Ne dites pas : "Un biopic" !

Mais : "Un film biographique" !

Le mot "Biopic" est en effet un mot-valise anglais (BIOgraphical motion PICture), désignant un film retraçant la vie d'un personnage célèbre.

Il s'agit d'un genre cinématographique à part entière, comportant de nombreux films importants dans l'histoire du septième art.

Voici par exemple mes préférés :

Affiche du film états-unien "Les affranchis", de Martin Scorsese (1990)
Affiche du film états-unien "Les affranchis", de Martin Scorsese (1990)
Affiche du film états-unien "Bird", de Clint Eastwood (1988)
Affiche du film états-unien "Bird", de Clint Eastwood (1988)
Affiche du film états-unien "Braveheart", de Mel Gibson (1995)
Affiche du film états-unien "Braveheart", de Mel Gibson (1995)
Affiche du film italo-sino-britannique "Le dernier empereur", de Bernardo Bertolucci (1987)
Affiche du film italo-sino-britannique "Le dernier empereur", de Bernardo Bertolucci (1987)
Affiche du film états-unien "Ed Wood", de Tim Burton (1994)
Affiche du film états-unien "Ed Wood", de Tim Burton (1994)
Affiche du film états-unien "Elephant man", de David Lynch (1980)
Affiche du film états-unien "Elephant man", de David Lynch (1980)
Affiche du film états-unien "Erin Brockovich", de Steven Soderbergh (2000)
Affiche du film états-unien "Erin Brockovich", de Steven Soderbergh (2000)
Affiche du film états-unien "Gandhi", de Richard Attenborough (1983)
Affiche du film états-unien "Gandhi", de Richard Attenborough (1983)
Affiche du film états-unien "JFK", d'Oliver Stone (1991)
Affiche du film états-unien "JFK", d'Oliver Stone (1991)
Affiche du film britannique "Laurence d'Arabie", de David Lean (1962)
Affiche du film britannique "Laurence d'Arabie", de David Lean (1962)
Affiche du film états-unien "La liste de Schnidler", de Steven Spielberg (1993)
Affiche du film états-unien "La liste de Schindler", de Steven Spielberg (1993)
Affiche du film états-unien "Le loup de Wall Street", de Martin Scorsese (2013)
Affiche du film états-unien "Le loup de Wall Street", de Martin Scorsese (2013)
Affiche du film états-unien "Papillon", de Franklin J. Schaffner (1973)
Affiche du film états-unien "Papillon", de Franklin J. Schaffner (1973)
Affiche du film états-unien "Patton", de Franklin J. Schaffner (1970)
Affiche du film états-unien "Patton", de Franklin J. Schaffner (1970)
Affiche du film états-unien "Raging Bull", de Martin Scorsese (1980)
Affiche du film états-unien "Raging Bull", de Martin Scorsese (1980)
Affiche du film italo-états-unien "Serpico", de Sidney Lumet (1973)
Affiche du film italo-états-unien "Serpico", de Sidney Lumet (1973)
Affiche du film états-unien "Spartacus", de Stanley Kubrick (1960)
Affiche du film états-unien "Spartacus", de Stanley Kubrick (1960)
Affiche du film états-unien "The social network", de David Fincher (2010)
Affiche du film états-unien "The social network", de David Fincher (2010)

 

 

 

 

Ne dites pas : "J'adore ce score" !

Mais : "J'adore cette MUSIQUE DE FILM" !

Cela vous évitera d'utiliser l'ellipse de la locution anglaise "Original motion picture score" :

"La screwball comedy" ou "La comédie loufoque".

Cette appellation cinématographique désigne un sous-genre de la comédie hollywoodienne.

Elle tire son nom de l'argot américain, dans lequel "Screwball" désigne un individu au comportement étrange voire excentrique ; le terme étant lui-même dérivé du jargon du baseball.

Dans ce sport, en effet, la "Screwball" (balle "en tire-bouchon", ou balle "vissée") est une balle lancée de telle manière que sa trajectoire est imprévisible.

La comédie loufoque se caractérise principalement par une combinaison d'humour slapstick et de dialogues vifs, autour d’une intrigue centrée sur des questions de moeurs, notamment les thèmes de la rupture, du divorce ou du remariage.

Elle mêle donc des éléments de la comédie de situation, de la comédie romantique et de la farce.

Source : wikipedia.org

Pourquoi dire "Un mogul" ou "Un tycoon" ?

Et pas : "Un magnat" !

Pourquoi dire : "La lip sync" !

Et pas : "La synchronisation labiale" ?

