J'adorais le titre en forme de calembour de cette excellente émission, créée et animée par le génial Claude Villers, en 1976, sur la station radiophonique française publique France Inter.
Explication du calembour
Il résulte de la paronymie entre « Rêve », forme conjuguée du verbe « Rêver » à la troisième personne du singulier de l’impératif présent et celle du verbe « Crever », « Crève », présente dans la locution verbale d’origine militaire « Marche ou crève« .
Il résulte de l’homophonie des termes « maux » et « mots » et du fait que le mot « Détestation » désigne un sentiment légèrement moins violent que le mot « Haine ».
Il croyait toujours qu’il était tôt, alors qu’il est têtard. Et il n’était plus dans l’étang !
Explication du calembour
Il résulte de l’homophonie entre les locutions verbales « Il est têtard » et « Il était tard », ainsi qu’entre les locutions adverbiales « Dans l’étang » et « Dans les temps ».
Cette formule en forme de calembours'utilise - par plaisanterie - lorsque l'on rencontre de façon fortuite un ami (ou une connaissance masculine) en un lieu inattendu.
Explication du calembour
Le calembour résulte de l’homophonie entre les locutions verbales « Je vous croyais au zoo » (qui se prononce je-vous-croi-yai-zo-zo) et « Je vous croyais zozo ».
Django Reinhardt avait en effet perdu l'usage de deux doigts (l'auriculaire et l'annulaire gauches), en 1928, à l'âge de 18 ans, dans l'incendie de sa roulotte !
La journée : il y a un soleil de plomb, c'est nickel : bronze !
et le soir : "Étain et d'or !".
Explication des calembours
Ils résultent :
de l’homophonie entre les substantifs masculins « acier », « métal », « bronze », « étain » et « or », et les formes conjuguées des verbes « asseoir », « étaler », « bronzer », « éteindre » et « dormir »,
ainsi que de la polysémie des mots « Plomb » et « Nickel ».