Tel est le nom anglais de l'enseigne française de boutiques de réparation de téléphones portablesfondée en 2015 par le français Damien Maurin, à partir de la boutique Save my smartphonecréée à paris (75) en 2013.
Cette enseigne a été rachetée en 2017 par Remade group.
Puis, en 2019, par Point Service Mobiles, devenant l'unique nom du "premier réseau français agréé par les constructeurs dédié à la réparation immédiate de smartphones et objets connectés", regroupant 186 magasins, dont une centaine en franchise.
Point Service Mobiles avait été créée en avril 2010 par Martine Bocquillon et son premier magasin avait ouvert le 4 décembre 2006, à Paris (75), place de la Nation.
Sources : www.lsa-conso.fr et www.toute-la-franchise.com
Il s'agit du surnom de l'ingénieur français Laurent De La Clergerie, fondateur, en 1996, du groupe français de commerce en ligneéponyme.
Né Laurent Villemonte de la Clergerie, le 11 septembre 1970, ce jeune ingénieur lyonnais crée, à 25 ans seulement le site ldlc.com.
Par la suite, le Groupe LDLC est constitué de différents sites et services annexes à l'activité principale du groupe : la vente en ligne de matériel informatique et multimédia.
LDLC est introduit en bourse le 13 avril 2000.
En 2004, est inaugurée une première boutique à Lyon (69), puis une deuxième, en 2006.
Réseau de franchise
En 2012, le déploiement en France d’un réseau de magasins physiques franchisés est initié.
La première boutique franchisée du groupe a été celle de Bourgoin-Jallieu (38) en 2014, qui précéda l'ouverture de quatre autres franchises la même année. Le réseau de magasins franchisés s'est ensuite développé jusqu’à atteindre le nombre de55 points de vente, au printemps 2021.
Le magasin LDLC de Mérignac (33)
Temps de travail
À noter : Laurent de la Clergerie, patron du Groupe LDLC, a annoncé en juillet 2020 vouloir mettre en place la semaine de 32 heures pour l'ensemble de ses salariés. Et ce nouveau temps de travail hebdomadaire est entré en vigueur en février 2021.
Chiffres
Fin 2020, le groupe LDLC affichait 724,1 millions d’euros de chiffre d’affaires, 1 000 collaborateurs et plus de 50 000 références sur son site. Et revendique jusqu’à 25 000 colis expédiés par jour !
Ce qui fait de lui le numéro un du commerce de produits de haute-technologie et de matériel informatique en France.
Il s'agit, depuis le 29 août 2005, de l'appellation commerciale du Crédit Lyonnais société anonyme.
Longtemps surnommée "la banque au lion" ou "la banque du lion", cette banque française a été fondée à Lyon le 6 juillet 1863 par François Barthélemy Arlès-Dufour et Henri Germain.
Et acquise par le Crédit Agricole en 2003.
Considérée comme l'un des trois piliers de l'industrie bancaire française, elle fait partie des "Trois Vieilles" avec la BNP Paribas et la Société générale.
Cette stratégie constitant à faire progressivement disparaître le nom même de "Crédit Lyonnais" de son logo et de son appellation commerciale est naturellement intervenue après une invraisemblable série de scandales financiers et d'incendies fortuits de siège et d'archives, qui aura coûté au total à l'État français 14,7 milliards d'euros..., soit 812€ à chaque chaque français !
Or, aussi incroyable que celà puisse paraître pour les personnes de mon âge (je suis né en 1961), qui ne voient pas le temps passer (vous aussi, n'est-ce pas ?), cette mystification aussi ridicule que grossière semble avoir parfaitement réussi, puisque, déjà, aujourd'hui, en 2020, l'immense majorité des jeunes de moins de trente ans semblent apparemment n'établir aucun lien entre le sigle "LCL" et le nom réel de la société, demeuré inchangé : "Crédit Lyonnais" !
Qu'il est donc facile, hélas, de berner ainsi toute une population.
Cette enseigne française de GSB (Grande Surface de Bricolage) spécialisée dans le bricolage, le jardinage, la décoration et l'aménagement de la maison et du jardin est née en 1980.
Sa création avait pour but de donner une enseigne commune aux magasins réunis depuis le 11 mai 1965 au sein de l'ANPF (Association Nationale des Promoteurs du Faites-le-vous-même).
Son nom devrait bien évidemment s'écrire "M. Bricolage" - pour "Monsieur Bricolage" - et non "Mr. Bricolage", l'abréviation "Mr." signifiant "Mister" ("Monsieur") en anglais !
Starbucks est une chaîne de cafés états-unienne fondée en 1971, à Seattle (Washington), sous le nom de Starbucks Coffee Company par Zev Siegl, Jerry Baldwing et Gordon Bowker, associés au torréfacteur Alfred Peet.
Elle a été rachetée en 1987 par Howard Schultz, le directeur marketing, qui la rebaptise Starbucks Corporation et lui fait vendre des boissons au café en plus des cafés en grain qu'elle se contentait de proposer jusqu'alors.
En partie en franchise, il s'agit de la plus grande chaîne de ce genre dans le monde, avec plus de 28 000 établissements implantés dans près de 80 pays, dont 12 000 aux États-Unis d'Amérique.
L'origine littéraire du nom "Starbucks"
L'entreprise tire son nom de "Starbuck", l'un des officiers du Pequod, le navire du capitaine Achab, qui poursuit un gros cachalot blanc surnommé "Moby Dick", dans le célèbre roman d'aventures états-unien du même nom, écrit en 1851 par Herman Melville ("Moby Dick or The whale" en anglais, c'est à dire "Moby Dick ou La baleine" ou "Moby Dick ou Le cachalot").
D'où le logo de couleur brune dessiné par Terry Heckler et représentant une sirène couronnée dotée de deux queues de poisson, inspirée d'une gravure scandinave du XVIe siècle.
Le concept Starbucks
Les établissements Starbucks vendent exclusivement leur propre marque de café (moulu ou en grains), du thé, des boissons, des pâtisseries, des ustensiles et des machines à café.
Mais l'entreprise vise principalement à "offrir une expérience-consommateur", en proposant à sa clientèle un service unique qu’elle ne retrouvera pas dans les cafés d’une autre enseigne (confort, calme,etc.).
Ainsi que des prix qui défient parfois l'entendement, puisqu'une tasse de 350 millilitres de café peut y coûter jusqu'à... 12 dollars !
Indépendamment de ceux-ci, l'entreprise fait également l'objet de critiques concernant notamment sa politique de ressources humaines, ses produits et sa politique écologique.
Ce nom énigmatique désigne les complexes sportifs de futsal, créés par l'ancien attaquant de l'équipe de France de football championne du monde 1998 Zinedine Zidane.
Ce sport collectif apparenté au football, se joue, comme lui, principalement au pied avec un ballon sphérique, et oppose deux équipes de cinq joueurs dans un gymnase, sur un terrain de handball.
Le nom "Z5" s'explique ainsi assez simplement : "Z" comme "Zidane" et "5" comme le nombre de joueurs d'une équipe de futsal.
Le premier Z5 a été inauguré le 23 juin 2011 à Aix-en-Provence (13).
Depuis, quatre autres centres Z5 ont été créés à Meaux (77), Melun (77), Turin (Piémont) (Italie) et Istres (13).