"John Wayne".

John Wayne

Il s'agit du nom d'artiste de l'acteur états-unien Marion Mitchell Morrison, né Marion Robert Morrison le 26 mai 1907 et mort le 11 juin 1979.

John Wayne jeune

Au cours de ses cinquante ans de carrière (1926-1976), il a joué dans près de 180 films : notamment des films policiers, des films de guerre et quelques comédies romantiques.

Mais c'est naturellement dans ses très nombreux westerns que John Wayne s'est réellement imposé, particulièrement sous la direction de deux réalisateurs :

  • John Ford : "La Chevauchée fantastique" (1939), "Le Massacre de Fort Apache" (1948), "Le fils du désert" (1948), "La Charge héroïque" (1949), "Rio Grande" (1950), "La Prisonnière du désert" (1956) ou encore "L'Homme qui tua Liberty Valance" (1962),

Affiche du film "La chevauchée fantastique"Affiche du film "Le massacre de Fort-Apache"

Affiche du film "La charge héroïque"Affiche du film "Rio Grande"

Lire la suite

"Loustal"

Jacques de Loustal

Il s'agit du nom d'artiste du dessinateur et illustrateur français Jacques de Loustal, né le 10 avril 1956.

Curieusement, moi qui ai, durant ma jeunesse, rencontré de très nombreux dessinateurs, je ne l'ai jamais croisé, alors même qu'il habitait, des années durant, à Paris (75), l'immeuble de mon meilleur ami et parrain de ma fille aînée !

Illustration de Loustal

Loustal est l'auteur de nombreux albums de bande dessinée et livres pour enfants, et réalise régulièrement des couvertures pour la presse ("The New Yorker", notamment) ainsi que des illustrations pour la publicité ou des affiches de cinéma ; dont celle de l'un de mes films français préférés des années 1980 : "Un monde sans pitié", réalisé par Éric Rochant en 1989.

Affiche du film "Un monde sans pitié"
Un monde sans pitié, Affiche

Son style graphique, principalement réalisé en couleur directe, est particulièrement reconnaissable sous toutes ses formes : pinceau, plume, encre, peinture, fusain.

Artiste prolifique, avec plus de 80 ouvrages parus à ce jour, Loustal se caractérise dans le monde du 9e art et de l’illustration en s'inspirant plus de la peinture (le fauvisme, David Hockney, etc.) et du cinéma (Wim Wenders) que de la bande dessinée.

Illustration de Loustal

Et dans ce domaine, il a peu recours au phylactère, privilégiant les textes hors-champ ou le récitatif.

Il expose régulièrement ses peintures et dessins dans des galeries, en France et en Europe.

Source : wikipedia.org

"Berthomieu".

André Berthomieu

Il s'agit du nom d'artiste du réalisateur et scénariste français André Berthomieu, né le 16 février 1903 et mort le 10 avril 1960.

Metteur en scène sans prétentions artistiques, il se considérait comme un technicien du cinéma.

Berthomieu a été président du Syndicat des techniciens ainsi que de l'Association des Auteurs de films de 1945 à 1955.

Réalisateur prolifique, il tourne 67 long-métrages entre 1928 et 1960 !

Dont "Mon coeur et ses millions", en 1931, sous le nom d'artiste "Modeste Arveyres".

Sans qu'il s'agisse naturellement d'un grand réalisateur, Berthomieu figure néanmoins en très bonne place dans mon imposante vidéothèque, car quatre de mes acteurs français préférés de ces années là - Bourvil, Fernandel, Raimu et Michel Simon - ont plusieurs fois tourné sous sa direction :

Bourvil : Affiche du film "Blanc comme neige"

Affiche du film "Le coeur sur la main"

Affiche du film "Pas si bête"

Affiche du film "Le roi Pandore"

Fernandel : Affiche du film "Jim la houlette"

Raimu : Affiche du film "Le secret de polichinelle"

Affiche du film "Les nouveaux riches"

et Michel Simon : Affiche du film "Eusèbe député"

Affiche du film "La joyeuse prison"

Affiche du film "Le mort en fuite"

Votre sagacité légendaire vous aura aisément permis de le deviner ; je ne contribue guère aux bénéfices de la firme Disney, avec ses innombrables adaptations cinématographiques des séries de "comics" Marvel créées par Stan Lee...

