Cette expression signifie, au sens figuré, avoir des jambes ou des mollets grêles, peu charnus.
Source : wiktionary.org
Richesse et défense de la langue française
Nombre total d’articles prévus dans cette série de collections : 207
Cette expression signifie, au sens figuré, avoir des jambes ou des mollets grêles, peu charnus.
Source : wiktionary.org
Cette locution nominale se dit, au sens figuré, d'un cou massif, musculeux, aussi épais que celui d'un taureau.
On désigne ainsi des incisives supérieures saillant vers l'avant.
Il s'agit d'une malformation fréquente chez les jeunes enfants, souvent liée à la succion du pouce.
Même si elle se corrige souvent d'elle-même, il est préférable de la traiter rapidement par un appareillage léger, le plus souvent un casque orthodontique porté uniquement la nuit.
En effet, des dents en avant non traitées représentent le risque que l'enfant se casse les incisives en tombant ou en se cognant.
Ce problème doit en tout état de cause être traité avant 12 ans, âge où la croissance des os est achevée.
Source : www.cnrtl.fr
Cette coiffure, souvent moquée de nos jours, consiste à porter les cheveux longs sur la nuque, de manière plus ou moins ordonnée, mais pas sur les tempes ni le dessus du crâne, où ils sont plus courts.
Elle porte d'innombrables appellations puisqu'elle est également appelée "Nuque longue", "Coupe Cambronne", "Mulette", "Coupe Coco", "Nuquette" ou "Nuque à l'allemande".
Ainsi que, chez nos amis belges de la région de Liège : "Coupe Flémalle".
Et chez nos amis québecois, : "Coupe Longueuil".
Très à la mode des années 1970 aux années 1990, elle a été largement popularisée par certaines vedettes masculines fortement médiatisées :
La "coupe mulet" ne doit pas être confondue avec la "queue de rat".
Source : wikipedia.org
Curieusement, cette locution nominale masculine possède de nombreuses significations au sens figuré.
On utilise également, dans le même registre de langue, la locution nominale masculine "Un bras d'enfant".
Il s'agit d'une réaction de l'organisme face à certaines situations.
Et son véritable nom est "La piloérection", "Le réflexe pilo-moteur" ou encore "L'horripilation".
L'expression imagée "La chair de poule" a d'abord été employée par les médecins du XVIIe siècle, en référence à la peau d'une volaille déplumée, afin de décrire l'étrange aspect parfois pris par notre peau lorsque les minuscules muscles arrecteurs (ou horripilateurs) situés sous notre peau se contractent, redressent nos poils et font apparaître d'innombrables petites bosses.
Et nous l'utilisons toujours de nos jours, dans le registre familier, pour évoquer, selon les circonstances :
On dit par exemple : "Brrr ! Il fait plus frais que je croyais. J'aurais dû enfiler un gilet : j'ai la chair de poule !".
On dit par exemple : "Je trouve le couloir sombre de cette cave particulièrement sinistre : il me donne la chair de poule !".
Source : www.futura-sciences.com
Cette locution du registre familier en forme d'idiotisme animalier fait référence à l'ablette, un petit poisson d'eau douce.
Et elle désigne, au sens figuré, comme de nombreuses autres : un individu chétif.
Sur le même thème, je vous recommande la lecture de mon article consacré à toutes les façons de dire "Un homme très mince ou de faible constitution" en français.