Il s'agit du nom de scène de l'auteur-compositeur-interprèteet guitariste anglais Charles Winston Gleave, né le 14 septembre 1978.
Charlie Winston est le frère des chanteurs Tom Baxter et Jo Spencer Gleave, ainsi que de la chanteuse Vashti Anna.
Il apprend très jeune le piano, et entre, à seulement 17 ans, dans une faculté de musique à Londres (Grand Londres) (Grande-Bretagne).
Son premier album officiel, "Hobo", sort le 26 janvier 2009, avec le titre "Like a Hobo".
Mais malgré une importante reconnaissance - principalement due au soutien du chanteur Peter Gabriel - le succès de Charlie Winston reste dans un premier temps exclusivement francophone.
Son deuxième album, "Running Still" sort le 21 novembre 2011.
En 2012, Charlie Winston produit l'album de l'auteur-compositeur-interprète belge Saule et enregistre à cette occasion le duo "Dusty Men", sorti à la fin du mois de novembre et qui rencontre un énorme succès.
Son troisième, "Curio City", le 26 janvier 2015,
Et son quatrième, "Square 1", le 28 septembre 2018.
Ce nom peut désigner deux au moins deux personnalités françaises différentes :
le nom d'artiste de l'humoriste français d'origine béninoise Éric Degbegni, né le 13 octobre 1965.
Également imitateur et acteur, il débute sa carrière en 1986 avec des imitations de Valéry Giscard d’Estaing, Frédéric Mitterrand ou Yannick Noah et enchaîne rapidement par des prestations régulières à la télévision dont "La Classe", sur France 3.
Il passe en vedette au Bataclan et à Bobino, et connaît le succès dans la deuxième moitié des années 1980, grâce à ses numéros d'imitateur, les organes d'information français le présentant alors comme le seul noir imitant les blancs célèbres.
En 1988, il tient la vedette du film "Black Mic Mac 2", de Marco Pauly, et l'année suivante celle du film "L'invité surprise", de Georges Lautner, dans lequel il partage le haut de l'affiche avec Victor Lanoux, Jean Carmet et Michel Galabru.
Sa carrière connaît cependant un coup d'arrêt violent en raison de démêlés judiciaires avec le critique de cinéma Henry Chapier, Éric Blanc ayant imité ce dernier lors de la cérémonie des Césars et lors de l'émission "Bains de minuit", présentée par Thierry Ardisson, le 16 octobre 1987, en se moquant de l'homosexualité du journaliste.
Éric Blanc se trouve alors, à partir de 1988, "interdit" de télévision mais poursuivant néanmoins ses activités, apparaissant au théâtre et, plus rarement, au cinéma.
et le nom d'un ancien joueur de rugby à XV français, devenu consultant sportif, né le 20 septembre 1959.
Évoluant au poste de trois-quarts centre, Éric Blanc a effectué l'essentiel de sa carrière au Racing club de France (1976-1984, 1989-1990 et 1991-1995), avec lequel il a été champion de France en 1990 et vice-champion en 1987.
Mais il a également joué au CA Brive et au RC Narbonne, avec lequel il a remporté le Challenge Yves du Manoir en 1991.
Beau-frère du joueur de rugby international français Franck Mesnel, il a créé avec celui-ci, ainsi que Marcel Francotte, la ligne de vêtements "Eden Park" en 1987.
Aujourd'hui coprésident de l'association Racing Club de France, il est depuis plusieurs années consultant sportif :
à la radio sur RMC et Europe 1,
et à la télévision, sur Eurosport, TV5 Monde, Direct 8 puis La chaîne L'Équipe pour laquelle il commente les rencontres internationales de rugby internationaux diffusés par la chaîne et intervient en tant que chroniqueur de l'émission vespérale d'olivier Ménard "L'Équipe du soir", où il est surnommé "Rico Blanco de la Plata".
Il s'agit des différents surnom de l'artiste de cirque états-unien d'origine guyanaise "Prince Randian", "Randion" ou "Rardion", né le 12 octobre 1871 et mort le 19 décembre 1934.
Atteint du syndrome tétra-Amélie, une maladie génétique très rare, il ne possédait ni bras ni jambes.
