"Gérard Hernandez".

Gérard Hernandez

Il s'agit du nom d'artiste et du nom d'usage de l'acteur espagnol Julio Gerardo Hernandez, né le 20 janvier 1933 et naturalisé français en 1975.

Il est naturellement célèbre pour son interprétation, depuis 2009, du personnage de "Raymond", le mari de Hughette, dans le feuilleton "Scènes de ménage", sur la chaîne télévisée française M6.

Raymond (Gérard Hernandez) et Hughette (Marion Game) dans le feuilleton français "Scènes de ménage", sur M6

Ainsi que pour sa voix, qu'il a prêtée à de nombreux personnages de dessins animés.

Mais on oublie souvent que Gérard Hernandez a participé au tournage de nombreux téléfilms et feuilletons.

Et de pas moins de cinquante longs métrages depuis 1955.

Il a notamment tourné sous la direction de metteurs en scène aussi renommés que : Yves Allégret, Jean-Jacques Annaud, Jacques Becker, Jean Becker, Nina Companeez, Jean Delannoy, Robert Dhéry, Georges Lautner, Jean Marboeuf, Édouard Molinaro, Gérard Oury, José Pinheiro, Pierre Richard, Pierre Tchernia, Pascal Thomas et Jean Yanne.

Et même : Anatole Litvak ou Sydney Pollack.

Personnellement, je l'ai adoré dans le génial "Coup de torchon" de Bertrand Tavernier, en 1981.

Affiche du film français "Coup de torchon" de Bertrand Tavernier (1981)

Et j'ai eu récemment la surprise de le découvrir dans "Le trou", le dernier film de Jacques Becker, en 1960.

Affiche du film français "Le trou" de Jacques Becker (1960)

Ainsi que dans... "Bobby Deerfield" de Sydney Pollack, en 1977, aux côtés d'Al Pacino et Marthe Keller !

Affiche du film états-unien "Bobby Deerfield" de Sydney Pollack (1977)

Source : wikipedia.org

"DJ Arafat", "Yôrôbô", "Sao Tao le dictateur" ou "Commandant Zabra".

Il s'agit des différents noms de scène du chanteur, compositeur, producteur et arrangeur musical ivoirien Ange Didier Ouon, né le 26 janvier 1986 et mort accidentellement le 12 août 2019.

Fils de la chanteuse ivoirienne "Tina Glamour" ou "Tina Spencer", née Valentine Logbo, il était également surnommé "le roi du coupé-décalé".

Source : wikipedia.org

"Mike Brant".

Mike Brant

Il s'agit du nom de scène du chanteur et compositeur israélien Moshé Brand, né le 2 février 1947 et mort le 25 avril 1975, à l'âge de 28 ans, après s'être défenestré.

D'une beauté impressionnante, il avait rencontré le succès en France, au cours de la première moitié des années 1970 et était adulé de milliers de femmes et de jeunes filles.

Après une première tentative de suicide le 22 novembre 1974, en se jetant du cinquième étage de l'Hôtel de la paix, à Genève (Canton de Genève) (Suisse), il meurt six mois plus tard en tombant du sixième étage d'un immeuble parisien (75).

Source : wikipedia.org

"Stendhal".

Il s'agit du principal nom de plume de l'écrivain français Henri Beyle, né le 23 janvier 1783 et mort le 23 mars 1842.

Ses romans "Le Rouge et le Noir" (1830) et "La Chartreuse de Parme" (1839) lui ont conféré une notoriété internationale.

Ce nom de plume est inspiré d'une ville d'Allemagne "Stendal" (Saxe-Anhalt) , lieu de naissance de l'historien d'art et archéologue renommé à l'époque Johann Joachim Winckelmann, mais surtout proche de l'endroit où Stendhal vécut, en 1807-1808, un moment de grande passion avec Wilhelmine de Griesheim.

Ayant ajouté un "H" pour germaniser encore le nom, il souhaitait qu'on prononçât "stan-dal" et non "stun-dal", comme la plupart des gens le font actuellement, me semble-t-il.

Henri Beyle a également utilisé de très nombreux autres pseudonymes - plus de 250 dit-on -, parmi lesquels Louis Alexandre Bombet, Anastase de Serpière, Marquis de Curzay, Odile Watier, Giorgio Vasari, William Crocodile, Dominique, Don Flegme, Poverino, etc.

Le nom de "Stendhal" est associé à deux pathologies appelées "Syndrome de Stendhal" et "Syndrome de Brulard".

Source : wikipedia.org

"Barbara".

Barbara

Il s'agit du nom de scène de la chanteuse française Monique Andrée Serf, née le 9 juin 1930 et morte le 24 novembre 1997.

