulier, un équipement doit être à l'épreuve non seulement des accidents les plus improbables, mais aussi des manœuvres les plus stupides de la part de l'utilisateur. Elle justifie donc les principes de la conception de sûreté préconisant de planifier et d'éliminer d'emblée les possibilités de mauvaise utilisation, par exemple à l'aide de détrompeurs.
  • La LEM (Loi de l’Emmerdement Maximum) ou "Loi de l’emmerdement universel" est une extrapolation de la loi de Murphy, avec laquelle elle est très souvent confondue.

Cette loi nous explique que lorsque quelque chose tourne mal, quelque chose de pire arrive toujours à ce moment-là.

"Les courants de Foucault".

On appelle ainsi les courants électriques créés dans une masse conductrice, soit par la variation au cours du temps d'un champ magnétique extérieur traversant ce milieu (le flux du champ à travers le milieu), soit par un déplacement de cette masse dans un champ magnétique.

Ce phénomène tire son nom du physicien français Léon Foucault, qui l'a découvert en 1851.

"L'effet Larsen".

Il s'agit du sifflement que l'on entend souvent lorsque quelqu'un s'apprête à parler dans un microphone.

Ce sifflement se produit en effet lorsque un émetteur (de type haut-parleur) et un récepteur (de type microphone) d'un système audio sont placés à proximité l'un de l'autre. Le son émis par l'émetteur est capté par le récepteur, qui le retransmet amplifié à l'émetteur.

Ce phénomène physique de rétroaction acoustique involontaire a été observé dès les débuts de la téléphonie et décrit par le physicien danois Soren Larsen.

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"L'effet Bohr".

Il s'agit de la diminution de l'affinité de l'hémoglobine pour l'oxygène (O2) lors d'une augmentation de la pression partielle en dioxyde de carbone (CO2) ou d'une diminution de pH.

Cet effet fut identifié en 1904 par le physiologiste danois Christian Bohr.

Source : wikipedia.org