Il est mondialement célèbre pour son incroyable apparition dans le rôle de"The living torso" ("Le torse vivant"), dans le film culte de Tod Browning "Freaks / La Monstrueuse Parade", sorti en 1932, dans lequel il s'allume, seul, malgré son handicap, une cigarette à l'aide d'une allumette !
Malgré son pseudonyme de Prince Randian, il n'était nullement de sang royal, mais né dans une famille de travailleurs indiens.
Et son véritable nom de naissance demeure mystèrieux.
Marié avec une femme d’origine indienne, connue sous le nom de Princess Sarah, il a eu avec elle quatre filles et un fils !
Polyglotte, il parlait couramment hindi, anglais, allemand et français.
C'est par l'intermédiaire de l'entrepreneur de spectacles états-unien Phineas T. Barnum, qu'en 1889, à l'âge de 18 ans, le jeune infirme avait immigré aux États-Unis d'Amérique et était, jusqu'à sa mort des suites d'une crise cardiaque, devenu une attraction populaire du spectacle de monstres humains ("Freak show") de Coney Island, à New York.
Randian décède le 19 décembre 1934, à l'âge de 63 ans.
Il s'agit du nom d'artiste de l'humoriste français Laurent Regairaz, né le 9 septembre 1978.
Notaire de formation, il est devenu juriste d'entreprise avant de se lancer dans le spectacle en 2018, à l'âge de 40 ans.
Il se fait renvoyer de son emploi de secrétaire général en novembre 2018 suite à une vidéo intitulée "****** de banquier", l’actionnaire majoritaire de son employeur étant une banque.
Et en décembre il publie une vidéo intitulée "Vendredi Bleu Métal" qui sera vue plusieurs millions de fois.
Également auteur et acteur, il a créé en février 2019 la société de production Daph’Prod.
Et devient, en 2020, chroniqueur sur RTL puis sur Rire et Chansons.
Il s'agit des noms d'artiste successifs de l'actrice et danseuse états-unienne Tula Ellice Finklea, épouse Charisse, née le 8 mars 1922 et morte le 17 juin 2008.
Après des cours de ballet dans sa jeune enfance, elle intègre, en 1934, dès l'âge de 12 ans, la formation des Ballets russes de Monte-Carlo, avec lesquels elle se produit sous les pseudonymes de "Celia Siderova" et "Maria Istromena".
À 17 ans, elle épouse, en 1939, à Paris, le chorégraphe Nico Charisse. Le prénom de Cyd qu'elle adoptera plus tard est inspiré du surnom que lui donnait son jeune frère quand il était petit, " Sid" (dérivé de "Sis", l'apocope de "Sister" : "soeur " en anglais).
Après la dissolution de la troupe au début de la Seconde Guerre mondiale, elle regagne Hollywood, où elle décroche quelques petits rôles dansés non crédités, avant d'être remarquée pour son pas de deux avec le danseur Fred Astaire, dans "Ziegfeld Follies" en 1946. Une prestation qui lui procure un contrat de sept ans avec la MGM.
Réputée avoir "Les plus belles jambes du monde", Cyd Charisse est surnommée "Les jambes" ("Tthe legs"), tout comme Lauren Bacall était surnommée "Le regard" ("The look").
Des jambes qu'elle fait assurer pour 5 millions de dollars dès 1952.
En 1952, le danseur Gene Kelly la choisit comme partenaire pour le numéro sans paroles du film "Chantons sous la pluie" ("Broadway Melody").
Bien qu'elle ne soit pas chanteuse (elle sera doublée dans tous ses films), ses qualités plastiques et artistiques lui permettent de décrocher son premier rôle principal parlant, en 1953, dans "Tous en scène" de Vincente Minnelli, dans lequel elle retrouve Fred Astaire.
S'ensuivent au cours des années 1950 plusieurs films musicaux à succès qui la hissent au rang de vedette, dont "La belle de Moscou" de Rouben Mamoulian, en 1957, une nouvelle version du "Ninotchka" d'Ernst Lubitsch (1939), l'avant-dernier film de Greta Garbo.
Le déclin du genre dans les années 1960 est également le sien, mais elle a attaché son nom aux grandes heures de la comédie musicale.