Seuls ses plus fervents admirateurs et quelques spécialistes le savent, mais cette auteure-compositrice-interprète française avait débuté sur scène, en 1950, sous le nom de "Barbara Brodi".

Et elle a souvent été désignée par différents surnoms.

Source : wikipedia.org

"Marcello", "Raphaël" ou "Raphaël Marcello".

Le dessinateur de bande dessinée italien Raffaele Carlo Marcello dit Marcello

Il s'agit des trois noms de plume de Raffaele Carlo Marcello, un dessinateur de bande dessinée italien, né le 16 novembre 1929 et mort le 23 décembre 2007.

"John Parade le patrouilleur de l'espace", une série de Marcello et Maric (1976-1979) "Cristal", une série de Marcelo et Maric (1981-1988)

 

Il est l'auteur des séries "John Parade, Patrouilleur de l'Espace" (1976-1979), "Cristal" (1981-1988) et "Wayne Thunder" (1987-1988), avec Alain de Kuyssche.

Wayne Thunder T2 "La porte de 1 "Le continent perdu" (1988) de Marcello et Alain de Kuyssche
Wayne Thunder T2 "La porte de 1 "Le continent perdu" (1988) de Marcello et Alain de Kuyssche

Mais, pour une grande partie des garçons de ma génération, lecteurs du journal "Pif Gadget", il demeure avant tout l'inoubliable dessinateur du célèbre Docteur Justice.

"Docteur Justice", une série de Marcello et Ollivier (1970-1990)

Source : wikipedia.org

 

"Mistinguett".

La chanteuse et danseuse française Mistinguett

Il s'agit du nom de scène de la chanteuse et actrice française Jeanne Florentine Bourgeois, née le 3 avril 1875 et morte le 5 janvier 1956.

La chanteuse et danseuse française Mistinguett

L'origine de son nom de scène

Celui-ci constitue l'apocope de "Mistinguette", un mot figurant dans une de ses premières chansons intitulée "La Mistinguo" ("O la Mistinguo, O la Mistinguette !"). Qui devint d'abord "Miss Tinguette" avant d'évoluer - par syncope - en "Mistinguett" !

La chanteuse et danseuse française Mistinguett et ses "boys" ou "danseurs de revue"
La chanteuse et danseuse française Mistinguett et ses "boys" ou "danseurs de revue"
La chanteuse et danseuse française Mistinguett au terme de la (périlleuse) descente du grand escalier, en ouverture d’une revue du Casino de Paris, en 1926
La chanteuse et danseuse française Mistinguett au terme de la (périlleuse) descente du grand escalier, en ouverture d’une revue du Casino de Paris, en 1926

Mistinguett a été la grande vedette du "Moulin Rouge", des "Folies Bergère" et du "Casino de Paris".

Affiche du Casino de Paris pour la revue "Féérie de Paris" avec en vedette la chanteuse et danseuse française MistinguettAffiche du Casino de Paris pour la revue "Paris Miss" avec en vedette la chanteuse et danseuse française Mistinguett

 

 

 

 

 

 

 

 

Affiche du Casino de Paris avec en vedette la chanteuse et danseuse française MistinguettAffiche du Casino de Paris avec en vedette la chanteuse et danseuse française Mistinguett

Affiche du Casino de Paris pour la revue "Paris qui brille" avec en vedette la chanteuse et danseuse française Mistinguett

Affiche de la chanteuse et danseuse française MistinguettAffiche de la chanteuse et danseuse française Mistinguett

Affiche de la chanteuse et danseuse française MistinguettAffiche du Moulin Rouge de 1926 avec en vedette la chanteuse et danseuse française Mistinguett

Elle fut incontestatblement l'une de nos plus grandes gloires nationales des années 1920 et 1930.

Et elle a longtemps incarné, à travers le monde, l'image type de la parisienne.

La chanteuse et danseuse française Mistinguett

Assez incroyablement, près d'un siècle plus tard, ses chansons "Ça c'est Paris" (1926) et "C'est vrai" ("On dit que j'ai de belles gambettes") (1933) résonnent encore dans les mémoires de nombre d'entre nous !

Je ne suis jamais né qu'en 1961, mais j'ai toujours eu l'impression d'avoir 20 ou 30 ans de plus... Et je confesse volontiers un petit (litote !) côté nostalgique.

De là à vous dire ce que je pense du "rap" ou de la "techno"... c'est une autre histoire ; sur laquelle je reviendrai peut-être à l'occasion, mais je vais encore passer pour un dinosaure.

Source : wikipedia.org