... alors, elle se rend au cimetière et, face à la tombe de son défunt mari, asperge celle-ci d'un liquide qui - espère-t-elle - lui ramènera son bien-aimé.
Pourquoi-donc ?
Un étonnant voyage au pays de la langue française.
Pour apprendre en s'amusant et se coucher plus cultivé qu'on ne s'est levé.
J’ai regroupé dans cette collection l’ensemble de mes articles sur les calembours.
Nombre total d’articles prévus dans cette collection : 278
... alors, elle se rend au cimetière et, face à la tombe de son défunt mari, asperge celle-ci d'un liquide qui - espère-t-elle - lui ramènera son bien-aimé.
Pourquoi-donc ?
C'est évidemment à Coluche que l'on doit ce superbe aphorisme, extrait de "Y s’foutent bien de notre gueule" (1986).
Un jeune africain, fraîchement débarqué en France, demande à un ami étudiant s'il veut bien lui lire les différentes enseignes des commerces situés sur le trottoir d'en face, auxquelles il n'est pas encore habitué : Café-Tabac, Coiffeur, Pharmacie-Homéopathie...
De bonne volonté, l'ami s'exécute gentiment et commence à énoncer à haute et intelligible voix, en distinguant parfaitement chaque syllabe, : "ca-fé", "ta-ba", "koi-feur", "far-ma-ssi", "o-mé-o-pa-ti"...
Lorsque le jeune africain commente, visiblement affecté, : "Ah ! Pauv'e Juliette !".
... même si, parfois, l'évidence s'impose !
Mais : "Merci BEAUCOUP !".
C'était, je crois, l'un de mes tout premiers jeux de mots, sinon le premier - je devais avoir 5 ou 6 sans - et je dois reconnaître qu'il me fait toujours sourire...
La question est en effet posée !
Car, si avant le poil c'était bien, aujourd'hui le poil est p'us bien !
Sur un thème contigu je vous recommande la lecture de mes autres articles :