Vie privée
Divorcée de Nico Charisse en 1947, elle se remarie, en 1948, avec le chanteur et acteur états-unien Tony Martin.
Il s'agit du nom de scène de l'actrice française Marie-Louise Gournay, née le 27 janvier 1919 et morte le 16 août 1998.
Même s'il se souvient d'elle pour l'avoir vue à maintes reprises, le grand public ignore malheureusement souvent son nom.
Ayant fait ses débuts au cinéma au début des années 1940, Dominique Davray a en effet joué de très nombreux rôles secondaires, incarnant les femmes accortes ou légères, mais au caractère bien trempé.
On la remarque dans le rôle de Julie, auprès de Simone Signoret, dans "Casque d'or" de Jacques Becker (1952), en inénarrable "Alsacienne en costume" dans "Les espions" de Henri-Georges Clouzot (1957), en "gouvernante fataliste" auprès de Corinne Marchand dans "Cléo de 5 à 7" d’Agnès Varda (1962), puis dans le rôle de "Madame Mado" dans le cultissime "Les tontons flingueurs".
Plus tard, du milieu des années 1960 jusqu’aux années 1970 et l’âge venant, ses emplois se modifient et elle joue les femmes matures de caractère, qu’elles soient religieuses, infirmières, concierges ou prostituées (au moins six !). Elle tient de nombreux petits rôles dans bon nombre de comédies, notamment aux côtés de Louis de Funès pour plusieurs scènes devenues cultes, comme dans :
"Le tatoué", de Denys de la Patellière (1967), où elle joue la femme idiote de Louis de Funès.
"Le gendarme en ballade" de Jean Girault (1970), où elle joue la "religieuse forte".
Après avoir personnifié "Gilette la charonne" dans "Notre-Dame de Paris" de Jean Delannoy, en 1956, elle apparaît pour la dernière fois au cinéma en incarnant un autre personnage de Victor Hugo : "La Magnon", dans la version de Robert Hossein des "Misérables" de Victor Hugo (1982).
Riche de plus de 70 films, sa filmographie comporte des noms de réalisateurs aussi prestigieux que :
Yves Allégret, Jacques Becker, Jean Becker, Bertrand Blier, Jean-Claude Brialy, Marcel Carné, André Cayatte, Henri-Georges Clouzot, Philippe De Broca, Denys de La Patellière, Jean Delannoy, Jacques Deray, Julien Duvivier, Jean Girault, Gilles Grangier, Pierre Granier-Deferre, Pierre Grimblat, Sacha Guitry, Robert Hossein, Georges Lautner, Jean-Paul Le Chanois, Gérard Oury, Jean-Marc Thibault, Agnès Varda, Henri Verneuil et Claude Zidi.
Et même : Alfred Hitchcock, Anatole Litvak et Joshua Logan (le réalisateur de "Bus stop") !
Il s'agit du nom de scène et du nom d'artiste de l'actrice française Geneviève Menut, née le 9 février 1912 et morte d'un cancer le 2 janvier 1992.
Avec ses yeux de braise, son sourire charnel et sa voix canaille, Ginette Leclerc a été, des années durant, la représentation même de la femme fatale et de la "vamp" des bas-fonds.
Elle disait d'ailleurs d'elle, avec malice : "Je suis l'actrice qui a fait le plus longtemps le trottoir et qui a été le plus souvent assassinée".
Vie privée
Ginette se marie à dix-huit ans, le 20 octobre 1930, avec un danseur de seize ans son aîné, Lucien Leclerc, "pour ne pas travailler". Elle veut en effet être danseuse, mais sa famille s'oppose à ce choix. Toutefois, le ménage ne dure pas et elle divorce le 3 juillet 1939, conservant cependant son patronyme de femme mariée comme nom d'artiste et nom de scène.
Plus tard, Ginette Leclerc partage pendant une dizaine d'années la vie du comédien Lucien Gallas, dont elle a fait la connaissance en 1936 sur le tournage du film "La loupiote", de Jean Kemm et Jean-Louis Bouquet.