Source : wikipedia.org

"Richard Donner".

Le réalisateur américain Richard Donner

Il s'agit du nom d'artiste du réalisateur et producteur états-unien Richard Donald Schwartzberg, né le 24 avril 1930.

Après d'infructueuses tentatives pour devenir acteur, il devient réalisateur de films publicitaires, de documentaires et de films d'entreprise à partir de 1958.

Le succès de ses 6 épisodes de la troisième série du légendaire feuilleton télévisé "Au nom de la loi" avec Steve Mc Queen, en 1960-1961, lui vaut ensuite de réaliser de nombreux épisodes de feuilletons aussi populaires que "Sur la piste du crime", "Cannon", "Perry Mason", "Les Rues de San Francisco", "Les Mystères de l'Ouest", "Bronk" (jamais diffusé en France) et "La Quatrième Dimension".

Devenu réalisateur de cinéma dès 1961, il connaît le succès avec "La malédiction" en 1976, "Superman" en 1980 et "Les Goonies" en 1985.

Affiche du film "L'arme fatale"

Il rencontre ensuite l'acteur états-unien Mel Gibson, qui devient son acteur fétiche et avec lequel il tourne la comédie "Maverick" (1994) et le thriller "Complots" (1997), mais surtout la série de films à succès "L'arme fatale", dont les 4 volets ont rapporté plus d'un milliard de dollars (chiffre alors énorme) en 1987, 1989, 1992 et 1998.

En tant que producteur, nous lui devons notamment le feuilleton télévisé "Les contes de la crypte" et des films tels que "Sauvez Willy" (1 et 2) ou "X-Men : Days of Future Past".

Source : wikipedia.org

"Anna Karina".

Anna Karina

Il s'agit du nom d'artiste et du nom de scène de l'actrice et chanteuse française d'origine danoise Hanne Karin Bayer, née le 22 septembre 1940 et morte le 14 décembre 2019.

Ce pseudonyme a inventé pour elle par la célèbre couturière Coco Chanel, lors de ses débuts comme mannequin dans l'agence Catherine Harlé.

Actrice vedette de la Nouvelle Vague, Anna Karina est principalement connue pour ses rôles dans les films de son mari, Jean-Luc Godard, entre 1960 et 1967.

Ainsi que pour sa carrière de chanteuse, notamment aux côtés de Serge Gainsbourg ("Sous le soleil exactement" ou Philippe Katerine.

Affiche du film "Pierrot le fou"

Pour de nombreux cinéphiles (mais pas pour moi qui demeure indéfectiblement insensible au travail de Jean-Luc Godard), elle reste à jamais l'inoubliable interprète du film "Pierrot le fou", tourné en 1965 à Porquerolles (83) avec Jean-Paul Belmondo.

Anna Karina

Source : wikipedia.org

L'origine littéraire du pseudonyme d'Érik Orsenna.

Erik Orsenna

Erik Orsenna est le nom de plume de l'écrivain et académicien français Éric Arnoult, né le 22 mars 1947.

"Orsenna" est le nom de la vieille ville dans le roman le plus célèbre de l'écrivain français Julien Gracq, "Le rivage des Syrtes", publié en 1951.

Il est en 1981 la plume de l'homme politique socialiste François Mitterrand, dont il est ensuite le conseiller culturel, de 1983 à 1984.

Source : wikipedia.org

"Françoise Sagan".

Françoise Sagan

C'est chez l'écrivain français Marcel Proust, que l'écrivaine Françoise Quoirez, née le 21 juin 1935 et morte le 24 septembre 2004 a trouvé son nom de plume.

"Hélie de Talleyrand-Périgord, prince de Sagan" est en effet un personnage de "Le Côté de Guermantes", le troisième tome de "A la recherche du temps perdu", publié en deux parties en 1920 et 1921.