Il s'agit, dans le domaine de l'audiovisuel, de l'ensemble des techniques destinées à faire en sorte que semblent synchronisés, d'une part, le mouvement des lèvres d'une personne ou d'un personnage, et d'autre part, les paroles ou les sons qu'il est censé prononcer, dans les situations où l'un et l'autre sont enregistrés ou diffusés par des moyens différents et où il est nécessaire de les réunir.

On retrouve la synchronisation labiale :

  • dans la présonorisation ("Playback"), où elle consiste pour un chanteur à faire correspondre le mouvement de ses lèvres avec un enregistrement des paroles qu'il est supposé interpréter, afin de faire croire au public que c'est réellement lui qui chante.
  • dans le doublage, où, selon le contexte, les problèmes posés sont différents :
    • Ainsi, dans le domaine de l'animation, des jeux vidéo, ou encore des marionnettes, c'est l'animation des personnages et de leurs lèvres qui doit s'adapter à la bande son.
    • Au contraire, lorsqu'il est question de doubler une oeuvre dans une langue étrangère, ou bien lorsque des dialogues sont réenregistrés en postproduction, c'est au texte d'être choisi de manière à s'adapter aux mouvements pré-existants des lèvres qui ont été filmés.
  • Enfin, à la télévision, lorsque les signaux audio et vidéo sont transportés par des moyens différents, et que ceux-ci n'ont pas le même temps de latence, il peut apparaître un décalage, en particulier entre la bande son et le mouvement des lèvres.

Dans ce cas, il est nécessaire de retarder le plus rapide les deux signaux de manière qu'ils soient bien synchronisés.

Source : wikipedia.org

"Le suspense".

Ce mot anglais désigne repris en français désigne :

  • le sentiment d'attente angoissée que peut éprouver un lecteur, un spectateur ou un auditeur parvenu à un moment décisif de l'action et tenu en haleine sur le dénouement de celle-ci,
  • ou, par métonymie, :
    • le procédé dramatique utilisé par un réalisateur ou un auteur pour tenir en haleine le lecteur, le spectateur ou l'auditeur,
    • ou un passage particulièrement haletant d'une œuvre littéraire, dramatique ou cinématographique.

"Le thriller".

Ce mot anglais - de l'anglais "To Thrill" : "Frémir" - désigne un genre artistique utilisant le suspense ou la tension narrative pour provoquer chez le lecteur ou le spectateur une excitation ou une appréhension et le tenir en haleine jusqu'au dénouement de l'intrigue.

Il s'agit d'un genre est très utilisé dans le roman policier, le cinéma ou la télévision et il se subdivise en de nombreux sous-genres, chacun possédant ses propres codes.

Source : wikipedia.org

"L'ange bleu" ou "La blonde Vénus".

L'actrice allemande Marlene Dietrich

Il s'agit des surnoms de la chanteuse et actrice allemande naturalisée américaine Marlene Dietrich, tirés des titres de deux des sept films tournés avec son pygmalion, le réalisateur austro-américain Josef von Sternberg : "L'ange bleu" en 1930 et "Blonde Vénus" en 1932.

Son rôle dans le film "Le grand alibi" (1950) lui vaut d'appartenir à la grande famille des "blondes hitchcockiennes".

"La petite fiancée de la France".

Il s'agit du surnom de deux femmes françaises :

L'actrice française Dany Robin, dans "L'étau".

  • il fut d'abord, durant l'après-guerre, celui de l'actrice française Dany Robin, née le 14 avril 1927 et morte le 25 mai 1995.

Devenue l'une des principales vedettes féminines des années 1950, elle passe de l'emploi d'"ingénue" à celui de la Parisienne coquine.

Premier rôle féminin de "L'Étau" (1969), elle est considérée comme la dernière grande "blonde hitchcockienne" de l'histoire du cinéma.

La championne d'athlétisme française Colette Besson

  • puis, après sa médaille d'or sur 400 mètres aux Jeux Olympiques de Mexico, le 16 octobre 1968, de la championne d'athlétisme française Colette Besson, née le le 7 avril 1946 et décédée le 9 août 2005.

L'écrivain français Antoine Blondin, qui l'avait surnommée ainsi, lui avait également attribué le surnom de "La cavale brune".

Source : wikipedia.org

"Hitchcockien" ou "Hitchcockienne".

Le réalisateur britannique Alfred Hitchcock

Cet adjectif peut avoir plusieurs significations :

  • et se dit notamment d'une œuvre de fiction ou d'une situation dont l'intrigue présente une tension intense.

On parle ainsi de "Suspense hitchcockien".

  • ou d'un héros ou d'une héroïne de fiction ayant des points communs marquants avec ceux d'Alfred Hitchcock.

On parle ainsi de "Blonde hitchcockienne".