On ne dit pas : "Un enfoiré" ! Mais...

Réponse
« Une année de perdue ! ».
Explication du calembour
Il résulte de l’homophonie entre le mot « Enfoiré » (personne méprisable, dans le registre vulgaire) et la locution nominale « An foiré » (raté, dans le registre familier).

"Nyctalope" ne constitue pas une injonction conseillant de faire subir les derniers outrages à un ami ignoble ou à une compagne déloyale !".

Mais, plus simplement, : "Qui voit dans l'obscurité" !

Pour le substantif ("Un nyctalope"), voir mon article sur le sujet.

Explication du calembour
Il résulte de l’homophonie entre l’adjectif « Nyctalope » et la locution verbale « Nique ta lope«  !

Talleyrand n'était pas maire d'Émonvieux, mais évêque d'Autun !

Charles Maurice de Talleyrand-Périgord

Talleyrand, maire d'Émonvieux, : on s'en souviendrait !

Explication du calembour
Il résulte de l’homophonie entre la phrase « Talleyrand, maire d’Émonvieux », une localité qui n’a naturellement jamais existé, et la phrase « T’as l’air emmerdé (« embêté », en argot) mon vieux ».

"Les nains se suivent mais ne se ressemblent pas !".

Pour un thérapeute, en effet, contrairement aux simples apparences, tous les patients de petite taille ne se ressemblent pas.

Ainsi n'a-t-il pas tous les jours affaire à un nain précis.

Il peut lui arriver de recevoir un nain stable ou un nain cohérent.

Quand ce n'est pas un nain conscient ou un nain digne.

Et même un nain connu, un nain puissant ou un nain corruptible.

Parfois aussi un nain sensible ou un nain délicat.

Ou encore un nain discret, un nain poli, un nain patient ou un nain capable.

Il arrive également que frappe à sa porte un nain prudent, un nain déterminé ou un nain volontaire.

Et même un nain vraisemblable...

Bref, à l'évidence, un nain différent à chaque fois !

Quel est le pluriel de : "Un arabe au portail" ?

Réponse
« Des melons au porto !« .
Explication du calembour
Pour les racistes en tous cas, car le mot « Melon » (registre argotique), aujourd’hui fort heureusement tombé en désuétude – sinon dans certains milieux politiques pas forcément des plus progressistes – est un terme péjoratif et injurieux, assez couramment utilisé durant la seconde moitié du XXe siècle, pour désigner celui que l’on qualifiait alors de « Nord-africain » (langage courant) ou d' »Arabe » (registre familier).

"Ça c'est un peu fort !" ou "Ça c'est un peu fort de café !".

Cette expression du registre populaire s'utilise pour "signifier que quelque chose est excessif, exagéré, difficile à croire, passe les bornes de la bienséance, sort des règles sociales".

La variante humoristique "de café" fait naturellement référence au café trop corsé lorsque l'on a eu tendance à exagérer la dose.

L'expression se décline sous la forme "Ça c'est trop fort", dont il faut noter qu'elle n'a pas de variante à caractère humoristique avec le complément en forme de jeu de mots "de café".

Source : www.expressio.fr, www.linternaute.fr et wiktionary.org