Ainsi que peut le déclarer l'humoriste français Nordine Ganso, dans sa saynète "Mon métissage", diffusé le 7 juillet 2023, sur la radio française Rire & Chansons.
Mais, en français : "Pas BEAUCOUP" !
Richesse et défense de la langue française
Le verlan (« L’envers » inversé) est une forme d’argot français consistant à inverser les syllabes d’un mot.
Par ex : dire « Chelou » pour « Louche » ou « Ouf » pour « Fou »
J’ai rassemblé dans cette collection l’ensemble des articles que j’ai consacré à ce parler, pas toujours très bien compris par les « Ieuv » (les vieux).
Nombre total d’articles prévus dans cette collection : 84
Ainsi que peut le déclarer l'humoriste français Nordine Ganso, dans sa saynète "Mon métissage", diffusé le 7 juillet 2023, sur la radio française Rire & Chansons.
Mais, en français : "Pas BEAUCOUP" !
Ce différents substantifs relèvent du registre argotique.
Et ils signifient respectivement, en verlan :
Sur un sujet contigu, je me permets de vous recommander la lecture de mes articles consacrés à toutes les façons de dire "Le nez", "Les cheveux", "Les fesses" ou "Les pieds".
Mais plutôt : "Ma copine s'y connaît beaucoup la musique" !
Voire : "Ma dulcinée est fort versée dans le quatrième art" !
Vous passerez ainsi du registre argotique au langage courant voire au registre soutenu.
Ce substantif masculin relève du registre familier.
Et il signifie, en verlan : la tête.
On dit par exemple, si l'on est jeune ou que l'on veut se faire passer pour jeune : "C't abruti m'a pris la tetê pasque j'avais mis mes godasses sur la banquette !".
Ce substantif masculin est un mot de verlan qui relève du registre argotique et signifie : merci.
Ce verbe en verlan relève du registre argotique et signifie : pomper, c'est à dire administrer une fellation.
Ces trois adverbes français relèvent du registre argotique.
Et ils signifient tous trois, en verlan : comme ça.
On disait autrefois en argot : "Comac" et "Comaco".
Il s'agit du verlan du verbe "Niquer" signifiant : posséder charnellement (registre soutenu), baiser (registre argotique).
"Niquer" (ni-ké) devenu ké-ni s'est transformé en kèn = "Ken".
On dit par exemple : "On n'a même pas ken hier soir".
Ou : "Lui ça m'étonnerait qu'il ken pas ce soir".
Cette locution adverbiale du registre familier relève du verlan (donf = fond).
Et elle signifie donc, selon le contexte :
On dit par exemple : "Mon frangin roule toujours à donf , même sous la pluie".
On dit par exemple : "J'adore mettre la musique à donf".
Source : Le Robert et wiktionary.org
Ce substantif masculin polysémique appartient au registre argotique et n'est autre que le verlan du mot "Monstre".
Il désigne, selon le contexte :
On dit par exemple : "Quand j'étais gamin, je croyais qu'il y avait un stremon sous mon lit".
On dit par exemple : "Tu as déjà vu la frangine à Manu : c'est un stremon !".
Sur un sujet contigu, je me permets de vous recommander la lecture de mon article consacré à toutes les façons de dire "Une fille très laide".
On dit par exemple : "L'autre soir, le videur de la boîte était un stremon !".
Et on dit également : "Une armoire à glace", "Une baraque", "Un gars baraqué", "Un type baraqué" ou "Un golgoth".
Source : www.dictionnairedelazone.fr
Ce minuscule substantif masculin appartient au registre argotique.
Et il signifie tout simplement "Le cul" en verlan.
On dit par exemple : "Si tu voyais le uc de cette gonzesse !".
Ce substantif féminin appartient au registre argotique et désigne :
On dit par exemple :"Tu d'vrais v'nir sam'di : y aura plein d'meufs !".
On dit par exemple : "La meuf à Gégé a d'ces nibards !".
Sur un sujet contigu, je me permets de vous recommander la lecture de mon article consacré à toutes les façons de dire "Ma compagne" en français.
"Meuf" constitue le verlan de "Femme", qui est devenu, à l'envers, "me-fem", avant d'être contracté en "me-u-f".