Réponse
C’est de déposer une plinthe au parquet !
Explication du calembour
Il résulte de l’homophonie des mots « Plinthe » et « Plainte » ; ainsi que de la polysémie du mot « Parquet ».
Richesse et défense de la langue française
Le verbe "Commettre" signifie :
On commet par exemple un méfait, un crime ou un vol.
On commet par exemple un rapporteur. Et l'on commet d'office un avocat.
et, par dérision : être l'auteur d'un ouvrage ou d'un texte irrespectueux, critiquable, ou considéré comme plus ou moins valable.
On dit par exemple : "Vous avez ensuite commis ce petit livre, devenu culte".
Et c'est dans cette acception, que je l'utilise le plus souvent dans J'aime les mots.
Ce mot polysémique désigne tout à la fois :
Souvent utilisés comme simples synonymes, ces deux mots ne signifient pourtant absolument pas la même chose :
Il s'agit des cinq codes juridiques promulgués en France à l'initiative de Napoléon Ier :
L'appellation "codes napoléoniens" ne doit pas être confondue avec celle de "code Napoléon", qui ne désigne que le Code civil.
Source : wikipedia.org
Ces deux locutions nominales, qui relèvent du vocabulaire juridique, sont utilisées dans les contrats pour désigner respectivement les troisième et quatrième entités ou personnes parties au contrat ; les deux premières étant quant à elles désignées par les locutions nominales "D'une part" et "D'autre part", sensiblement plus connues du grand public.
On dit ainsi :
"Entre M. HOCHON Paul, d'une part,
Et : M. ADY Jacques, d'autre part,
Et : Mme ENFAILLITE Mélusine, de troisième part,
Et : M. PTICOU Justin, de quatrième part,
Il a été convenu ce qui suit : ..."
Il s'agit de la désignation, par le bâtonnier, d'un avocat, lorsqu'un prévenu n'en a pas choisi un précédemment, ou que l'urgence ne le permet pas.
On parle alors d'un avocat "commis d'office".