Réponse
Calembours
"Le milieu a tué un parrain. C'est bien. Mais..."
"...deux par deux ça irait plus vite !".
C'est évidemment à Coluche que l'on doit ce superbe aphorisme, extrait de "Y s’foutent bien de notre gueule" (1986).
La veuve de Jean ne peut se résoudre à vivre sans lui...
... alors, elle se rend au cimetière et, face à la tombe de son défunt mari, asperge celle-ci d'un liquide qui - espère-t-elle - lui ramènera son bien-aimé.
Pourquoi-donc ?
"La différence qu'il y a entre les oiseaux et les hommes politiques, c'est que"...
C'est évidemment à Coluche que l'on doit ce superbe aphorisme, extrait de "Y s’foutent bien de notre gueule" (1986).
Shakespeare, toujours d'actualité !
Un jeune africain, fraîchement débarqué en France, demande à un ami étudiant s'il veut bien lui lire les différentes enseignes des commerces situés sur le trottoir d'en face, auxquelles il n'est pas encore habitué : Café-Tabac, Coiffeur, Pharmacie-Homéopathie...
De bonne volonté, l'ami s'exécute gentiment et commence à énoncer à haute et intelligible voix, en distinguant parfaitement chaque syllabe, : "ca-fé", "ta-ba", "koi-feur", "far-ma-ssi", "o-mé-o-pa-ti"...
Lorsque le jeune africain commente, visiblement affecté, : "Ah ! Pauv'e Juliette !".
On ne dit pas : "Merci beau cul !".
... même si, parfois, l'évidence s'impose !
Mais bien évidemment : "Merci BEAUCOUP !".
C'était, je crois, l'un de mes tout premiers jeux de mots, sinon le premier - je devais avoir 5 ou 6 sans - et je dois reconnaître qu'il me fait toujours sourire...