Monsieur et Madame Patamob ont un fils. Comment se prénomme-t-il ?

Réponse
« Adhémar !« 
Complément de réponse
« Adhémar Patamob »
Explication du calembour
Il résulte de l’homophonie entre « Adhémar Patamob » et « A démarre pas ta mob » (registre argotique pour « Elle ne démarre pas ta motocyclette ») !

 

"Les boulevards des maréchaux", "Les boulevards extérieurs", "Le boulevard périphérique", "Le périphérique intérieur" et "Le périphérique extérieur".

Toutes ces locutions nominales désignent d'importants axes circulaires de circulation routière ceinturant la ville de Paris (75).

  • "Les boulevards des maréchaux" (ou, par ellipse : "Les maréchaux") constituent un ruban quasiment continu ceinturant Paris (75), à la limite de la ville, sur une longueur de 33,7 kilomètres.

Il s'agit de boulevards classiques, à double sens, qui occupent l'emplacement de l’ancienne "rue militaire", bâtie en 1840, le long de l'enceinte de Thiers.

Et ils tiennent leur nom de ce que, à leur création, en 1864, la totalité de ces boulevards portaient des noms de maréchaux du Premier Empire : "Ney", "Davout", "Murat", "Kellermann", "Victor", etc

Le boulevard Ney, l'un des "Boulevards des maréchaux", à Paris (75)
Le boulevard Ney, l'un des "Boulevards des maréchaux", à Paris (75)
  • "Les boulevards extérieurs" sont tout simplement un autre nom de cet axe.
  • "Le boulevard périphérique de Paris" - également appelé par ellipse "Le boulevard périphérique" ou par apocope "Le périph", voire "Le BP (Boulevard Périphérique)" - est une voie circulaire, d'une longueur de 35,04 km, qui fait le tour de la ville de Paris (75).
Le boulevard périphérique de Paris (75)
Le boulevard périphérique de Paris (75)

Construit de 1956 à 1973, en grande partie sur l'emplacement des anciennes fortifications de la commune de Paris et de la Zone, il est inauguré par le Premier ministre Pierre Messmer le 25 avril 1973.

Il comporte le plus souvent quatre voies de circulation dans chaque sens (exceptionnellement deux ou trois et parfois cinq).

Malgré une forte baisse depuis la fin des années 1990, certains tronçons de cet axe dépassaient encore les 250 000 véhicules par jour en 2010.

Le boulevard périphérique est constitué du "Périphérique intérieur" et du "Périphérique extérieur" :

    • "Le périphérique intérieur" est le nom donné à la voie de circulation située sur le côté intérieur du boulevard périphérique, laquelle tourne dans le sens des aiguilles d'une montre.
Boulevard périphérique intérieur (à gauche) et extérieur (à droite) de Paris (75)
Boulevard périphérique intérieur (à gauche) et extérieur (à droite) de Paris (75)
    • et "Le périphérique extérieur" est le nom donné à la voie de circulation située sur le côté extérieur du boulevard périphérique, laquelle tourne dans le sens inverse des aiguilles d'une montre.

Source : wikipedia.org

"Railler" et "Dérailler".

En dépit de ce qui pourrait sembler être un préfixe en "" signifiant d'ordinaire l'action ou l'état contraire, inverse, :

  • Railler , c'est tourner en ridicule par des moqueries (registre soutenu), manifester de l'ironie devant une situation ou un comportement que l'on déplore, dont on remet en cause le bien-fondé et que l'on juge ridicule.
  • alors que Dérailler, c'est :
    • au sens propre :
      • sortir des rails, pour un véhicule (train, tramway, métropolitain),
      • sortir du dérailleur ou d'un pignon, pour une chaîne de bicyclette,
    • et au sens figuré :
      • dévier, s'écarter de son but, s'engager dans l'erreur,
      • s'écarter de la ligne mélodique, en musique,
      • s'écarter du bon sens, du sens commun, déraisonner, divaguer, "Devenir fou" (registre familier).

Un bus qui n'est pas en service n'est pas "Hors service" !

  • La mention "Hors Service", que l'on a coutume de trouver sur la porte des ascenseurs ou en travers des escaliers mécaniques signifie "Non opérationnel" et donc, en langage courant : "En panne".

Un bus "Hors Service" ne peut donc normalement, à mon sens, qu'être à l'arrêt, "non roulant". Et non se déplacer allègrement sur son trajet habituel, comme le font à longueur de temps les véhicules de la RTM...

  • Tandis qu'un bus arborant la mention "Je ne suis pas en service", comme le font ceux de "Le car", la navette autoroutière de la RDT 13, opérateur de "La Métropole mobilité" reliant Aix-en-Provence (13) à Marseille (13), peut légitimement rouler et passer devant votre arrêt sans s'arrêter ni faire injure à votre bon sens...

Qu'ils en soient ici remerciés !

"La RTM".

Naturellement, la plupart des marseillais et des habitants des Bouches-du-Rhône (13) en général, connaissent ce sigle de longue date, puisqu'il est apparu en 1986.

La "Régie des Transports de Marseille" avait alors remplacé la RATVM (Régie Autonome des Transports de la Ville de Marseille) qui - à l'instar de la RATP pour Paris (13) - gérait depuis 1950, l'ensemble des transports en commun de la cité phocéenne : autobus, tramway, métropolitain et même - particularité locale - : navette maritime.

Mais nombre d'entre eux en ignorent très vraisemblablement la signification actuelle !

Si en effet le sigle "RTM" a perduré, sa signification n'en a pas moins récemment évolué, sans que l'information ne perturbe outre-mesure les foules.

La tutelle de la RTM étant en effet passée de la ville de Marseille (13) à la communauté urbaine "Marseille Provence Métropole" en 2001, puis à la métropole d'"Aix-Marseille-Provence" en 2016, la régie été, fort logiquement, rebaptisée : "Régie des Transports Métropolitains".