Ces substantifs du registre désuet désignent ceux et celles qui fabriquent ou vendent des bas, chaussettes, bonnets, etc.
Source : wiktionary.org
Richesse et défense de la langue française
Certains métiers portent de bien curieux noms ou ne sont que très rarement évoqués.
Et de très nombreux métiers d’autrefois ont aujourd’hui disparu, dont certains portaient parfois d’étranges noms.
J’ai réuni dans cette collection l’ensemble des articles consacré à ce sujet
Nombre total d’articles prévus dans cette collection : 26
Ces substantifs du registre désuet désignent ceux et celles qui fabriquent ou vendent des bas, chaussettes, bonnets, etc.
Source : wiktionary.org
Ces deux substantifs qu'il doit être bien difficile de distinguer pour nos amis apprenants de FLE se rapportent naturellement tous deux aux plafonds.
Le mot s'utilise notamment pour parler de la lampe d'éclairage fixée au plafond des automobiles.
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Il s'agit naturellement d'une personne qui fabrique ou vend des parapluies.
Mais reconnaissez que sauf à être fils de parapluitier ou ex-fiancée de parapluitier, vous n'aviez vraisemblablement jamais entendu ce mot !
Il s'agit d'une personne qui apprête les cuirs, les peaux - principalement d'ovins et de caprins -, à l’exclusion des grosses peaux de bovins, dont s'occupent les tanneurs.
Son travail consiste à "mégir" ou "mégisser".
Et son activité est la "mégisserie".
Ce mot est relativement connu des parisiens, car il existe dans notre capitale un "Quai de la mégisserie", situé rive droite, entre le pont au Change (place du Châtelet) et le pont Neuf, dans le quartier de Saint-Germain-l'Auxerrois. Et il s'agit d'un endroit très fréquenté en raison de ses animaleries et pépiniéristes.
Je le fréquentais pour ma part régulièrement lorsque je collectionnais les serpents, au début des années 1990, avant que cela ne devienne à la mode et que l'on en trouve dans toutes les animaleries de centres commerciaux, pour lesquelles s'est développé tout un marché de produits spécialisés (terrariums, décors, accessoires, etc.).
Ce terme du registre désuet, désignait :
La gargousse était la charge d’une bouche à feu (ou canon) et elle était contenue dans une enveloppe cylindrique, faite de papier ou de toile, au diamètre exact de la chambre du canon.
Certains patronymes ou noms d'artistes peuvent parfois surprendre.
Mais ce n'est rien à côté de ce que peut révéler l'analyse détaillée de leur vies personnelles à laquelle votre serviteur a cru bon de se livrer près de cinquante années durant.
Jugez-en par vous-même en lisant ce qui suit :
Certaines personnalités ont parfois des difficultés à se déplacer de conserve. Par exemple Arnaud Démare, Anne Nivat, Jacques Seiler, mais Laurence Bloch, quand ce n'est pas Bruno Carette. Et c'était bien pire autrefois, lorsque Sophie Desmarets et que Georges Marchais, tandis que Charles Trénet et Pierre Fresnay. Surtout quand on sait que la plupart du temps Yves Montand et Simone Signoret. Et il s'en est souvent fallu de peu que Jacques Chancel, que Mercedes Erra, qu'Hélène Ségara ou que Renaud Pila.
D'autres personnalités ont une coiffure préférée : queue de cheval, couettes et pour Marie-Josée Nat.
Mais à d'autres individus également, à raison de leurs handicaps respectifs : pour l'un diabète, pour Patrick Dutartre, pour l'autre hypertension et pour Jean-Michel Aphatie.
Pareil pour les femmes : l'une est myope comme une taupe, l'autre un peu dure d'oreille, Valérie Bègue et, il faut bien le dire, Larusso.
Catherine Mouchet, David Douillet mais il semble aller mieux. André Boite.Et Marie-Josèphe Yoyotte. Jean Yoyotte aussi d'ailleurs.
Mathieu Plane, certains souffrent du dos, Delphine Desyeux. Et pour Bryan Coquard, mais heureusement Pierre Soulages. Dans ces cas-là, pas d'hésitation : un cachet comme pour Big Flo et Oli.
Et globalement, beaucoup en ont assez d'entendre Adrien Gindre.
Sur un thème contigu, je me permets de vous recommander la lecture de mes articles "Tous des obsédés !" ou "Les étranges pratiques sexuelles de nombreuses personnalités", "Les destinations préférées des personnalités", "Les métiers auxquels rêvaient les personnalités lorsqu'elles étaient jeunes" et "Un été en Provence".