Qui a, du reste, réellement existé, puisqu'il s'agissait d'un gentilhomme français né le 23 août 1859 et mort le 25 octobre 1937, ayant eu l'excellente idée d'épouser civilement, en 1908, la richissime états-unienne Anna Gould, divorcée en 1906 de son cousin Boni de Castellane. Elle avait en effet hérité, en 1892, à la mort de son père, le milliardaire des chemins de fer Jay Gould, de la coquette somme de 80 millions de dollars de l'époque, soit plus de 2,3 milliards $ actuels.

"Gérard Philipe".

Gérard Philipe

Il s'agit du nom de scène de l'acteur français Gérard Philip, né le 4 décembre 1922 et mort le 25 novembre 1959.

C'est sur les conseils de sa mère qu'après la guerre, il ajoute un "e" à son nom pour que son nom et son prénom totalisent 13 lettres, chiffre porte-bonheur.

Très présent sur scène comme à l'écran, il fut en France, jusqu'à sa mort prématurée, à l'âge de seulement 37 ans, l'une des principales vedettes de l'après-guerre.

Le public garde de lui une image juvénile et romantique, qui en fait l'une des idoles du cinéma français. Et l'un de mes acteurs préférés.

L'acteur français Gérard Philipe

Entré au Conservatoire d'art dramatique de Paris (75) en 1943, en compagnie de Michel Bouquet, Gérard Philipe obtient son premier succès au théâtre et la célébrité à l’âge de vingt ans, en pleine Seconde Guerre mondiale, dans le rôle de l’ange du "Sodome et Gomorrhe" de Jean Giraudoux.

Membre des FFI, il participe à la Libération de Paris en août 1944 et notamment à la libération de l'Hôtel de Ville de Paris (75).

La notoriété de Gérard Philipe au théâtre et en tournée grandit encore grâce à la création de "Caligula" d'Albert camus en 1945. Et le film "Le diable au corps", de Claude Autant-Lara, aux côtés de Micheline Presle, lui apporte la gloire au cinéma, en 1947.

Affiche du film français "Le diable au corps" de Claude Autant-Lara (1947)

Compagnons de route du Parti communiste français, c'est un acteur engagé. Il est l'un des premiers à signer l'appel de Stockholm, en 1950, contre l’armement nucléaire en pleine guerre froide. Il effectue plusieurs tournées dans les pays socialistes, où il jouit d'une grande notoriété.

Président du SFA (Syndicat Français des Artistes-interprètes) à partir de 1958, il se révèle un grand responsable syndical pour les métiers artistiques du cinéma et du théâtre.

En 1951, il rejoint la troupe du TNP (Théâtre National Populaire) dont Jean Vilar vient de prendre la direction. Il y joue "Le Prince de Hombourg" de Heinrich von Kleist et "Le Cid" de Pierre Corneille, contribuant ainsi fortement à l'immense succès populaire du répertoire classique, à Paris (75), en tournée ou au Festival d'Avignon (84).

Gérard Philipe et Jeanne Moreau dans "Le prince de hombourg", au TNP (1951)

Près de 70 ans plus tard, ma mère conserve ainsi précieusement un programme dédicacé par son idole, en 1952,  après une représentation du "Cid" au Théâtre des Champs Élysées, dont elle garde un souvenir impérissable.

Il met lui-même en scène plusieurs pièces de Musset et d'auteurs contemporains comme Henri Pichette et Jean Vauthier ; sans pour autant délaisser le cinéma, où il interprète en 1952 "Fanfan la Tulipe" de Christian-Jaque, qui lui vaut de devenir une "idole des jeunes" à travers le monde.

Affiche du film français "Franfan la tulipe" de Christian-Jaque (1951)

En 1956, il réalise en coproduction avec l'Allemagne de l'Est, et avec l'aide de Joris Ivens, le long métrage "Les Aventures de Till l'espiègle", une production ambitieuse mais mal maîtrisée, qui ne rencontre pas le succès en France.

Affiche du film français "Till l'espiègle" de Gérard Philipe (1956)

Sa jeunesse, sa beauté et son charisme dans les films d'Yves Allégret, Christian-Jaque, Marcel Carné, Claude Autant-Lara, René Clair, René Clément, Luis Bunuel ou Roger Vadim lui valent une renommée internationale.