Elle a des débuts assez difficiles, posant pour des cartes postales "coquines", et faisant de la figuration pour le cinéma à partir de 1932, jusqu'au jour où elle est remarquée par Jacques Prévert.
Cinéma
Cette grande vedette du cinéma français, aujourd'hui très injustement oubliée, à mes yeux, a joué dans près de cent films, de 1932 à 1978.
Claude Autant-Lara confie un petit rôle à Ginette Leclerc dans "Ciboulette" en 1933, lançant le véritable début de sa carrière, suivi bientôt, en 1934, par "L'hôtel du libre échange" de Georges Feydeau, transposé au cinéma par Marc Allégret.
Il s'agit du nom d'artiste de l'actrice française Nicole Andrieu, née le 21 octobre 1931 et morte le 25 juin 2016.
Élève au cours Simon, elle est remarquée par Jacques Becker qui lui fait faire des essais pour "Antoine et Antoinette" (1947), mais débute dans "Les amoureux sont seuls au monde " de Henri Decoin (1948) et "Aux yeux du souvenir" de Jean Delannoy (1948).
Jacques Becker lui offre alors son premier grand rôle au cinéma, en 1949, dans "Rendez-vous de juillet". Son personnage s'appelle "Christine Courcel" et elle décide de conserver ce patronyme comme nom d'artiste pour la suite de sa carrière, devenant ainsi "Nicole Courcel".
Dès l'année suivante, en 1950, elle tourne "La Marie du Port" de Marcel Carné, aux côtés de Jean Gabin, et devient l'une des vedettes du cinéma français des années 1950 et 1960.
On la retrouve ainsi aux génériques de films tels que :
"Papa, maman, la Bonne et moi" et "Papa, maman, ma femme et moi" de Jean-Paul Le Chanois (1954 et 1956),
"Si Versailles m'était conté..." de Sacha Guitry (1954),
"Le cas du docteur Laurent" de Jean-Paul Le Chanois (1957), où elle retrouve Jean Gabin,
"Le Testament d'Orphée" de Jean Cocteau (1960),
"La Nuit des généraux" d'Anatole Litvak (1967),
"L'aventure c'est l'aventure" de Claude Lelouch (1972),
et "La gifle" de Claude Pinoteau (1974), l'un de mes films favoris de cette période !
Mais Nicole Courcel a également tourné sous la direction de réalisateurs tels que Yves Allégret, Claude Autant-Lara, André Cayatte, Claude Lelouch ou Agnès Varda
Elle arrête le cinéma en 1979, mais continue à jouer jusqu'en 2004 pour la télévision, où on a pu la voir dans des téléfilms ou des feuilletons, comme "Les Boussardel" (1972) ou "Les Thibault" (2003).
Et interrompt sa carrière théâtrale en 1982, après avoir joué dans près d'une vingtaine de pièces depuis 1952.
Vie privée
Elle est la mère de l'animatrice de télévision et critique gastronomique française Julie Andrieu, connue pour ses émissions culinaires.
Il s'agit des différents noms d'artiste et nom de plume de la réalisatrice et écrivaine française Élise Azuelos, née le 6 novembre 1965.
Également actrice et scénariste, elle a fait officaliser son prénom d'usage, "Lisa", qui avait été refusé par l'administration à sa naissance, amenant ses parents à la déclarer sous celui d'"Élise".
Nous l'avons découverte en 2006, avec le film "Comme t'y es belle".
Et elle a remporté, en 2009, un important succès commercial avec "LOL", un film réalisé avec sa fille Carmen Alessandrin, sur les relations mère-fille.
Interprété par Sophie Marceau et Christa Theret, celui-ci a en effet attiré plus de trois millions de spectateurs dans les salles françaises.
Elle a en revanche connu un cuisant échec avec sa version états-unienne, pourtant réalisée par elle-même en 2015 avec les vedettes Demi Moore et Myley Cyrus : "LOL USA".
Famille
Elle est la fille dela chanteuse et actrice française Marie Laforêtet de l'homme d'affaires français Judas Azuelos.
Lisa Azuelos a également été, de 1991 à 2012, l'épouse du réalisateur français Patrick Alessandrin.
