Comme l'a déclaré, LE 20 décembre 2020, l'entraîneur de football français Régis Brouard, dans l'émission vespérale "L'Équipe du soir", sur la chaîne de télévision française L'Équipe.
Mais bien évidemment : "Paris doit-IL avoir des regrets ?"
Un étonnant voyage au pays de la langue française.
Pour apprendre en s'amusant et se coucher plus cultivé qu'on ne s'est levé.
Ce mot-clé donne accès à l’ensemble de mes articles consacrés à des déclarations entendues ou lues dans les organes d’information radiophoniques ou télévisuels.
Comme l'a déclaré, LE 20 décembre 2020, l'entraîneur de football français Régis Brouard, dans l'émission vespérale "L'Équipe du soir", sur la chaîne de télévision française L'Équipe.
Mais bien évidemment : "Paris doit-IL avoir des regrets ?"
Ainsi que le déclare l'historien de l'art français Jean-Michel Leniaud, dans le documentaire français de Fabrice Buysschaert "Le Sacré-Coeur : mégastructure historique", réalisé en 2018 et diffusé en décembre 2020 sur la chaîne de télévision française RMC Découverte.
Mais bien sûr : "La fête et la débauche AVAIENT libre cours".
Ainsi que j'ai pu l'entendre dire dans le commentaire du documentaire français "Titans des neiges" diffusé le 3 janvier 2021, sur la chaîne de télévision française RMC Découverte;
Mais : "RÉDUISENT la visibilité à néant" ou "Rendent la visibilité NULLE" !
Comme je l'ai entendu dire, le 1er janvier 2020, à 2H10, sur CNews.
Mais, simplement : "Une pandémie qui n'a épargné aucun pays" !
Ou : "Une épidémie mondiale qui n'a épargné aucun pays" !
Comme l'a déclaré l'humoriste français Az, le 28 novembre 2020, dans l'émission vespérale de Laurent Ruquier "On est presque en direct", sur la chaîne de télévision publique française France 2.
Mais : "Je pense que si jE m'ÉTAIS appelé Leguluche" !
Pour cette énorme faute de grammaire, je lui décerne mon label de médiocrité "Fâchés avec le français".
Comme l'a déclaré le critique de cinéma français François Guérif, en 2019, dans sa présentation figurant sur le DVD du film états-unien "Casier judiciaire", réalisé en 1938 par le réalisateur allemand Fritz Lang.
Mais :
Pour ces trois phrases, figurant dans le même entretien de quelques minutes à peine, je décerne à ce monsieur, mon label de médiocrité "Fâchés avec le français".
Comme le déclare l'historien français du cinéma Patrick Brion, dans sa présentation du film états-unien "Duel dans la boue", réalisé en 1959 par Richard Fleischer et sorti en DVD en 2011.
Mais : "C'est unE très beLLE DISTRIBUTION" !
Comme l'a déclaré, à l'automne 2020, l'ancien athlète et consultant sportif français Bob Tahri, dans l'émission vespérale d'Olivier Ménard "L'Équipe du soir", sur la chaîne de télévision française L'Équipe.
Mais : "Il a besoin de joueurs sur LESQUELS iL peut compter" !
Parce qu'il accumule dans cette émission les fautes de grammaire, les anglicismes et ce genre de phrases insupportables, je lui décerne mon label de médiocrité "Fâchés avec le français".
Comme le déclare le réalisateur français Bertrand Tavernier, dans sa présentation du film états-unien de Henry King "Le cygne noir" (1942) sorti en DVD en 2007.
Mais :
L'adjectif "Considérable" signifiant déjà "Très important", la formule "Très considérable" est en effet un épouvantable pléonasme.
Le mot "Voire" signifiant déjà "Et aussi" ou "Et même", la formule "Voire même" est en effet, elle aussi, un épouvantable pléonasme.
Pour ces deux énormes fautes de français, je me vois malheureusement contraint de décerner à ce réalisateur et critique que j'aime pourtant énormément, mon label de médiocrité "Fâchés avec le français".
Comme l'a lamentablement déclaré, le 15 décembre 2020, l'universitaire français Benjamin Morel, sur la chaîne de télévision frnçaise d'information en continu CNews.
Mais : "IL y a, EN L'ESPÈCE, un vrai PROBLÈME" !
Ou : "IL y a, EN LA CIRCONSTANCE, un vrai PROBLÈME" !
Pour cette phrase inepte, je décerne sans hésitation à ce monsieur mon label de médiocrité "Fâchés avec le français".
Je ne supporte plus en effet cette utilisation erronée de la locution "Pour le coup" ainsi que cette utilisation du mot "Sujet" en lieu et place du mot "Problème" !
Comme l'a déclaré le journaliste français Julien Pasquet, le 15 décembre 2020, sur la chaîne de télévision française d'information en continu CNews.
Mais simplement : "BON courage" !
Ou : "JE VOUS SOUHAITE/NOUS VOUS SOUHAITONS BEAUCOUP DE courage" !
Comme a pu le déclarer, le 4 décembre 2020, le jeune vendeur Yann, dans l'émission "Affaire conclue", sur la chaîne de télévision publique France 2.
Mais : "Je ne me suis pas ENGAGÉ dans cette voie" !
Comme l'a déclaré l'historien français du cinéma Patrick Brion, dans sa présentation du film états-unien "La flamme pourpre", réalisé en 1954 par Robert Parrish et sorti en 2013 en DVD.
Mais : "Les films DONT je viens de parler" !
Comme l’a déclaré, le 14 décembre 2020, le journaliste sportif français Damien Degorre, dans l’émission vespérale d’Olivier Ménard "L’Équipe du soir", sur la chaîne de télévision française L’Équipe.
Mais : "Je comprends quE L'ON se pose DES QUESTIONS" !
Comme l'a déclaré, le 1er décembre 2020, l'homme politique français Vincent Segouin, sénateur LR (Les Républicains) et agent général d'assurances de profession, dans l'émission "Bonjour chez vous !", sur la chaîne de télévision publique française Public Sénat.
Mais : "IL y a quand même un PROBLÈME quand IL y a des enfants qui sont agressés DANS LES écoles" !
Pour son utilisation du mot "Sujet" en lieu et place du mot "Problème" qui a le don de m'exaspérer, ainsi que pour la médiocrité de son niveau de langue et la nullité crasse de l'ensemble de ses propos, creux comme un bambou, mais surtout pour le charabia sans nom que constitue cette phrase épouvantable, je décerne à ce monsieur mon label de médiocrité "Fâchés avec le français".