Mais plutôt : "Ma copine s'y connaît beaucoup la musique" !
Voire : "Ma dulcinée est fort versée dans le quatrième art" !
Vous passerez ainsi du registre argotique au langage courant voire au registre soutenu.
Richesse et défense de la langue française
Le verlan (« L’envers » inversé) est une forme d’argot français consistant à inverser les syllabes d’un mot.
Par ex : dire « Chelou » pour « Louche » ou « Ouf » pour « Fou »
J’ai rassemblé dans cette collection l’ensemble des articles que j’ai consacré à ce parler, pas toujours très bien compris par les « Ieuv » (les vieux).
Nombre total d’articles prévus dans cette collection : 84
Mais plutôt : "Ma copine s'y connaît beaucoup la musique" !
Voire : "Ma dulcinée est fort versée dans le quatrième art" !
Vous passerez ainsi du registre argotique au langage courant voire au registre soutenu.
Ce substantif masculin relève du registre familier.
Et il signifie, en verlan : la tête.
On dit par exemple, si l'on est jeune ou que l'on veut se faire passer pour jeune : "C't abruti m'a pris la tetê pasque j'avais mis mes godasses sur la banquette !".
Ce substantif masculin est un mot de verlan qui relève du registre argotique et signifie : merci.
Ce verbe en verlan relève du registre argotique et signifie : pomper, c'est à dire administrer une fellation.
Ces trois adverbes français relèvent du registre argotique.
Et ils signifient tous trois, en verlan : comme ça.
On disait autrefois en argot : "Comac" et "Comaco".
Il s'agit du verlan du verbe "Niquer" signifiant : posséder charnellement (registre soutenu), baiser (registre argotique).
"Niquer" (ni-ké) devenu ké-ni s'est transformé en kèn = "Ken".
On dit par exemple : "On n'a même pas ken hier soir".
Ou : "Lui ça m'étonnerait qu'il ken pas ce soir".
Cette locution adverbiale du registre familier relève du verlan (donf = fond).
Et elle signifie donc, selon le contexte :
On dit par exemple : "Mon frangin roule toujours à donf , même sous la pluie".
On dit par exemple : "J'adore mettre la musique à donf".
Source : Le Robert et wiktionary.org
Ce substantif masculin polysémique appartient au registre argotique et n'est autre que le verlan du mot "Monstre".
Il désigne, selon le contexte :
On dit par exemple : "Quand j'étais gamin, je croyais qu'il y avait un stremon sous mon lit".
On dit par exemple : "Tu as déjà vu la frangine à Manu : c'est un stremon !".
Sur un sujet contigu, je me permets de vous recommander la lecture de mon article consacré à toutes les façons de dire "Une fille très laide".
On dit par exemple : "L'autre soir, le videur de la boîte était un stremon !".
Et on dit également : "Une armoire à glace", "Une baraque", "Un gars baraqué", "Un type baraqué" ou "Un golgoth".
Source : www.dictionnairedelazone.fr
Ce minuscule substantif masculin appartient au registre argotique.
Et il signifie tout simplement "Le cul" en verlan.
On dit par exemple : "Si tu voyais le uc de cette gonzesse !".
Ce substantif féminin appartient au registre argotique et désigne :
On dit par exemple :"Tu d'vrais v'nir sam'di : y aura plein d'meufs !".
On dit par exemple : "La meuf à Gégé a d'ces nibards !".
Sur un sujet contigu, je me permets de vous recommander la lecture de mon article consacré à toutes les façons de dire "Ma compagne" en français.
"Meuf" constitue le verlan de "Femme", qui est devenu, à l'envers, "me-fem", avant d'être contracté en "me-u-f".
Cette interjection grossière et irrespectueuse, utilisée par certains jeunes, constitue le verlan de "Vas-y !" et appartient au registre argotique.
pouvant en quelque sorte se traduire par "C'est bon !" ou "Ça va !", elle exprime l'agacement, la dérision, le mécontentement, le dépit ou l'opposition.
On dit par exemple : "Vous pourriez faire un peu moins de bruit s'il vous plait ?". "Ouah l'aut, eh ! Z'y va !".
Sources : www.languefrancaise.net et www.dictionnairedelazone.fr
Ce minuscule substantif masculin du registre argotique désigne, en verlan : le cul.
On dit par exemple, dans le registre vulgaire : "Tu vas l'avoir dans le uc".