La langue française comporte un certain nombre de mots dont on ignore parfois s’ils sont féminins ou masculins, ou pour lesquels on a au moins tendance à hésiter.
Comme par exemple : « Antidote », « Autoroute », « Enzyme », « Épice », « Escarre » ou « Stère », pour n’en citer que quelques uns.
J’ai rassemblé dans cette collection l’ensemble de mes articles consacrés à ce sujet.
Nombre total d’articles prévus dans cette collection : 48
Comme le déclare l'historien français du cinéma Patrick Brion, dans le documentaire "Napoléon intime : entretien avec Patrick Brion", réalisé par Linda Tahir et figurant en supplément du DVD sorti en 2019 du film états-unien "Désirée", réalisé en 1954 par Henri Koster.
Mais : "JE voudrais d'ailleurs faire UN apparté" !
Comme a pu le dire, le 12 février 1989, le président François Mitterrand, lors de l'émission dominicale d'Anne Sinclair "Sept sur sept", sur la chaîne de télévision française TF1.
Une semi-remorque est en effet une remorque routière destinée au transport de marchandises dont la particularité est de reposer sur un ou plusieurs essieux à l'arrière, et sur le véhicule tracteur à l'avant, par l'intermédiaire d'une plateforme appelée "sellette" ou "verrou coupleur".
De sorte que le tracteur supporte une partie notable du poids de la remorque et de son chargement.
Comme a pu le déclarer, le 14 juillet 2021, l’ancien athlète et consultant sportif français Bob Tahri, dans l’émission vespérale "L’Équipe du soir", sur la chaîne de télévision française L'Équipe.
Mais, à tout le moins : "UnE espèce de revival" !
Et en français, dans le contexte : "UnE espèce de RENAISSANCE"
Parce qu'il est parfaitement incapable de s'exprimer dans un français correct et accumule ce type de faute grossière ainsi que les anglicismes, je lui lui décerne mon label de médiocrité "Fâchés avec le français".
Le mot "Aura" est en effet un subtantif féminin, qui nous vient du latin, et désignant - dans ce contexte - l'image, la réputation qui entoure ou semble entourer un être ou une chose.
Sources : Le Robert, www.larousse.fr, www.cnrtl.fr et wiktionary.org
Il s'agit d'un substantif féminin désignant une matière organique d'origine végétale odorante ou piquante.
Elle est principalement utilisée en petite quantité en cuisine, comme conservateur, assaisonnement ou colorant, mais aussi en médecine, en teinturerie ou en distillerie.
La notion d'épice se confond partiellement avec celle d'aromate, et dans une moindre mesure de condiment.
Les épices sont issues de différentes parties de la plante : écorce (cannelle), fleur (safran, clou de girofle), fruit (poivre, aneth, piment), rhizome (gingembre, curcuma), graine (noix de muscade, moutarde), etc.
Certaines définitions excluent en revanche les plantes dont seuls sont utilisés les feuilles (persil, basilic, estragon, ciboulette, etc.), les tiges ou les bulbes (oignon, ail, etc.)
Elles sont alors plutôt considérées comme des herbes aromatiques.
Les épices sont pour la plupart des produits exotiques, ce qui explique qu'elles aient été parmi les produits agricoles importés les plus coûteux, durant l'Antiquité et le Moyen Âge.
Ce substantif, qui nous vient de l'allemand "Enzym", a été introduit en français au XIXe siècle avec le genre masculin : "Un enzyme".
Mais son emploi avec le genre féminin est devenu majoritaire depuis quelques décennies et une décision de l’Académie des sciences de Paris a conféré au mot "Enzyme" le genre féminin en 1959. Une décision qui a par la suite été reconduite par l’Académie nationale de Médecine, en 1967, et par l’Académie française, en 1970.
Il s'agit donc aujourd'hui très clairement d'un substantif féminin : "Une enzyme".
Ce terme désigne une molécule ou un ensemble de molécules (protéines, ou ARN) qui catalyse des réactions chimiques biologiques, donnant un ou des produits à partir d’un ou de plusieurs substrats.