Avec lequel elle a eu, en 1991, une fille, Carmen Alessandrin, devenue réalisatrice en 2018 ("Interrail").
Il s'agit dunom de scène et du nom d'artiste du chanteur et acteur français André Jaubert, né le 23 janvier 1907 et mort le 10 juillet 1989.
Originaire de Marseille (13), on retrouve ce célèbre second rôle du cinéma français au générique de 63 films, de 1932 à 1969.
C'est sur les bancs de l'école communale qu'il rencontre l'acteur français Fernandel, avec lequel il se lie d’une profonde amitié qui ne se démentira jamais. Par la suite, Fernandel le lancera en effet au cinéma, en l'aidant à avoir des rôles tout au long de sa vie.
La chanson
Aidé par le célèbre chanteur Maurice Chevalier, Andrex fait ses débuts comme chanteur à l’Alcazar de Marseille (13), à la fin des années 1930, avant de "monter" à Paris (75) en 1930 et de se produire au Concert Mayol.
Il se tourne ensuite vers le théâtre et l’opérette.
En 1932, il est embauché au Casino de Paris, ce qui lui ouvre les portes des plus grands music-halls de la capitale : l’ABC, Bobino ou le Théâtre de l'Empire.
Son plus grand succès sera "Bébert" ("Chez Bébert le monte-en-l'air"), la chanson du film "Fou d'amour" de Paul Mesnier (1943).
Mais il chantait aussi "Comme de bien entendu", en 1939, aux côtés d'Arletty et de Michel Simon, dans le film de Jean Boyer "Circonstances atténuantes".
Le cinéma
Il tourne son premier film en 1932 et joue dès l'année suivante avec son ami d’enfance Fernandel, dans "Le coq du régiment" de Maurice Cammage.
Au total, on les retrouve ensemble au générique de pas moins de... 29 films, car Fernandel, qui n'avait jamais commencé à tourner qu'une année avant lui, est rapidement devenu très célèbre et réservait souvent à son ami Andrex un rôle à ses côtés dans les films qu'il tournait.
On les retrouve ainsi au générique du chef-d’œuvre de Marcel Pagnol "Angèle" (1934), et dans tous les autres succès populaires de l’époque : "François 1er" de Christian-Jaque (1937), "Ignace" de Pierre Colombier (1937), "Barnabé" d'Alexander Esway (1938) ou "Les cinq sous de Lavarède" (1939).
Ainsi que dans des films comme "Un carnet de bal" de Julien Duvivier (1937), "Fric-frac" de Maurice Lehmann (1939), "La table-aux-crevés" (1951) et "Le mouton à cinq pattes" (1954), tous les deux de Henri Verneuil, "Honoré de Marseille" de Maurice Regamey (1956), "Cocagne" de Maurice Cloche (1961), "La cuisine au beurre" de Gilles Grangier (1963), qui réunit Bourvil et Fernandel ou "L'âge ingrat" du même réalisateur (1964), qui réunit Jean Gabin et Fernandel.
Andrex joue également dans des films et sous la direction de réalisateurs aussi célèbres que : "Toni" de Jean Renoir (1934), "Gribouille" de Marc Allégret (1937), "L'étrange monsieur Victor" de Jean Grémillon (1937), "Hôtel du Nord" de Marcel Carné" (1938), "La marseillaise" de Jean Renoir (1938), "Circonstances atténuantes" de Jean Boyer (1939), "Manon" d’Henri-Georges Clouzot (1949), "Si Paris nous était conté" de Sacha Guitry (1955), "L'aîné des Ferchaux" de Jean-Pierre Melville (1962), "Monsieur" de Jean-Paul Le Chanois (1963) ou "La bourse et la vie" de Jean-Pierre Mocky (1966).
Et bien évidemment dans deux des trois films réalisés par son grand ami Fernandel : "Simplet" (1942) et "Adhémar ou le jouet de la fatalité" (1951). Car il ne figure pas - étrangement - au générique d'"Adrien" (1943).
Après 1969 on ne reverra plus Andrex que deux fois au cinéma : en 1979, dans "Charles et Lucie" de Nelly Kaplan et en 1983, dans "Cap Canaille" de Jean-Henri Roger et Juliet Berto.