Les plus âgés d'entre nous continuent parfois d'utiliser de façon ironique cette formule en forme d'interjection relevant du registre familier, lorsqu'il s'agit de signaler qu'une activité n'est plus aussi lucrative que par le passé.
On dit par exemple :
- "Ça rapporte beaucoup ?",
- "Ça eut payé !".
Comme pour beaucoup d'autres, c'est au génial - et bien injustement oublié - humoriste français Fernand Raynaud que nous devons cette formule, extraite de sa saynète "Le paysan".
Les plus âgés d'entre nous continuent parfois d'utiliser - de façon naturellement totalement ironique - cette formule en forme d'interjection.
Par exemple lorsqu'ils'agit de répondre à une question technique concernant une machine, un appareil ou une technologie dont on ignore tout ou presque du fonctionnement :
- "Mais comment ça fonctionne exactement cet appareil qui t'indique systématiquement l'itinéraire à suivre ?",
- "C'est étudié pour !".
Ou :
- "Je me demande bien comment ils font pour faire revenir leurs fusées et les réutiliser",
- "C'est étudié pour !"
Comme pour beaucoup d'autres, c'est au génial - et bien injustement oublié - humoriste français Fernand Raynaud que nous devons cette expression, puisqu'il s'agit, à l'origine, du titre de l'une de ses saynètes datant de 1955.
Cette phrase est entrée dans le langage courant depuis - très exactement - le 19 mars 1990 !
Et elle est désormais régulièrement utilisée, de façon ironique, lorsqu'une personne fait mine d'être offensée et de quitter les lieux.
À l'instar de l'humoriste français Pascal Légitimus, membre du trio humoristique "Les Inconnus", qui interprète le rôle de Mohamed, dit "Momo", un candidat du jeu télévisé matrimonial "Tournez ménages", dans la célébrissimesaynètehomonyme, diffusée le 19 mars 1990 sur la chaîne de télévision publique Antenne 2, dans le cadre de la toute première émission de "La télé des inconnus".
En compagnie d'un second candidat prénommé Jean-Pierre (Didier Bourdon), Momo tente d'y séduire l'une des deux candidates, Nathalie (Bernard Campan) et Ingrid (une mannequin prénommée Marianne), par l'entremise de l'animatrice Fabienne (Michèle Laroque).
Il s'agissait naturellement d'une extraordinaire parodie du jeu télévisé matrimonial français "Tournez manège !", diffusé tous les midis, du 9 septembre 1985 au 4 juillet 1993, sur la chaîne de télévision française TF1, et animé par les animatrices de télévision Fabienne Égal, Évelyne Dhéliat et Simone Garnier (celle à qui Guy Lux lançait son fameux "En voiture, Simone !").
Les plus âgés d'entre nous continuent parfois de prononcer ainsi, de façon ironique, cette interjection du registre familier.
On dit par exemple :
- "Tu es heureux alors ?",
- "Heu-reux !".
Comme pour beaucoup d'autres, c'est au génial - et bien injustement oublié - humoriste français Fernand Raynaud que nous devons cette formule, puisqu'il s'agit, à l'origine, du titre de l'une de ses saynètes.
Cette formule est entrée dans le langage courant depuis maintenant 30 ans.
Et on l'utilise couramment sur le ton de la plaisanterie, en la prononçant d'ailleurs sur un ton et selon un rythme bien particulier.
Car nous la devons bien sûr à une excellentesaynète des "Inconnus", datant de l'émission "La télé des inconnus" du 28 octobre 1991.
Dans celle-ci, Didier Bourdon, Beranard Campan et Pascal Légitimus parodient à merveille les proposineptes des commentateurs sportifs de l'émission "Stade 2", diffusée sur la chaîne de télévision publique Antenne 2, à l'occasion d'une rencontre d'athlétisme (les "demi-finales de la coupe du critérium inter-européen des trophées régionaux").
Les trois compères nous narrent en détail la vie privée et sexuelle du malheureux athlète français "Jean-Claude Poupon", tout en ponctuant régulièrement leurs invraisemblables indiscrétions d'un "Cela ne nous regarde pas" !
J'adore ces deux formules extraites de "Le train pour Pau", une célèbre saynète ("sketch") du duo humoristique français Chevalier et Laspalès.
Couramment surnommé "le sketch du train", ce drolatique épisode est apparu dans le spectacle "Bien dégagé autour des oreilles... SVP", de 1988, avant d'être repris et même de donner son titre au spectacle suivant, "C'est vous qui voyez !", en 1992, où cette phrase était répétée à de nombreuses reprises sous la forme de blague récurrente.
Un client parisien (Philippe Chevallier) se renseigne auprès d'un préposé de la SNCF (Régis Laspalès) quant aux modalités permettant de se rendre en train à Pau (64) à l'occasion d'un enterrement. Le comique de répétition des formules récurrentes "C'est vous qui voyez !" et "Y en a qu'ont essayé. Ils ont eu des problèmes" ont permis à cette saynète ("sketch") d’accéder à la postérité.
Relevant du registre familier, ces deux phrases appartiennent en effet désormais au vocabulaire d'une partie de la population, dont je suis !
J'adore ces deux formules drolatiques du regretté Coluche, qui signifient naturellement toutes deux "Être idiot".
Explication du calembour
Il résulte de l’utilisation volontairement erronée du mot « Analphabète » en lieu et place du mot « Bête » dans l’expression du registre familier « Être bête comme ses pieds ».
Relevant du registre familier, elles datent de 1977 et de son célèbre sketch "Le clochard analphabète".
J'ai toujours trouvé plaisante cette formule du registre familier signifiant tout simplement "Récemment".
Et davantage encore, bien sûr, sa reprise par le regretté Coluche sous la forme "Pas plus tard que y a pas longtemps", dans son sketch sur la politique française "Votez nul", sorti en disque en 1989, sur l'album "Coluche : l'intégrale, vol.4.
au sens propre : Conformément aux lois et aux règlements en vigueur.
et, au sens figuré, dans le registre familier, : selon les manières en usage.
"En bonnet difforme" est un savoureux calembour créé par l'humoriste français Coluche, en 1977, dans son sketch "Le clochard analphabète". Grâce lui en soit rendue ici.
J'adore cette expression de l'idole de mon adolescence, Coluche, que j'utilise assez régulièrement.
Elle est issue de son sketch de 1980 intitulé "La revue de presse".
Cette formule incorrecte - à dessein, bien sûr - contracte les locutions verbales "JUSQU'où iront-ils" et "OÙ S'ARRÊTERONT-ILS ?", pour donner cette phrase extraordinaire, encore régulièrement utilisée, je crois, quarante ans plus tard, par d'assez nombreux français.