Mais Gérard Philipe n'intéresse pas les "jeunes turcs", les futurs cinéastes de la "Nouvelle Vague", qui rejettent l'acteur même si ce dernier souhaitait prendre part à ce nouveau mouvement.

Le 25 novembre 1959, en pleine gloire et à l’apogée de sa popularité, alors qu'il vient de finir le tournage du film "La fièvre monte à El Pao" de Luis Bunuel, au Mexique, il est emporté par un cancer du foie foudroyant.

Affiche du film franco-mexicain "La fièvre monte à El pao" de Luis Bunuel (1959)

Source : wikipedia.org

"Bob Sinclar".

Bob Sinclar

C'est chez le réalisateur français Philippe de Broca que le "disc jockey" français Christophe Le Friant, né le 10 mai 1969 a trouvé son nom de scène.

Affiche du film "Le magnifique"

Plus exactement dans la drolatique comédie de 1973 "Le Magnifique", où Jean-Paul Belmondo interprète le rôle de l'agent français "Bob Saint-Clar", le meilleur agent secret du monde.

Il a par ailleurs également utilisé les noms de scène suivants anglophones : "The Mighty Bop", "Chris the French kiss" et "Reminiscence Quartet".

Jean-Paul Belmondo et Bob Sinclar

"Yul Brynner".

Yul Brynner

Yul Brynner est le nom d'artiste de l'acteur états-unien d'origine mongole et russe Juli Borissovitch Bryner, né le 11 juillet 1920 (*) et mort le 10 octobre 1985.

On l'ignore souvent, mais il réalisa de nombreux téléfilms aux États-Unis d'Amérique au cours des années 1950, avant de devenir le célèbre acteur que l'on sait. En particulier pour la série d'émissions dramatiques "Studio One", diffusée de 1948 à 1958 sur le réseau CBS.

Des origines familiales longtemps mystérieuse

Yul Brynner est toujours resté très mystérieux sur ses origines, rendant son existence encore plus exotique qu'elle ne l'a été. Il a souvent prétendu s’appeler "Taidje Khan", être mi-japonais, mi-suisse, et être né sur l’île russe de Sakhaline. Ou être originaire d'une famille gitane. Au moment de sa mort, on ignorait la vérité, et celle-ci n'a été dévoilée que des années plus tard par son fils Rock Brynner.

Une année de naissance manifestement fausse (*)

Aujourd'hui encore, celle-ci est en effet sujette à débat.

Mais elle est vraisemblablement beaucoup plu proche de 1903 - l'année de naissance de Fernandel - que de 1920.

Le célèbre acteur français l'avait en effet croisé en... 1924, à l'ABC, une salle de spectacles de cabaret de Marseille (13), où Yul Brynner jouait de la musique tzigane.

Et Fernandel a expliqué à l'animateur Jean Nohain, le 15 avril 1958, dans son émission de télévision "36 chandelles", que Yul Brynner et lui se connaissaient depuis 34 ans et étaient nés la même année, sans que Brynner ne s'en soit aucunement offusqué.

Document d'immigration états-unien de 1943

Arrivé aux États-Unis d'Amérique en 1943, à l'âge de 23 ans (mais il davantage l'apparence d'un homme de 40 ans que de 23 ans, sur ce document d'immigration états-unien de 1943...), il se produit d'abord à Broadway sous le nom de "Youl Bryner", avec un seul "n", son véritable patronyme.

Une carrière qui débute en 1949

Il fait ses débuts au cinéma en 1949 dans "La Brigade des stupéfiants", le seul film avec ses cheveux naturels.

Et, dès 1951, il se rend célèbre en interprétant son plus grand rôle, le roi de Siam, dans la comédie musicale de Richard Rodgers et Oscar Hammerstein II, "Le Roi et moi".

yul Brynner dans "Le roi et moi"

Yul Brynner demeure indissociablement lié à ce rôle, qu'il interprète à la fois :

  • dans la production originale de 1951, à Broadway,
  • dans sa reprise sur scène à Broadway en 1977,
  • dans celle de Londres en 1979,
  • dans une autre reprise de Broadway en 1985,
  • dans sa transposition au cinéma, en 1956, par Walter Lang,
  • et dans son adaptation pour la télévision (série "Anna et le roi") créée par Gene Reynolds et diffusée sur CBS en 1972.

