Ce terme désigne :
- en droit, ce qui aide à faire la preuve dans une affaire, un commencement de preuves, un indice.
- et en médecine, ce qui peut servir à faciliter le bon effet d'un remède.
Richesse et défense de la langue française
Ce terme désigne :
Il s'agit d'une célèbre affaire judiciaire qui se déroule de 1761 à 1765 à Toulouse (31), sur fond de conflit religieux entre protestants et catholiques.
Elle a été rendue célèbre par l'intervention de l'écrivain et philosophe français Voltaire.
Jean Calas était un commerçant protestant de Toulouse. Son fils ayant été trouvé mort étranglé ou pendu selon le médecin présent sur place, Jean Calas est accusé de l'avoir assassiné pour empêcher le jeune homme de se convertir au catholicisme.
L'affaire est essentiellement politique, entachée de nombreux abus de procédure.
En 1765, les magistrats de la Cour royale rétablissent la veuve de Jean Calas dans ses droits, et réhabilitent la mémoire de son défunt époux.
Ce mot désigne, selon le contexte, des choses radicalement différentes :
Source : www.cnrtl.fr
Les deux mots n'ont évidemment strictement rien à voir l'un avec l'autre :
À l'intérieur, il s'agit souvent d'une planche de bois, de dix à douze centimètres de hauteur, bordant le bas des murs, à leur jonction avec le plancher.
Le verbe "Commettre" signifie :
On commet par exemple un méfait, un crime ou un vol.
On commet par exemple un rapporteur. Et l'on commet d'office un avocat.
et, par dérision : être l'auteur d'un ouvrage ou d'un texte irrespectueux, critiquable, ou considéré comme plus ou moins valable.
On dit par exemple : "Vous avez ensuite commis ce petit livre, devenu culte".
Et c'est dans cette acception, que je l'utilise le plus souvent dans J'aime les mots.
Ce mot polysémique désigne tout à la fois :
Souvent utilisés comme simples synonymes, ces deux mots ne signifient pourtant absolument pas la même chose :
Il s'agit des cinq codes juridiques promulgués en France à l'initiative de Napoléon Ier :
L'appellation "codes napoléoniens" ne doit pas être confondue avec celle de "code Napoléon", qui ne désigne que le Code civil.
Source : wikipedia.org
Ces deux locutions nominales, qui relèvent du vocabulaire juridique, sont utilisées dans les contrats pour désigner respectivement les troisième et quatrième entités ou personnes parties au contrat ; les deux premières étant quant à elles désignées par les locutions nominales "D'une part" et "D'autre part", sensiblement plus connues du grand public.
On dit ainsi :
"Entre M. HOCHON Paul, d'une part,
Et : M. ADY Jacques, d'autre part,
Et : Mme ENFAILLITE Mélusine, de troisième part,
Et : M. PTICOU Justin, de quatrième part,
Il a été convenu ce qui suit : ..."
Il s'agit de la désignation, par le bâtonnier, d'un avocat, lorsqu'un prévenu n'en a pas choisi un précédemment, ou que l'urgence ne le permet pas.
On parle alors d'un avocat "commis d'office".