Pour ce rôle, qu'il a interprété 4 633 fois au théâtre, il reçoit en 1952 le Tony Award du meilleur acteur de comédie musicale dans un second rôle et remporte l’Oscar du meilleur acteur en 1957.

Affiche du film "Le roi et moi" L'acteur états-unien Yul Brynner dans le film états-unien "Le roi et moi" de Walter Lang (1956)

C'est pour ce rôle qu'il se rase la tête en 1951. Et c'est en raison de l'énorme succès de cette production à Broadway et du film au cinéma, qu'il continue à le faire pour le reste de sa vie, même s'il a parfois porté une perruque pour certains rôles. Se raser la tête à cette époque étant tout à fait inhabituel, cela contribue à lui donner une immense notoriété. Par admiration, des fans se rasent aussi la tête et ce style de coupe prend le nom de "Coupe à la Yul Brynner" ou "Coupe Yul Brynner".

À partir de 1964, il se rase aussi les sourcils, ce qui a pour effet de le rajeunir, ou de masquer son âge.

L'acteur états-unien Yul Brynner dans le film états-unien "Les dix commandements" de Cecil B. de Mille (1956) Affiche du film "Les dix commandements"

 

 

 

 

Entre 1949 et 1976, il tourne dans quarante films, au nombre desquels les succès planétaires "Les dix commandements" (1956) et "Les sept mercenaires" (1960).

L'affiche du film états-unien "Les 7 mercenaires" de John Sturges (1960) L'acteur états-unien Yul Brynner dans le film états-unien "Les 7 mercenaires" de John Sturges (1960)

Avec le système des assurances, et les visites médicales obligatoires avant l'engagement dans un film avec des scènes d'action, Yul Brynner est obligé de mettre en parenthèses sa carrière au cinéma, à partir de 1976, car les médecins, et surtout, les producteurs, le trouvent trop vieux ; ayant alors vraisemblablement 73 ans et non 56, ainsi qu'il l'affirme ...

La rumeur sur son âge se répandant à Hollywood, le comédien, blessé, se réfugie à New York, se consacrant alors au théâtre, en reprenant son rôle fétiche dans "Le Roi et moi" à Broadway.

Sa consommation excessive de tabac (5 paquets par jour !) lui vaut de mourir d'un cancer du tabac le 10 octobre 1985. À l'âge officiel de 65 ans, mais plus vraisemblablement de 82 ans.

Maîtrise du français

Polyglotte, Yul Brynner assurait parler 11 langues dont l'anglais, le russe, le français, le hongrois, le japonais, l'hébreu et le yiddish.

Il a souvent assuré lui-même le doublage français de ses personnages et parlait en effet parfaitement notre langue, ainsi qu'en atteste un entretien télévisé du 11 juillet 1959 avec le journaliste français Pierre Dumayet.

On remarquera que - alors officiellement âgé de seulement 39 ans - il pourrait ene effet parafitement en avoir déjà eu,en réalité, 56.

Tombe

Les cendres de Yul Brynner reposent - pour l'essentiel - à Luzé près de Chinon (37), dans le cimetière de l'Abbaye royale Saint-Michel de Bois-Aubry, classée monument historique en 1944 ; un chef-d'œuvre de l'architecture romane du XIIe siècle et gothique des XIVe et XVe siècles, que l'on vient admirer de toute la France.

La tombe de l'acteur états-unien Yul Brynner, à Luzé près de Chinon (37), dans l'Abbaye royale Saint Michel de Bois-Aubry

Ainsi que dans le jardin du manoir de Criqueboeuf, à Bonnebosq (14), dans le Calvados, en Normandie, un bâtiment daté de la seconde moitié du XVIe siècle.

Yul Brynner était venu s'y installer, à partir de 1971, après l'avoir acquis à la fin des années 1960.

Et une partie de ses cendres ont été répandues sur le site, après qu'il y a passé son dernier été, en 1985.

Sources : wikipedia.org et www.leparisien.fr